Congo – Vol à l’université de Kintelé : les services de sécurité instruits pour interpeller les auteurs

Vol à l’université de Kintelé

[GARD align=« center »]

Vol à l’université de Kintelé
Un panneau solaire dépouillé © Adiac

Le Premier ministre, Clément Mouamba, a demandé au ministre de l’Intérieur, Raymond Zéphyrin Mboulou, et à ses services de mener une enquête rapide afin de déterminer les auteurs des actes de vandalisme qu’il qualifie de trop graves orchestrés par certains citoyens délinquants au campus de l’Université Denis-Sassou-N’Guesso (DSNG).

Le campus ayant accueilli les athlètes des 11es Jeux africains de Brazzaville en 2015 est depuis quelques années victime des actes de vol à répétition, alors que le site est gardé par une dizaine d’éléments de la force publique. En effet, après avoir emporté les climatiseurs, postes téléviseurs et autres meubles, des voleurs s’attaquent actuellement aux panneaux solaires qu’ils dépouillent à ciel ouvert. Vraisemblablement, ils prennent du temps pour causer leurs actes. « C’est un grand désastre de voir tous ces bâtiments qui ont été désossés où des climatiseurs, les cuirs sont enlevés. Tous les bâtiments finis qui ont été détruits dans leur arbre à la limite. Cela a été fait certainement par des individus. Il va falloir que nous trouvions des mesures rapides de protection de ces lieux », a dénoncé le chef du gouvernement qui a instruit le ministre de l’Intérieur en présence de son collègue de la Défense nationale, Charles Richard Mondjo.

Selon Clément Mouamba, il est urgent de mettre en place une structure adéquate pour conforter l’existant en le sécurisant de façon pérenne afin de barrer la route à ces inciviques qui causent un grave préjudice à l’Etat. Il n’a pas écarté l’hypothèse de faire également recours à la sécurité privée qui devrait travailler avec la force publique. « Nous ne pouvons pas continuer à déplorer les choses tout temps, il faut poser des actes. Personnellement, je ne reviendrai plus ici pour constater ce que je viens de voir, notamment ces actes de banditisme. Face à un certain vide, les gens en ont profité pour poser des actes inciviques totalement indélicats contre l’intérêt et les biens publics », a conclu le chef du gouvernement.

Parfait Wilfried Douniama

[GARD align=« center »]

Le nouveau président sud-africain voyage en classe économique

Le nouveau président sud-africain voyage en classe économique

[GARD align=« center »]

Le nouveau président sud-africain voyage en classe économique
Le nouveau président sud-africain voyage en classe économique

Deux mois après avoir été investi comme troisième président de l’Afrique du Sud post-Apartheid, le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, continue de faire les choux gras de la presse de son pays pour de bonnes raisons.

Ce vendredi, les cameras avaient été braquées sur lui lorsqu’il a été aperçu en classe économique à bord d’un vol commercial à destination de Durban et en provenance de Johannesburg. L’homme d’affaires devenu politicien et président a autorisé les passagers qui voyageaient avec lui à prendre des photos avec lui. Selon son porte-parole, M. Khusela Diko, le nouveau président sud-africain a toujours privilégié les moyens de transport les plus pratiques, les plus commodes et les moins coûteux pour le contribuable sud-africain.

[GARD align=« center »]

Le mois dernier, M. Ramaphosa avait fait montre de sa touche personnelle lorsqu’il avait initié une marche avec la participation du public en plein jour à travers les bidonvilles de Cape Town. Habillé d’un survêtement noir avec l’effigie de l’ANC, son parti, et une casquette à l’effigie de Nelson Mandela, il se tenait ainsi à la tête d’une importante foule de gens ordinaires se promenant à travers les rues de Gugulethu jusqu’à la localité d’Athlone, une distance d’environ six kilomètres.

Ce qui constitue une grande rupture et une innovation par rapport à son prédécesseur dont la garde rapprochée, plus connue sous le nom de « Brigade bleu-clair » rendait souvent mécontents les habitants de Cape Town qui ne pouvaient plus supporter les perturbations causées dans la circulation par les éléments de Zuma, à tel point que Mme Helen, dignitaire de la localité, avait fait passer une loi pour interdire les convois de la « Brigade bleu-clair » sauf dans des cas d’urgence.

Avec PANA

[GARD align=« center »]