Coronavirus: Paul Romer, prix Nobel prône un dépistage général des Congolais

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©DR

Au Congo, c’est la course contre la montre pour endiguer l’épidémie de coronavirus. Des spécialistes se mobilisent pour limiter les dégâts liés à la maladie. Parmi ceux-ci, Paul Romer, prix Nobel en Sciences 2018 prône un dépistage général des Congolais.

La lueur d’espoir dans la lutte contre le Covid-19 au Congo viendrait-il de l’ancien Prix Nobel des Sciences, Paul Romer ? En tout cas, au moment où le président du Congo-Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, a annoncé le confinement des Congolais, un couvre-feu nocturne et l’instauration d’un « état d’urgence sanitaire » face aux risques de propagation du coronavirus, ce scientifique propose l’organisation méthodique d’un dépistage général de la population du Congo. Ceci pour limiter les dégâts économiques de la crise du Coronavirus.

Au même moment, Paul Romer est entrain de faire cette proposition au Gouvernement fédéral américain afin d’éviter l’effondrement économique des USA qui risque d’être plus important que la crise économique de 1929. Selon cet ancien prix Nobel, ce dépistage consisterait à identifier ceux qui présentent les symptômes d’atteinte par le Covid 19, les prendre en charge et laisser la machine économique fonctionner.

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En ce qui concerne le Congo qui a une population de 5 millions d’habitants, des voix s’élèvent pour appuyer que ce dépistage peut être effectué avec le soutien logistique de certaines fondations internationales auprès desquelles une assistante pourra être sollicité.

Les experts ont averti que la troisième économie de la zone euro subirait sa pire récession depuis des décennies (-6% en 2020) si le confinement durait jusqu’en mai. « C’est horrible d’avoir à choisir entre mettre l’économie en stand-by ou mettre en danger la vie de nombreuses personnes« , observe l’expert américain Paul Romer, cité mercredi par le quotidien Il Fatto Quotidiano. Le gouvernement congolais a besoin d’un « plan crédible pour mettre fin au confinement très rapidement, tout en garantissant la sécurité des salariés même si le virus est encore présent », selon le co-récipiendaire du Prix Nobel 2018 d’Économie. 

Les derniers chiffres de la propagation du coronavirus font état, selon Dr Gilbert Ndjessy, coordonnateur technique au Comité national de riposte, 41 cas confirmés de COVIDー19, dont 28 à Brazzaville et 13 à Pointe-Noire ont été enregistrés. Il y a eu 11 cas de transmission locale dont 8 à Pointe-Noire et 3 à Brazzaville.

Dr Ndjessy ajoute que 274 personnes en contact avec les malades font l’objet d’un suivi. Deux malades ont été guéris contre trois décès.

© ICIBrazza 

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Immigration aux USA : l’administration Trump sanctionne la Guinée

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En Guinée c’est la consternation. L’administration Trump a décidé de sanctionner les officiels guinéens parce que le pays n’a pas collaboré lors des rapatriements des guinéens illégalement installés aux USA. La sanction déjà en vigueur concerne la délivrance de certains visas.

 Aux USA, l’administration Trump a décidé de sévir contre la Guinée. La faute commise : ne pas avoir suffisamment collaboré avec l’administration américaine dans le cadre de l’expulsion des ressortissants guinéens en situation irrégulière aux Etats-Unis.

En représailles, les USA ont décidé d’interdire l’accès au Visa à certains officiels guinéens. Dans un communiqué officiel, l’ambassade des USA en Guinée a confirmé l’information en précisant les visas concernés: « A compter du 13 septembre 2017, l’ambassade des Etats-Unis met un terme à la délivrance des visas B, F, J, et M aux officiels Guinéens ainsi qu’aux membres de leurs familles proches, avec quelques exceptions limitées. »

 Pour le moment pas de réactions officielles du côté guinéen, l’ambassadeur guinéen aux USA s’est exprimé dans la presse guinéenne affirmant ne pas comprendre la décision des autorités américaines. Pour lui, ses services ont toujours coopéré avec les autorités américaines.
 
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Un congolais d’origine nommé ambassadeur des USA au Sénégal

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Le Président américain, Donald Trump, a nommé Tulinabo Salama Mushingi, originaire de la RDC, comme ambassadeur des Etats-Unis au Sénégal et en Guinée-Bissau. Il remplace à ce poste James Zumwalt dont la mission a pris fin en janvier 2017.

Diplomate expérimenté, Salama Mushingi « a déjà siégé aux bureaux exécutifs des secrétaires d’État John F. Kerry et Hillary Clinton », souligne une note de l’Ambassade du Sénégal aux États-Unis.

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La même source ajoute qu’il bénéficie d’une riche expérience en Afrique avec à son actif, en plus d’avoir été ambassadeur de son pays au Burkina Faso, des missions à Maputo (Mozambique), à Lusaka (Zambie), à Casablanca (Maroc) et à Addis-Abeba (Éthiopie).

Né le 4 août 1956, il parle français, swahili, portugais et évidemment anglais. Ancien étudiant à Bukavu, il a un doctorat de l’Université de Georgetown, un master de l’Université Howard.

Avec Lesechos

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Climat : Le Congo regrette le retrait des Etats-Unis de l’accord de Paris et réaffirme son engagement

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Le gouvernement congolais a regretté la décision du gouvernement américain de se retirer de l’accord de Paris sur le climat et s’est déclaré confiant quant à la pérennité des décisions prises lors de la 21e conférence des Nations-Unies sur le changement climatique (COP 21) à Paris.

« Le gouvernement du Congo, prend acte de la décision du président des Etats Unis d’Amérique, de procéder au retrait de son pays de l’accord de Paris sur le climat », a affirmé le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Thierry Moungalla dans une déclaration radiodiffusée.

« Alors que l’adhésion des Etats-Unis d’Amérique à ce processus avait été perçue par tous comme porteuse d’un espoir, l’officialisation de leur retrait fait par le président Donald Trump, apparait, compte tenu des enjeux, comme un risque de régression au regard de nombreuses avancées réalisées à ce jour dans le domaine de la lutte contre le réchauffement climatique », a-t-il indiqué.

Selon le porte-parole du gouvernement, le Congo regrette néanmoins cette décision qui va à l’encontre du consensus mondial sur les questions climatiques et réaffirme son engagement irréversible en faveur de la lutte contre les changements climatiques.

« La République du Congo, signataire de l’accord de Paris, principalement en sa qualité de membre de la Commission des forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC) mais également, comme gestionnaire des forêts du bassin du Congo, deuxième poumon écologique mondial, regrette cette décision. Celle-ci va en effet à l’encontre du consensus mondial obtenu de haute lutte sur ces questions primordiales sur le devenir de notre planète », a souligné M. Moungalla.

Toute fois, le gouvernement du Congo reste confiant quant à la pérennité des décisions prises lors de la COP 21 et considère que la position exprimée par les autorités américaines ne signifie pas la fin de cet engagement universel qu’est l’accord de Paris, a-t-il conclu.

L’accord de Paris sur le climat a été signé le 12 décembre 2015 dans la capitale française, par les 195 parties lors de la COP 21, qui se sont engagées à renforcer la lutte contre le changement climatique pour contenir l’élévation de la température moyenne de la Planète nettement en dessous de 2°C par rapport aux niveaux pré-industriels.

Avec Xinhua

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RDC : le chef de la « Maison militaire » du président Kabila sanctionné par Washington

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Les Etats-Unis ont annoncé jeudi avoir sanctionné le lieutenant général François Olenga, chef de la « Maison militaire » du président Joseph Kabila, à qui ils reprochent de « contribuer aux entraves dans le processus démocratique ».

Selon Washington, cet ancien chef d’état-major général des Forces armées de la RDC (FARDC) « aurait également harcelé les opposants politiques, procédé à des arrestations et exécutions arbitraires en empêchant l’action des observateurs de l’ONU ».

En conséquence, « les probables avoirs du général François Olenga aux Etats-Unis sont gelés, son complexe touristique Safari Beach (situé à l’Est de la capitale congolaise) est également ciblé », rapporte l’administration américaine dans un communiqué.

Fin décembre 2016, neuf hauts responsables de l’appareil sécuritaire congolais avaient déjà été sanctionnés par Bruxelles et Washington, accusés de violences ou d’entrave à l’élection présidentielle censée se tenir en décembre 2016. 


Le 28 septembre 2016, l’administration américaine avait annoncé des sanctions financières contre les généraux Gabriel Amisi Kumba et John Numbi, respectivement commandant de la première zone de défense de 
l’armée congolaise et ancien chef de la police nationale congolaise.

Au mois de juin de l’année dernière, l’administration américaine avait annoncé des sanctions financières contre le chef de la police de Kinshasa, général Célestin Kanyama, pour sa « responsabilité dans des violences et des disparitions dans la capitale de la République démocratique du Congo ». 


Lundi 29 mai dernier, c’est l’Union européenne qui a annoncé des sanctions similaires, pour les mêmes motifs, contre 9 officiels congolais. 


Par l’APA

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Arrivée à Dakar des 130 sénégalais expulsés des USA

Arrivée à Dakar des 130 sénégalais expulsés des USA

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Au nombre de 130, ces Sénégalais rapatriés depuis le 20 février ont été reconnus coupables de délits aux Etats Unis.

Dans un communiqué publié le lendemain, le ministère des affaires étrangères et des sénégalais de l’extérieur a précisé que les griefs retenus contre les personnes concernées portent entre autres sur l’entrée illégale et des séjours irréguliers sur le territoire américain d’une part.

Et d’autre part, sur le trafic de drogue, la consommation de stupéfiants, des délits financiers et des délits de contrefaçon.

Les autorités sénégalaises signalent en outre que les mesures d’expulsions des victimes remontent à plusieurs mois. Le consulat général du Sénégal à New York et à l’Ambassade du Sénégal à Washington ont été officiellement saisis depuis juin 2016.

Arrivés samedi soir dans la capitale sénégalaise, les autorités assurent que toutes les dispositions pratiques ont été prises par les services compétents de l’Etat pour leur accueil.

©BBC

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Vingt ans après sa mort, Tupac règne toujours en maître

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13 septembre 1996, Tupac Shakur meurt à Las Vegas. Vingt ans après, il inspire toujours la nouvelle génération de rappeurs, son effigie orne des endroits improbables et son hologramme a donné un concert.

« Plus que tout, il incarnait l’angoisse existentielle des gens opprimés, des pauvres, de ceux qui se sentaient marginalisés », avance Khaled M., fils de dissidents libyens et rappeur, en guise d’explication de l’aura de Tupac.

« Il était la voix des sans-voix », ajoute le jeune homme. « Encore aujourd’hui, je ne pense pas qu’il y ait un artiste de hip-hop capable de reproduire sa voix dans toute son ampleur, sa profondeur et sa passion », affirme-t-il.

Il se souvient encore de sa surprise –quand il a débarqué en Libye après la chute de l’ex-dictateur Mouammar Kadhafi en 2011– de voir la silhouette du rappeur orner les murs, si loin de l’Amérique.

L’influence du chanteur à l’emblématique bandana noué sur le front ne se dément pas. La richesse de la palette de ses émotions et sa façon de les mettre à nu ont permis à ses chansons de franchir les barrières culturelles et les frontières.

DAM, un groupe palestinien de hip-hop, revendique son héritage, tout comme des rappeurs iraniens, africains ou d’Europe de l’Est.

Mais son inspiration n’a pas toujours été positive. Pendant la guerre civile qui a déchiré la Sierra Leone, les rebelles portaient des T-shirts à l’effigie de Tupac. « Hit ‘Em Up » –ode à la violence– était leur chant de guerre.

– Gangsta mais pas que –

Le 7 septembre il y a 20 ans, Tupac Shakur a été blessé de plusieurs balles à un angle de rues de Las Vegas. Il a succombé six jours plus tard dans un hôpital de la ville.

Le mystère de sa mort n’a toujours pas été totalement levé, laissant libre cours à l’imagination. Comme Elvis, Tupac Shakur est régulièrement « aperçu » vivant.

En 2002, le Los Angeles Times avait conclu après une enquête controversée qu’il était tombé sous les balles des Crips, l’un des deux grands gangs de Los Angeles.

Sa mort, à seulement 25 ans, s’est produite au plus fort de la rivalité entre rappeurs de la côte Ouest, dont il était le porte-drapeau, et ceux de la côte Est. Leur héraut, Notorious B.I.G, sera abattu six mois après Shakur.

La violence a joué un rôle important dans la vie et la musique de Tupac Shakur. « Me Against the World » est devenu le premier album en tête du hit-parade aux Etats-Unis dont l’auteur était en prison. Shakur y purgeait une peine pour agression sexuelle.

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Pourtant, il avait débuté comme danseur pour le sensuel groupe Digital Underground et a été l’un des rares rappeurs à ouvertement condamner les violences faites aux femmes.

Au faîte de sa carrière dans les années 1990, il a aussi été un acteur reconnu et aimait se livrer dans de longues interviews introspectives.

Tupac –dont la mère, Afeni, avait participé activement au mouvement des Black Panthers et choisi son prénom en hommage à un révolutionnaire péruvien– n’hésitait pas à s’engager contre les problèmes qui frappaient, et frappent encore, la communauté noire.

Le message n’était pas original mais Tupac le faisait passer comme personne, à un moment où le hip-hop devenait grand public.

– Concert posthume –

L’un des moments les plus bizarres de la « vie posthume » de Tupac a sans aucun doute été son apparition sur scène au festival de Coachella en 2012. Il a donné un concert sous forme d’hologramme, une image produite avec un laser.

Malgré son influence et les cohortes de fans qui font vivre sa mémoire, les hommages plus formels sont rares.

Une école d’art montée par sa mère a fermé et Afeni est décédée en mai cette année.

Travis Gosa, professeur adjoint à la Cornell University, s’inquiète de l’héritage du rappeur.

« Il est assez ironique que 20 ans après la mort de Tupac, vous puissiez entrer dans un café Starbucks et entendre du Tupac se déverser des enceintes », note-t-il.

Par l’AFP

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Drame familial à Abidjan: A l’obtention du visa pour les USA, on lui révèle que de ces 5 enfants, 2 ne sont pas de lui

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C’est le regroupement familial du couple Kouadio qui va relever un vieux secret partagé entre l’amour d’un homme et l’adultère d’une femme que le temps avait jusque-là protégé. Lundi dernier à l’ambassade des USA à Abidjan, c’est un mari inconsolable que l’obtention du visa pour ses enfants a permis de découvrir les tromperies de sa femme. Les larmes aux yeux il se retenait pour éviter de passer pour ridicule dans ce hall plein de demandeurs de visas.

En effet vivant aux États-Unies depuis quelques années, il a pu obtenir la nationalité américaine. Il a donc décidé d’organiser un regroupement familiale. Sa famille est composée de cinq enfants ainsi que sa tendre épouse. Ils rempliront toutes les formalités d’usage pour le regroupement familial sur le sol américain. Monsieur Kouadio fera même coïncider ses congés professionnels pour être à Abidjan avec les siens afin de repartir ensemble pour cette nouvelle vie au pays.

Comme recommandé par les services de l’ambassade en plus des documents administratifs un test d’ADN est effectué sur tous les membres de la famille pour prouver leur filiation commune. La semaine dernière pour le retrait des fameux visas, qui aurait pu imaginer un seul instant ce qui attendait cette famille « soudé »?

« Monsieur, nous sommes désolé mais deux des enfants présentés ne pourront se faire établir de visas car n’étant pas de vous« . Comme un marteau qui venait de l’assommer il ne comprenait pas. Pourquoi tous étaient de lui sauf le 3e et la dernière? Son regard croisait sur le coup celui de sa femme assise à une chaise de lui. Le silence dans la pièce était pesant et personne n’osait le briser, pas même l’agent du consulat qui malgré sa lourde tâche et le monde qui attendait dehors n’osait prononcer un mot.

Lire l’intégralité de l’article sur Oeildafrique.com

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Etats-Unis: trois policiers tués dans une fusillade à Baton Rouge

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Trois policiers ont été tués et trois blessés dimanche lors d’une fusillade à Baton Rouge (Louisiane) où la mort d’un jeune Noir début juillet avait provoqué une vague d’indignation et de manifestations, selon le shérif local.

L’un des tireurs est mort, et deux autres « pourraient être en fuite », selon un communiqué du bureau du shérif.

Ce drame se produit dans un contexte de très fortes tensions raciales dans la capitale de Louisiane, qui a été le théâtre de nombreuses manifestations contre les violences policières.

Ces manifestations, réprimées sans ménagement, avaient suivi la mort début juillet d’Alton Sterling, un vendeur ambulant noir abattu par un policier.

Sur la chaine de télévision locale WAFB9, le maire de Baton Rouge Kip Holden a appelé au calme, redoutant une nouvelle poussée de tension.

« Ne laissons personne définir cette communauté par des actes absurdes de violence », a-t-il déclaré.

Les circonstances exactes de la fusillade de dimanche ne sont pas encore connues, mais il semble que les forces de l’ordre soient intervenues à la suite d’une première fusillade entre plusieurs individus.

« Il semble qu’ils (les agents) ont répondu à une fusillade », a expliqué Casey Rayborn Hicks, porte-parole du shérif, sur la chaîne locale WAFB9.

Plusieurs agents — de la police de Baton Rouge et dépendant du shérif — ont été blessés et transportés dans les hôpitaux locaux.

Une vidéo mise en ligne par la chaîne de télévision montre des policiers arrivant sur les lieux de la fusillade et on peut distinctement entendre des coups de feu.

On entend d’abord une succession de tirs espacés et ensuite un feu bref mais nourri.

Baton Rouge a été le théâtre ces dernières semaines de nombreuses manifestations souvent réprimées de manière très musclées par la police, après la mort d’Alton Sterling, un vendeur ambulant noir abattu par un policier.

– Assassiner des policiers –

La vidéo amateur de ses derniers instants, amplement relayée sur internet, a provoqué une vague d’indignation redoublée le lendemain par la nouvelle qu’un autre Noir, Philando Castile, avait été tué par un policier, cette fois dans le Minnesota (nord).

C’est au cours des nombreuses manifestations dans le pays pour dénoncer les violences policières, qu’un homme seul a abattu cinq policiers à Dallas, le 7 juillet avant d’être tué par les forces de l’ordre.

Micah Johnson, ancien combattant noir américain, a affirmé vouloir tuer des policiers blancs en réponse à la mort de deux Noirs la même semaine sous les balles des forces de l’ordre.

La semaine dernière, la police de Baton Rouge avait indiqué avoir arrêté trois personnes qui avaient pour projet d’assassiner des policiers.

L’un des suspects interpellés, Antonio Thomas, âgé de 17 ans, a dit « pendant son interrogatoire que lui ainsi que trois autres suspects ont volé les armes et allaient se procurer des balles pour tirer sur la police », selon un communiqué de la police publié mardi.

La législation des armes à feu en Louisiane permet de facilement se procurer des armes y compris des fusils d’assaut semi-automatiques.

Par l’AFP

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