Koffi Olomidé devra rester encore entre les quatre murs du centre pénitentiaire et de rééducation de Kinshasa. La demande de liberté provisoire formulée par le collectif de ses avocats a été rejetée.
Interpellée à la première heure de la journée du mardi 26 juillet sur ordre du procureur général de la République, la star congolaise a été d’abord auditionnée au Palais de la justice avant d’être transférée à au CPRK de Kinshasa.
Et c’est ce vendredi que le musicien a comparu pour la première fois dans la fameuse affaire de Nairobi. Il y a exactement une semaine, Koffi Olomidé a été aperçu dans une vidéo entrain de donner un coup au ventre à une de ses danseuses à l’aéroport de Nairobi.
Ce geste malveillant lui a valu une interpellation par la police kenyane avant son expulsion du territoire kenyan.
Alors qu’il vient de passer sa 4ème nuit sous les geôles, l’artiste musicien devra encore patienter pour en sortir puisque la justice a repoussé à 15 jours sa prochaine audience.
Entre soutien et condamnation
Cette affaire a suscité et continue de susciter une vague de réactions. Dans les réseaux sociaux et autres, la grande tendance est à la condamnation de l’acte posé par l’artiste. La grande majorité des internautes ne cesse de commenter son geste en multipliant des appels pour que la justice pour se saisisse de l’affaire et lui infliger une peine à la hauteur du geste. Une des réactions qui a fait grand bruit est celle du député national Zacharie Bababaswe auteur d’une sortie médiatique a été très poignante la veille de l’arrestation de Koffi Olomidé. Il se murmure d’ailleurs que c’est cette sortie qui a accéléré l’arrestation de l’artiste musicien.
De soutien à la star, il y en a eu également. Dans les réseaux sociaux, des messages de soutien ont également déferlé. Un mouvement « Je suis Koffi » a également été lancé.
JDM
29 juillet 2016 at 16 04 33 07337
N’importe quoi, les vrais délinquants, doublement dangereux, les corrompus, voleurs , violeurs, assassins, pilleurs de richesses du pays, ils sont tous là, Nous le savons, mais comme les Africains du Centre sont tous des froussards, poltrons et sans charisme. Tous lesharisments dictateurs d’Afrique doivent tous écoper des peines à vie pour non assistance à personnes en danger, comme nous le savons tous plus de la moitié des populations vivent dans la pauvreté.