Les pouvoirs publics veulent traquer les filles de joie. La police judiciaire a donné le ton, il y a deux semaines. Une patrouille a fait irruption dans un VIP, à Poto-Poto, y a interpellé une dizaine de filles en tenues osées et menacé de fermeture l’établissement qui est tenu par un ressortissant étranger. Ces filles, des mineures pour la plupart, se livraient à des séances d’exhibition. Souvent, ce genre d’opération lancées tambour battant finissent dans les oubliettes. La police fera-t-elle ecxeption cette fois?
