Un rapport pour faciliter la délivrance de visas vers la France

Les passeports congolais

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En Afrique, obtenir un visa pour la France est très compliqué. Deux députés de la majorité ont travaillé sur le sujet et ont présenté aujourd’hui un rapport visant à faciliter le processus de délivrance de visas.

Les deux députés, Sira Sylla, élue de Seine-Maritime, et M’jid El Guerrab, député des Français de l’étranger ont multiplié les déplacements sur le continent et ont rencontré de nombreux acteurs intervenant dans la délivrance de visas à destination des ressortissants africains.

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Ils tirent plusieurs constats de leur enquête. Les deux députés évoquent des délais trop longs, des tarifs élevés et surtout un taux de refus très haut. « L’Afrique subsaharienne représente 15 % de la population mondiale mais seulement 10 % des visas délivrés par la France», notent les deux députés et soulignent que certains pays sont mal traités. Ainsi, si le taux moyen de refus de visas est de 16,3% au niveau mondial, il atteint % 45 % pour les demandeurs algériens, selon le rapport.

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Ce rapport préconise un meilleur accompagnement des étudiants étrangers, la création de visas de circulation évitant la répétition des demandes, et la simplification des paiements. Ils suggèrent aussi une meilleure communication entre les consulats.

Avec Africaradio

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Congo : malgré une semaine de jeûne et prières, le pasteur s’est vu refuser le visa de France

Les passeports congolais

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Les passeports congolais
Les passeports congolais © DR

Un congolais qui se dit pasteur évangélique, officiant dans une église de réveil au quartier OCH de Pointe-Noire, s’est vu refuser le visa par le consulat de France. La demande du visa a été pourtant précédée par une semaine intense de jeûne et prière de toute la congrégation, en faveur du pasteur. Dieu, semble t-il a lâché son serviteur.

Le pasteur JK, d’une église de réveil du quartier OCH, avait demandé à ses fidèles d’entamer une semaine de jeûne et prière, pour que Dieu intercède auprès des autorités consulaires françaises en faveur de sa demande de visa.

Le pasteur avait prévu se rendre en France, pour selon ses propos ,partager la parole de Dieu avec ses fidèles s’y trouvant. Pendant cette semaine intense, les fidèles n’ont cessé d’implorer le Seigneur afin que leur vœu soit accompli.

Des fidèles en transe, au sein de l’église, ont même révélé que Dieu leur aurait montré le passeport du pasteur avec le visa à son intérieur. L’une d’entre eux, à même osé avancer avoir vu l’église accompagner le pasteur à l’aéroport de Pointe-Noire prendre son vol d’Air France.

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Des témoignages, jeûne et prière, battus en brèche par la décision du consulat de ne pas accorder de visa au pasteur. Le consulat français n’a pas trouvé de motif convaincant pouvant entraîner la concession du visa. Le risque d’installation en France du pasteur a même été évoqué.

A l’église, les fidèles accusent le diable de s’être mis sur le chemin du pasteur, alors que certaines fidèles encore en transe ont pointé du doigt la foi intérieure du propre pasteur. 

Ce pasteur qui est légalement mariée à une cabindaise avec laquelle, ils ont quatre enfants, se rendait en France sur invitation de sa maîtresse qui y vit.

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Congo – Diplomatie : Le Maroc instaure un visa pour les congolais ?

Le passeport congolais

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Le passeport congolais
Un passeport ordinaire congolais ©ICIBRAZZA

Le gouvernement a imposé à compter du 1er novembre, des restrictions de voyage aux ressortissants du Mali, de Guinée-Conakry et du Congo-Brazzaville actuellement exemptés de visa pour entrer en territoire marocain, comme le confirment des sources diplomatiques à Rabat, cités par l’agence EFE .

Ces pays sont parmi les nationalités les plus courantes des migrants qui entrent illégalement en Espagne, bien que des sources déclarent qu’il ne s’agit que d’ « une mesure expérimentale ».

A partir de demain, les voyageurs de ces pays doivent demander une « autorisation de voyage électronique » et le faire avec un minimum de 96 heures avant de se déplacer en utilisant un formulaire téléchargé d’un portail internet : www.acces-maroc.ma.

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La compagnie aérienne Royal Air Maroc, leader du transport aérien en Afrique de l’Ouest, a déjà commencé à mettre en garde ses clients en Afrique subsaharienne de cette nouvelle mesure par une lettre qui les informe de la nouvelle réglementation.

La lettre de RAM précise que les voyageurs de ces pays « doivent obligatoirement soumettre leurs autorisations à l’aéroport au moment du départ (de leurs pays) et à leur arrivée au Maroc ».

L’« Autorisation de voyage électronique » est une formalité que les pays qui reçoivent beaucoup de voyageurs utilisent (comme les États-Unis et le Canada) pour ceux des pays soumis à visa.

Des sources diplomatiques ont expliqué que les voyageurs de ces trois pays en vertu de la nouvelle autorisation doivent indiquer sur le formulaire le but spécifique de leur voyage (affaires, éducation, tourisme, etc.), le tout afin de « permettre une fluidité à l’étape de la frontière ».

Le fait est que les Congolais, les Maliens et les Guinéens font partie des nationalités africaines les plus présentes parmi les migrants qui entrent illégalement sur le territoire espagnol et que le Maroc est leur porte d’entrée vers l’Espagne, soit à bord d’embarcations, soit en forçant le passage des clôtures frontalières avec les enclaves de Ceuta et Melilla, précise EFE.

Avec Le Desk

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Ambassade du Congo en France : le parcours de combattant pour obtenir un visa

Ambassade du Congo en France

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Ambassade du Congo en France
File d’attente devant le consulat de l’ambassade du Congo en France / Crédit photo Marie Alfred Ngoma

Disposer aujourd’hui du sésame d’entrée à Brazzaville relève d’un parcours de combattant pour les Congolais naturalisés ainsi que pour des étrangers désireux de s’y rendre. Les files d’attente se reconstituent devant le consulat.

File d’attente il y a un devant le consulat de l’Ambassade du Congo en FranceDepuis le 29 décembre de l’année dernière, la certitude était née avec la mise en place d’une plate-forme dénommée Générateur intégré des rapports d’activités, Girafe, pour les procédures et délivrance des visas et autres documents consulaires. Cet outil de gestion aurait pu améliorer les conditions d’accès des usagers aux services de l’ambassade du Congo en France.

Pourtant, quelques mois après, on constate que la mise en ligne effective du site « Ambacongofr.org » ne constitue plus le moyen approprié donné aux Congolais d’être en contact permanent avec la représentation diplomatique, moins encore ne constitue plus le cadre interactif d’échanges citoyens.

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Rien ne semble avoir changé ni avoir provoqué leur adhésion, au contraire la situation semble même être plus difficile. En tant qu’usagers, ils attendent jusqu’au-delà des heures officielles d’ouverture au public, « jusqu’à 22 h », ironise une Congolaise qui a dû revenir à chaque fois durant trois semaines espérant obtenir son visa.

Certes, l’ambassade du Congo en France a un vaste territoire juridique allant de la France, Portugal, Espagne, Monaco, en passant par Liechtenstein jusqu’au Vatican en attente de l’agrément. A-t-on les moyens matériels et humains de répondre à la couverture de ces missions ?

Pour l’heure, les services consulaires fonctionnent au ralenti, suscitant très souvent l’indignation proche de révoltes des usagers. Car, ceux-ci, quel que soit le motif de leur voyage, sont dans l’obligation de reporter les dates de départ avec les frais s’y référents. La problématique de l’obtention de visas, en cette période de vacances, est le fait saillant.

Gageons que la bonne volonté affichée par le nouvel ambassadeur, Rodolphe Adada, depuis sa prise de fonctions, remédiera à ce problème qui couve dans la « Maison commune des Congolais de l’étranger » à Paris.

Marie Alfred Ngoma 

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Le Gabon supprime les visas pour les ressortissants d’Afrique centrale

Ali Bongo Ondimba

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Ali Bongo Ondimba
Ali Bongo Ondimba

Le Gabon a entériné jeudi la suppression des visas pour les ressortissants de la Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale (Cémac), en concordance avec l’accord conclu en 2013 sur la libre circulation en Afrique centrale, ont annoncé les autorités vendredi.
 
Les ressortissants de la zone Cémac (Cameroun, Centrafrique, Congo, Guinée équatoriale et Tchad) ne sont “plus soumis à l’obligation du visa d’entrée au Gabon pour tout séjour ne dépassant pas trois mois”, selon une circulaire qui a pris effet le 19 octobre. La mesure vise à “concilier la nécessité de libre circulation et l’exigence sécuritaire”.
 
Le pays de 1,8 million d’habitants, attire depuis des décennies de nombreux immigrants, notamment d’Afrique de l’Ouest (Nigeria, Bénin), dont beaucoup sont en situation irrégulière.
 
Les six membres de la Cémac étaient parvenus en 2013 à un accord sur la libre circulation. Mais l’accord n’a jamais été appliqué en raison du refus de la Guinée équatoriale et – jusqu’alors – du Gabon, deux pays pétroliers peu peuplés et relativement prospères qui craignaient notamment une immigration massive et non contrôlée.
 
La Guinée équatoriale avait réitéré mi-août son refus de l’accord de libre circulation, sauf pour les détenteurs de “passeports diplomatiques, officiels et de service”.
 
Le Gabon annonce également qu’“un régime spécial dérogatoire est accordé aux ressortissants des pays du G20 et à ceux du Conseil de coopération du Golfe (CCG) désireux de se rendre au Gabon”, afin de “renforcer l’attractivité du pays et son ouverture d’avantage à l’investissement direct étranger”, selon un communiqué du ministère de l’Intérieur daté de jeudi.
 
La Centrafrique a “matérialisé” le 13 octobre l’accord de libre circulation entre les pays de la Cémac.
 
Début août, le Tchad avait accepté de supprimer l’obligation de visa pour les ressortissants de la Cémac.
 
Fondée en juin 2000 à Malabo, la Cémac réunit des pays aux revenus très différents et peine à mettre en œuvre des mécanismes d’intégration économique et monétaire.
 
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Union européenne : suspension de visas sur les passeports semi-biométriques

La délégation de l’Union européenne en RDC a décidé vendredi de ne plus délivrer de visa européen sur des passeports semi-biométriques congolais en application de la nouvelle réglementation congolaise en la matière.  

L’affaire d’invalidation ou mieux du retrait de la circulation des passeports semi biométriques d’ici le 16 octobre prochain coïncidant avec la date de leur expiration conformément à une décision du ministère des Affaires étrangères continue à défrayer la chronique. Les protestations ont fusé de partout depuis la publication du communiqué notifiant cette décision gouvernementale portant invalidation du passeport semi-biométrique pourtant en cours de validité. Dès l’annonce de la mesure, des manifestants en colère et surexcités avaient pris d’assaut le bâtiment des affaires étrangères à Kinshasa pour demander au gouvernement de renoncer à cette décision qui lésait de nombreux concitoyens détenteurs de ce type de passeports. Des scènes de protestation qui avaient souvent dégénéré et conduit à l’interpellation de plusieurs manifestants.

Comme si cela ne suffisait pas, la délégation de l’Union européenne et les ambassades des pays membres de l’espace Schengen présents en RDC viennent eux aussi d’ajouter leur grain de sel dans cette rocambolesque affaire qui ne cesse de raviver les tensions. En effet, dans un communiqué publié le 29 septembre, ces deux organisations ont carrément décidé de suspendre l’émission de vignettes visa sur les passeports semi-biométriques congolais. Tout en cherchant à se dédouaner vis-à-vis d’une décision qu’elle sait pertinemment lourde de conséquences particulièrement pour les demandeurs de visa congolais, l’UE allègue qu’elle résulte exclusivement de la nouvelle réglementation congolaise.

Autrement dit, ladite mesure est imposée par la durée de validité du passeport, dit-on, un visa ne pouvant être émis que sur un passeport disposant au moins de trois mois de validité. Or, dans le cas d’espèce, le passeport semi-biométrique expire d’ici le 16 octobre et, par conséquent, toute émission de visa sur ce document devient quasiment impossible sur le plan légal. L’UE qui n’ a jamais remis en cause pour quelque raison que ce soit la validité d’un passeport congolais sauf quand il est établi qu’il est frauduleux ou contrefait, s’est donc vue dans l’obligation de se mettre au pas en se conformant à la décision des autorités de Kinshasa.

Toutefois, l’UE rassure que « les visas déjà émis sur ces mêmes passeports resteront pleinement valides du point de vue de la législation européenne s’ils sont accompagnés d’un titre de voyage en cours de validité ». Ce nouveau développement est une autre forme de contrainte pour les détenteurs des passeports semi biométriques d’acquérir les passeports biométriques émis depuis fin 2015 pour se mettre à l’abri de toute déconvenue.

Vers l’allègement des procédures d’obtention de visa au Congo

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Le secrétaire général de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), Taleb Rifai, a salué le 17 juillet à Brazzaville l’engagement du président Denis Sassou N’Guesso pour le développement des activités du secteur touristique en République du Congo.

Il s’est exprimé à la sortie d’une audience avec le chef de l’Etat congolais. « Nous avons parlé des questions relatives au tourisme et de son impact sur l’économie. Nous avons également évoqué l’importance du tourisme pour le futur et l’économie du Congo. Nous avons été surpris de l’enthousiasme et de l’engagement du président Sassou N’Guesso en la matière», a-t-il déclaré.

Le tourisme contribue à hauteur de 10% dans l’économie mondiale contre 3 à 4,5% dans le Produit intérieur brut (PIB) du Congo. D’où les autorités congolaises entendent développer ce secteur afin de pouvoir porter sa participation au PIB à 10%. Pour le secrétaire général de l’OMT, le tourisme représente une sorte de « pétrole qui ne tarit pas».

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Le Dr Taleb Rifai a également indiqué que le chef de l’Etat congolais entendait mettre en place les conditions de facilitation de l’accès au Congo à travers l’allègement des procédures d’obtention de visas, ainsi que la simplification des connexions aériennes.  

« Il y a aussi le besoin de faire davantage de promotion et de campagne marketing, ainsi que le soutien à apporter au ministère congolais du tourisme», a-t-il dit.

En marge de l’audience, le secrétaire général de l’OMT a remis au chef de l’Etat congolais des documents composés d’une lettre ouverte, d’une stratégie de développement du tourisme et d’un plan directeur de développement durable du tourisme au Congo. Ces documents ont été élaborés avec l’appui de l’OMT et du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud).

Le secrétaire général de l’OMT a foulé le sol congolais dans le cadre des assises nationales du tourisme qui se tiennent pendant deux jours à Brazzaville.

Christian Brice Elion
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Suppression du visa d’entrée pour les Béninois au Kenya

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Nairobi annoncé la mesure jeudi en réciprocité d’une décision du Porto-Novo. Les Béninois n’auront plus besoin de visa d’entrée pour les Béninois au Kenya.

Le Kenya a annoncé à son tour qu’il supprimait les visas pour les ressortissants béninois.

Il ne restera plus qu’aux ministres des Affaires étrangères des deux pays de finaliser l’accord en définissant clairement les modalités.

La mesure n’est en réalité qu’une réciprocité du Kenya à l‘égard du Bénin dont le chef de l‘État Patrice Talon a décidé en février dernier de supprimer les visas pour les ressortissants de 31 pays, dont le Kenya, pour un séjour de moins de 90 jours.

De plus en plus, l’Afrique s’achemine vers une levée de ses frontières pour la libre circulation des personnes et des biens.

©VOA

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La RDC limite à son tour la durée des visas accordés aux officiels belges

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Le gouvernement congolais annonce avoir réduit la durée des visas accordés aux officiels belges, en réponse à une mesure similaire que Bruxelles a prise à l’encontre des autorités congolaises en rapport avec la crise du report de l’élection présidentielle en RDC.

Le ministre congolais des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Raymond Tshibanda, évoque, dans un communiqué, le principe de réciprocité pour justifier la mesure.

« Des mesures de restriction de délivrance de visas similaires à celle décrétées par la partie belge à l’endroit des autorités congolaises vont, à dater de ce jour être appliquées aux officiels belges », précise M. Tshibanda.

Son homologue belge, Didier Reynders, avait fait part de la décision des autorités belges mercredi dans une interview accordée au journal belge Le Soir. Il avait annoncé que le Royaume de Belgique avait décidé de limiter à 6 mois maximum la durée des visas accordes aux responsables de la RDC porteurs de passeports diplomatiques.

Le ministre fédéral belge des Affaires étrangères, du Commerce extérieur et des Affaires européennes dénonce, en fait, le report des élections en RDC en 2018, un délai qui,, selon lui, « n’a pas de sens ».

« Cet après-midi, je présenterai au Parlement un document stratégique sur la politique belge en Afrique centrale. Concernant la République démocratique du Congo, le délai de report des élections de 500 jours n’a pas de sens, il faut savoir d’ici au 19 décembre, date d’expiration de l’actuel mandat présidentiel, qui gère le pays et faire redémarrer un dialogue en y associant des personnalités importantes comme Moïse Katumbi ou Étienne Tshisekedi, » avait-t-il posté sur sa page Facebook.

M. Reynders avait également demandé une enquête internationale sur les évènements des 19 et 20 septembre.

©voaafrique

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Drame familial à Abidjan: A l’obtention du visa pour les USA, on lui révèle que de ces 5 enfants, 2 ne sont pas de lui

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C’est le regroupement familial du couple Kouadio qui va relever un vieux secret partagé entre l’amour d’un homme et l’adultère d’une femme que le temps avait jusque-là protégé. Lundi dernier à l’ambassade des USA à Abidjan, c’est un mari inconsolable que l’obtention du visa pour ses enfants a permis de découvrir les tromperies de sa femme. Les larmes aux yeux il se retenait pour éviter de passer pour ridicule dans ce hall plein de demandeurs de visas.

En effet vivant aux États-Unies depuis quelques années, il a pu obtenir la nationalité américaine. Il a donc décidé d’organiser un regroupement familiale. Sa famille est composée de cinq enfants ainsi que sa tendre épouse. Ils rempliront toutes les formalités d’usage pour le regroupement familial sur le sol américain. Monsieur Kouadio fera même coïncider ses congés professionnels pour être à Abidjan avec les siens afin de repartir ensemble pour cette nouvelle vie au pays.

Comme recommandé par les services de l’ambassade en plus des documents administratifs un test d’ADN est effectué sur tous les membres de la famille pour prouver leur filiation commune. La semaine dernière pour le retrait des fameux visas, qui aurait pu imaginer un seul instant ce qui attendait cette famille « soudé »?

« Monsieur, nous sommes désolé mais deux des enfants présentés ne pourront se faire établir de visas car n’étant pas de vous« . Comme un marteau qui venait de l’assommer il ne comprenait pas. Pourquoi tous étaient de lui sauf le 3e et la dernière? Son regard croisait sur le coup celui de sa femme assise à une chaise de lui. Le silence dans la pièce était pesant et personne n’osait le briser, pas même l’agent du consulat qui malgré sa lourde tâche et le monde qui attendait dehors n’osait prononcer un mot.

Lire l’intégralité de l’article sur Oeildafrique.com

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