Clinton Njie partage une vidéo très osée sur Snapchat

Clinton Njie

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Clinton Njie
Clinton Njie a involontairement publié sur Snapchat cette vidéo d’un peu plus d’une minute. Accompagné d’une jeune fille sur cette vidéo

Depuis quelques heures, l’ancien joueur de l’OM et nouvel attaquant du Dynamo Moscou est en tendance France sur Twitter. C’est à dire qu’il est au cœur de l’actualité.

En effet, Clinton Njie a involontairement publié sur Snapchat cette vidéo d’un peu plus d’une minute. Accompagné d’une jeune fille sur cette vidéo, l’ancien attaquant de l’Olympique de Marseille a expliqué la fuite de cette vidéo sur les réseaux sociaux.

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Je regrette j’avais trop bu, je célébrais mon nouveau contrat et en voulant lire mes messages, j’ai appuyé sur le mauvais bouton”, a indiqué l’attaquant du Dynamo Moscou qui fait le bonheur de Twitter depuis plusieurs heures. Pour le moment, son nouveau club n’a pas communiqué sur cette situation assez mauvaise pour l’image du club qui vient juste de recruter le Camerounais.

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Congo – Denis Sassou Nguesso : Les réseaux sociaux constituent un lieu de refuge du mensonge

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réseaux sociaux
©DR

Le président congolais, Denis Sassou Nguesso a déploré ce samedi, à Brazzaville, la mauvaise utilisation des réseaux sociaux par les congolais.

«Les réseaux sociaux constituent actuellement un lieu de refuge du mensonge, devenant ainsi un réel danger en matière de communication », a déclaré le président de la République dans son discours tenant lieu de réponse au message des forces vives de la nation, à l’occasion de l’échange de vœux de Nouvel An.

On rappelle qu’en février 2017, le ministre congolais des Postes et Télécommunications, Léon Juste Ibombo avait menacé, sur la télévision nationale, de filtrer ou de couper totalement les réseaux sociaux au Congo-Brazzaville parmi lesquels les plus célèbres : Facebook, Whatsapp, Twitter, Skype, Google+…

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«Les réseaux sociaux représentent un risque de propagation de fausses informations, d’incitation à la haine et à la violence. Ils vont même jusqu’à menacer la paix et la sécurité nationale. Dans notre pays, la diffusion de fausses informations dans les réseaux sociaux, risque de nous obliger à prendre des mesures pour restreindre leurs usages.

Autant les réseaux sociaux permettent le développement économique, culturel, social, autant ils peuvent devenir un instrument de destruction. Donc ne soyons pas complice des actes de déstabilisation de notre pays », avait déclaré, d’un ton grave, le ministre Léon Juste Ibombo sur Télé Congo.

Depuis ces derniers temps, une vaste campagne de diffamation orchestrée par des congolais, hostiles au pouvoir de Brazzaville et friands du « buzz », inonde les réseaux sociaux.

Certaines informations sont parfois sans fondement réel.

Des informations qui ont juste une très bonne place dans la corbeille des ragots. La rumeur tout simplement.

Germaine Mapanga

Les Echos du Congo Brazzaville

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Washington exige des demandeurs de visas leur identité sur les réseaux sociaux

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Les Etats-Unis exigent depuis quelques jours de demandeurs de visas, quelle que soit leur nationalité, des informations sur leur identité et leurs comptes sur les réseaux sociaux, dans le cadre d’un renforcement de la politique migratoire américaine, a indiqué vendredi à l’AFP un responsable.

Ce responsable a confié que ce resserrement des contrôles était en vigueur depuis le 25 mai et s’appliquait à tout demandeur de visa pour lequel un agent consulaire américain juge avoir besoin d’informations sur les comptes que ce demandeur possède sur les réseaux sociaux.

Mais il estime que seul « 1% des plus de 13 millions de demandeurs annuels de visas dans le monde entier » pour les Etats-Unis serait affecté par ces nouvelles règles.

« Le département d’Etat a commencé à collecter des informations supplémentaires pour les demandeurs de visas du monde entier quand un officier consulaire estime qu’une telle information est nécessaire pour confirmer une identité », a expliqué le responsable américain.

Ces nouvelles procédures découlent d’un « mémorandum du président (américain Donald Trump) datant du 6 mars 2017 sur le renforcement des contrôles pour les demandes de visas », a poursuivi ce cadre du ministère des Affaires étrangères.

Dans ce cas de figure, « on demandera aux demandeurs de visas de fournir des informations supplémentaires, notamment leurs comptes sur les réseaux sociaux, les numéros de leurs passeports précédents, des informations supplémentaires sur les membres de leurs familles et un historique plus long des voyages, emplois et contacts », a-t-il détaillé.

Par l’AFP

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Réseaux Sociaux: le compte Twitter de ICIBRAZZA certifié

Le compte Twitter de ICIBRAZZA certifié

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Lancé en 2014, le site d’actualités congolais ICIBrazza a obtenu la certification de Twitter. Il est donc le premier portail du Congo-Brazza à bénéficier de cette reconnaissance de la part du site du micro-blogging.

Avec plus de 7000 abonnés sur son Compte Twitter, 30.000 fans sur Facebook, ICIBrazza s’est constitué en deux ans une communauté de passionnés de l’actualité politique et sociale du Congo-Brazza.

Selon les statistiques issues de Google Analytics, ICIBrazza a réussi le pari de compter plus de 200 000 lecteurs par mois. La certification de son compte Twitter garantira aux abonnés une source fiable et digne de foi.

LA REDACTION

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RDC : Pour le général Kanyama, chef de la police les réseaux sociaux sont diaboliques et sataniques

le général Kanyama, chef de la police de Kinshasa

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À 48 heures de la fin du mandat constitutionnel du Président congolais Joseph Kabila, les autorités de Kinshasa ont décidés de mettre un coup de frein aux réseaux sociaux synonymes d’une radicalisation et manipulation de la population.

Pour le Commissaire provincial de la Police nationale congolaise, ville de Kinshasa, le général Célestin Kanyama, les réseaux sociaux seraient diabolique et sataniques. Des propos tenus devant la presse local lors d’un message de mobilisation et d’encouragement à ces troupes afin qu’ils soient prêt à faire face à des éventuels troubles à partir du 18 décembre.

« Ce sont les congolais de l’étranger qui envoient des messages à travers les réseaux sociaux. Des réseaux diaboliques, sataniques…Des réseaux de distractions. Il y a du travail à Kinshasa. S’ils n’ont pas mieux à faire en Europe, qu’ils reviennent trouver du travail au Congo. » lance le général Kanyama à la diaspora congolaise.

Pour le général congolais, il s’agit avant tout de réaffirmer le professionnalisme de ces hommes. « Nous sommes là pour sécuriser le pays. Nous allons garantir la sécurité des populations. Notre police est désormais professionnelle. » affirme t-il.

Officiellement, trois fournisseurs d’accès ont indiqué avoir reçu une notification formelle de l’Autorité de régulation des postes et des télécommunications (ARPTC) les enjoignant de restreindre l’accès aux réseaux sociaux « à dater du 18 décembre 2016 à partir de 23h59 ».

 La lettre de l’ARPTC demande, sans plus d’explication, le « blocage momentané de tous les échanges d’images, des vidéos et de la voix via réseaux » et cite une liste « non exhaustive » de ces réseaux parmi lesquels les plus célèbres : Facebook, Whatsapp, Twitter, Skype, Google+…
 
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Congo : les journalistes sensibilisés aux réseaux sociaux

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Les journalistes sensibilisés aux réseaux sociaux
Les journalistes sensibilisés aux réseaux sociaux

L’Agence de régulation des postes et communications électroniques (Arpce) dirigée par Yves Castanou, a organisé du 24 au 25 mai à Brazzaville, un séminaire d’information et de formation des professionnels des médias sur le thème : « un journalisme 2.0 responsable, promoteur de l’économie numérique ». Autrement, l’ensemble des pratiques journalistiques via une plateforme de réseau social.

L’objectif était de mettre les chevaliers de la plume et du micro au faîte des mutations et innovations du secteur du numérique (Facebook, twitter…) puis les inciter à en faire usage pour informer ou réagir en temps réel, sur un sujet d’actualité.

« Si pendant longtemps, les médias classiques étaient seuls détenteurs du pouvoir d’informer le public, aujourd’hui, avec l’avènement de l’internet, l’expansion des réseaux sociaux, toute personne a désormais la possibilité de s’informer librement de n’importe quel sujet, à tout moment où qu’il soit, avec la certitude d’être suivi par un public plus large », a déclaré à l’ouverture, le directeur administratif et financier de l’Arpce, Victor Mabiala, au nom du directeur général.

« Du point de vue de la liberté d’expression, ces nouveaux outils de communication peuvent être considérés comme une avancée. Cependant, entre les mains des amateurs et personnes malintentionnées, ils sont quelques fois très nuisibles », a-t-il.

C’est ainsi que pour outiller les participants sur la manière de protéger des données, éviter d’être victime d’escroquerie ou de piratage, des thèmes sur la cyber sécurité, la manière de gérer son e. réputation (l’idée que l’on peut faire de toi via tes publications sur le net) ont été longuement débattus.

La gestion des communautés web, la manière de rédiger sur le web ont été aussi abordées. Une occasion ayant permis à quelques journalistes ne disposant pas de comptes twitter de s’inscrire sur ce réseau social.

Un rappel sur l’éthique déontologique du journalisme

Outre les échanges sur les nouveaux outils de communication, une séquence de cette formation a été consacrée au rappel sur l’éthique et la déontologie de la profession du journalisme.  L’objectivité dans le traitement de l’information, la véracité des faits que l’on rapporte, le respect de la vie privé des personnalités s’inscrivent parmi les points soulevés par l’exposant, Berry Martin, qui a de même reconnu les difficultés quotidiennes auxquelles font face les journalistes dans l’exercice de leur profession.

L’apport de l’Arpce dans la diversification de l’économie

Créée en 2009, cette agence nationale a pour mission, entre autres, de faire le suivi et l’évaluation des secteurs des postes et des communications électroniques : garantir le service aux usagers, encadrer l’activité des opérateurs, œuvrer pour l’intérêt national.

A travers son exposé sur l’apport de l’Arpce dans la diversification de l’économie nationale, le directeur de l’Economie et du marché de cette institution M. DEKOLOLO, a démontré que les revenus mensuels du secteur des télécommunications étaient de 13,7 milliards FCFA en 2009. En 2016, ils sont estimés à 23 milliards FCFA par mois.

Rappelons qu’à l’issue de cette formation, les participants ont formulé plusieurs recommandations parmi lesquelles : être doté d’un support numérique afin de mettre en pratique des notions acquises durant ces deux jours de formation. Répondant à cette doléance, le directeur général de L’Arpce a promis de remettre dans les prochains jours, une tablette à chaque séminariste.

Lopelle Mboussa Gassia

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