Congo : Le commissaire du PSP de Vindoulou présenté à la presse par le commissaire central de Pointe-Noire

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Le commissaire du PSP de Vindoulou présenté à la presse par le commissaire central de Pointe-Noire

Il est bien vivant! Il n’a jamais été tué lors d’un braquage dont il aurait été l’auteur chez un ami douanier, comme l’affirmait un message relayé sur Whatsapp.

C’est pour apporter un vibrant démenti à cette rumeur que le commissaire central de Pointe-Noire, le colonel Miakatsindila Landry, s’est rendu ce vendredi 22 novembre 2019 au PSP de Vindoulou, accompagné de la presse, pour donner la preuve que le capitaine Debi était bel et bien vivant et que tout ce qui se racontait sur lui était faux, sans fondement.

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Début à Brazzaville des assises de la presse congolaise

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Image d’archive|© DR

Les assises de la presse congolaise, dont l’enjeu est de faire l’état de l’évolution des média, 25 ans après celles tenues en 1992, ont démarré jeudi à Brazzaville, par le ministre de l’Intérieur et de l’Administration du territoire, Raymond Zéphirin Mboulou, en présence de plusieurs hautes personnalités parmi lesquelles, l’ancien Premier ministre, Henri Lopes.

Ouvrant les travaux de les travaux, au nom du Premier ministre Clément Mouamba, le ministre Raymond Zéphirin Mboulou, après avoir décrié la pratique du journalisme au Congo qui ne « comble pas encore les attentes du public », a salué la tenue de ces assises.

« Ces assises arrivent à point nommé car, les mauvaises pratiques du journalisme au Congo caractérisées par le sensationnel, la diffamation, la calomnie…subsistent et ont tendance à s’aggraver », a déploré Raymond Zéphirin Mboulou.

Il a souhaité que cette rencontre « dégage des solutions correctives afin que cette presse réponde aux attentes du public en matière d’information, et qu’elles fassent sortir un cadre juridique adapté au niveau paysage médiatique mondiale. »

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Pour le ministre de la communication, porte-parole du gouvernement, Thierry Lézin Moungalla « cet évènement doit être considéré comme une nécessité historique en ce qu’il devrait poser les jalons d’un journalisme du 21ème siècle au Congo et contribuer à la démocratie, facteur de progrès. »

De son côté, Philippe Mvouo, président du Conseil supérieur de la liberté de la Communication (CSLC) du Congo, organe qui a initié les assises de la presse, a saisi cette opportunité pour assener un coup de massue à cette presse congolaise qui est, d’après lui, « pourtant libre, mais sape sa liberté » par ses mauvaises pratiques.

« Avec la tenue de ces assises la presse congolaise devrait passer par les étapes incontournables que sont la formation, la professionnalisation, la responsabilité, l’acquisition des vertus humaines (…) pour se rende davantage utile et indispensable à la société congolaise », a souhaité Philippe Mvouo.

Les travaux de ces assises de la presse devront prendre fin le 28 octobre avec à l’affiche un nouvel horizon de la pratique du journalisme au Congo.

Avec APA 

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La libération de Paulin Makaya et le drame de Chacona font les choux gras de la presse congolaise

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Image d’archive|AFP

Les journaux congolais de ce mardi traitent essentiellement de la libération de l’opposant et président du parti politique Uni pour le Congo après plusieurs tractations et du plaidoyer d’une ONG des droits de l’Homme axé sur l’accompagnement des familles des 13 victimes du drame de Chacona. 

« Condamné pour complicité d’évasion en 2016, en sus de la première inculpation pour incitation aux troubles à l’ordre public en 2015, puis emprisonné à la maison d’arrêt de Brazzaville ( …), le président de la 3ème chambre correctionnelle, François Ibombo a annoncé le 13 septembre dernier la libération de Paulin Makaya, après 3 ans de détention », informe l’hebdomadaire Le Patriote.

Le journal Epanza Makita se demande « quel (sera) l’avenir politique de Paulin Makaya après sa libération» là où le quotidien Manager Horizon met un accent sur les suites du verdict de la libération de Paulin Makaya.

Toujours dans domaine judiciaire, le journal Les dépêches de Brazzaville fait un focus sur la condamnation par la Cour pénale internationale (CPI) de l’ex-chef de guerre et sénateur de la République démocratique du Congo (RDC) au paiement de 300 000 euros pour subordination de témoins.

Les journaux traitent aussi de la lutte contre la corruption. Le journal Polélé-polélé se demande si « les discours du (président Denis) Sassou N’Guesso à propos de la lutte contre les voleurs de la République vont pourrir sans résultats », estimant qu’une fois « dénoncés, ces derniers ne sont pas punis ».

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Le quotidien Le Patriote se fait l’écho du message des jeunes de l’opposition congolaise qui, lors de leur Assemblée générale du 14 septembre dernier à Brazzaville, ont exigé « du gouvernement des mesures concrètes » pour endiguer ce problème.

La presse congolaise revient sur le drame du Commissariat de Chacona qui avait occasionné la mort de 13 jeunes et met en relief le plaidoyer de l’Observatoire congolais des droits de l’Homme (OCDH) pour l’accompagnement des parents de disparus.

Le quotidien Les Dépêches de Brazzaville renseigne qu’au cours d’une conférence de presse tenue samedi dernier, le directeur de l’OCDH, Trésor Nzila, a lancé un appel au gouvernement afin « qu’il prenne des mesures sociales plus conséquentes à l’endroit des parents des treize victimes ».

Selon l’OCDH dont les propos du directeur sont rapportés par Polélé-polélé, « l’enquête a été bâclée ». C’est la raison pour laquelle, ladite structure « exige l’exhumation des corps des victimes pour faire la lumière sur ce drame ».

Epanza Makita rapporte que « malgré l’allocation du gouvernement de 2 millions F CFA par famille pour les enterrements, l’OCDH demande l’exhumation des corps pour l’autopsie et le départ du ministre de l’Intérieur Zéphirin Mboulou ».

Avec l’APA

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L’arrestation de 67 douaniers et la grève à l’Université Marien Ngouabi au menu des quotidiens congolais

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Image d’archive|AFP

Les quotidiens congolais parvenus à APA ce mardi traitent essentiellement de l’arrestation de 67 douaniers pour fraude douanière et la grève illimitée déclenchée par les enseignants de l’Université de Marien Ngouabi pour réclamer 6 mois de salaire et près de 2 ans d’heures supplémentaires.

« Grève à l’Université Marien N’gouabi depuis le vendredi 7 septembre 2018 » barre à sa une le quotidien Sel-Piment qui informe que les syndicalistes de l’unique université publique du pays dénoncent « le manque de volonté du gouvernement pour résoudre les problèmes posés par les travailleurs depuis d’une année ».

Ces problèmes sont entre autres six mois de salaires impayés, le paiement de 50% des heures dues au titre de l’année 2015-2016 et l’injustice des autorités congolaises dans le traitement des personnels de l’université par rapport à ceux de la fonction publique, souligne le journal.

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Evoquant les causes de cette grève, le quotidien Polélé-polélé informe que l’université a fermé ses portes pour « faire la lumière sur la situation sociale des travailleurs de cette Université ».

Sous le titre « Arrestation de plus de 67 douaniers dans la magouille de détournement de 800 milliards F.CFA » l’hebdomadaire Manager Horizon revient sur l’affaire de ces agents de l’Etat accusés de fraude sur une déclaration des marchandises en transit avant d’informer que les mis en cause ont été déférés à la maison d’arrêt.

« Pourquoi chercher le FMI (Fonds monétaire international), alors que les recettes portuaires et douanières bloquées auraient pu payer la dette congolaise en six mois ? » s’interroge pour sa part le quotidien Sel-Piment qui publie les noms des douaniers interpellés.

Sur ce même sujet, le quotidien national Les Dépêches de Brazzaville cite le nouveau directeur de la caisse de traite des fonctionnaires (CRF), François Nguimbi, qui invite la justice congolaise à faire la lumière sur « le détournement de pensions des mois de novembre et décembre 2016(près de 9 milliards FCFA) au niveau de cette caisse ».

Avec APA

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Congo: des ONG demandent la libération d’un journaliste

Le Président Denis Sassou N'guesso

Deux organisations de défense et de protection des journalistes ont adressé une lettre ouverte au chef de l’Etat congolais Denis Sassou Nguesso lui demandant la libération d’un journaliste indépendant emprisonné sans jugement depuis plus de huit mois, selon un communiqué conjoint parvenu mardi à l’AFP.

Reporters sans frontières (RSF) et le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) ont écrit au dirigeant congolais pour « demander la libération immédiate du journaliste et éditeur du journal Talassa, Ghys Fortuné Bemba », selon le communiqué.

« La détention de M. Bemba, qui dure depuis plus de huit mois, sans procès, est inhumaine et résonne comme une intimidation pour tous les médias du Congo », dénoncent les deux ONG.

« Nous vous demandons instamment d’user de votre entregent pour assurer que M. Ghys Fortuné Bemba soit immédiatement libéré et que toutes les enquêtes contre lui soient abandonnées », insistent-elles.

M. Bemba est aux arrêts depuis le 11 janvier. Il est accusé par le procureur de la République « de complicité d’atteinte à la sécurité de l’Etat », en lien avec la publication d’une déclaration de l’ancien chef rebelle, Frédéric Bintsamou, alias Pasteur Ntumi.

Depuis avril 2016, M. Ntumi et ses ex-combattants ninjas sont accusés par le gouvernement de perpétrer des exactions sur les populations du Pool (sud) où au moins 138.000 personnes sont en détresse, selon l’ONU. M. Ntumi et trois de ses lieutenants sont sous le coup d’un mandat d’arrêt émis par la justice congolaise.

« Selon une personne proche du dossier du journaliste, la demande de liberté conditionnelle en attendant le procès a été refusée et aucune date d’audience n’a été fixée », déplorent encore RSF et CJP.

Le porte-parole du gouvernement congolais Thierry Moungalla n’était pas joignable mardi pour réagir aux déclarations des deux ONG.

Congo – Législatives 2017 : La presse internationale s’empare des fautes législatives

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« GagnIons ensemble », « Pour un avenir meilleurS », « Tous déterminEZ »… Au Congo-Brazzaville, les candidats ont commencé à placarder leurs affiches de campagne pour le premier tour des élections législatives, prévu le 16 juillet prochain. Mais nombre d’entre elles sont truffées de fautes d’orthographe et de grammaire, ce qui n’a pas échappé à certains internautes qui moquent ce manque de sérieux.

Après les perles du bac, c’est au tour des candidats aux élections législatives congolaises d’être la cible des moqueries sur les réseaux sociaux. Depuis la semaine dernière, des internautes s’amusent à corriger les affiches de campagne mal écrites ou bourrées de fautes des candidats.

« Aidez les autres c’est mon métier », a ainsi écrit une candidate sur son affiche, jugeant bon de conjuguer un verbe qui devrait être écrit à l’infinitif.

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Egypte : 62 sites internet bloqués par les autorités

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L’Egypte a bloqué une soixantaine de sites Internet depuis la fin mai, ont indiqué lundi des défenseurs des droits de l’Homme et des professionnels de la presse, au moment où le pouvoir est accusé de museler la liberté d’expression.

Les autorités avaient déjà bloqué une vingtaine de sites Internet le 24 mai, notamment ceux de médias qataris comme la chaîne Al-Jazeera, le site indépendant égyptien Mada Masr connu pour sa liberté de ton, ou encore Huffpost Arabi, le site en arabe du média américain The Huffington Post.

Lundi, le nombre total de sites bloqués atteignait les 62, selon une ONG égyptienne, l’Association pour la liberté de pensée et d’expression.

Au total, dix sites d’informations égyptiens sont concernés, ainsi que « plusieurs sites offrant un service VPN » (réseau privé virtuel), qui permet de contourner la censure antiétatique, a indiqué l’Association sur son site Internet.

« Certains sites ont été temporairement débloqués, avant d’être bloqués à nouveau », a indiqué à l’AFP l’avocate des droits de l’Homme Fatma Serag, qui travaille pour l’Association.

Parmi les nouveaux sites concernés, figurent Al-Badil et Al-Bedaya, connu lui aussi pour ses positions critiques vis-à-vis du gouvernement.

Le rédacteur en chef d’Al-Bedaya, Khaled Elbalshy, a indiqué à l’AFP avoir présenté une plainte au syndicat des journalistes afin de déterminer les raisons du blocage, précisant qu’on ignorait quelle entité étatique avait pris cette initiative.

– « Débat au Parlement » –

Les autorités égyptiennes n’ont pas communiqué sur la question.

M. Elbalshy a toutefois indiqué que ces mesures « coïncidaient avec le débat au Parlement concernant l’accord controversé de Tiran et Sanafir », deux îlots de la mer Rouge que le gouvernement souhaite rétrocéder à l’Arabie saoudite, malgré une forte contestation au sein de l’opinion publique.

Le gouvernement égyptien avait annoncé en avril 2016 la rétrocession à Ryad des deux petits îlots inhabités, soulevant alors une vive controverse et déclenchant des manifestations contre le régime du président Abdel Fattah al-Sissi.

« Le syndicat des journalistes et le Conseil supérieur des médias se coordonnent pour envoyer une circulaire aux autorités compétentes, afin de connaître les raisons du blocage et l’entité qui en est responsable », a indiqué à l’AFP le secrétaire général du syndicat, Hatem Zakaria.

Les organisations de défense des droits de l’Homme accusent régulièrement le président Sissi, l’ex-chef de l’armée qui a destitué son prédécesseur islamiste Mohamed Morsi en 2013, de réprimer toute voix dissidente.

Au classement mondial de la liberté de la presse 2017 publié par Reporters sans Frontières, l’Egypte est au 161e rang sur 180.

Par l’AFP

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Congo : vers la tenue prochaine des assises nationales de la presse

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Le ministère de la Communication et des médias en collaboration avec le conseil supérieur de la liberté de communication, entendent convoquer dans les prochaines semaines, les assises de la presse nationale congolaise, en vue de débattre des problèmes qui minent le bon fonctionnement des médias congolais tant publics que privés.

Les préparatifs de cette grande rencontre des spécialistes de l’information et de la communication ont été lancés mardi à Brazzaville, conjointement par le ministre de la Communication et des Médias, Thierry Moungalla et le président du Conseil supérieur de la liberté de communication, Philippe Mvouo.

Prévue pour la fin du mois de mai, la tenue de cette grande rencontre des professionnels de l’information et de la communication se justifie selon les organisateurs, par le rôle primordial que joue la presse et sa place en tant que pilier de l’édification d’une société démocratique.

« Il est donc temps de jeter un regard rétrospectif sur les pratiques de la presse et de la régulation et, d’évaluer le cadre juridique, institutionnel et économique de la régulation des médias afin de dégager les perspectives d’avenir », a déclaré M. Moungalla à cette occasion.

« Nous devons nous plancher sur la formation des communicateurs, sur leur statut, sur le métier dans ses évolutions technologiques, éthiques et déontologiques. Il y a aussi la nécessité de revisiter cette notion de liberté de la communication et de nous assurer ensemble du bon usage de cette liberté de communication « , a-t-il ajouté.

 

Pour le président du Conseil supérieur de la liberté de communication (organe de régulation), ces assises sont d’une importance capitale car, 25 ans après la tenue des premiers états généraux de la presse congolaise, bon nombre de médias congolais ne veulent pas se conformer aux textes et lois régissant le secteur de la presse.

« L’intérêt de tenir les assises nationales de la presse congolaise s’impose à nous, il faut que nous allions vers la tenue de ces assises qui vont constituer un haut lieu de réflexion, de concertation et de partage sinon autrement, c’est notre presse qui va se disqualifier », a indiqué M. Mvouo.

« Il s’agit aujourd’hui de créer un cadre de concertation proactive pour s’interroger sur l’avenir de la presse en République du Congo. En vérité, ces assises demeurent un tournant décisif et irréversible pour parvenir à une presse plus libre, plus responsable, plus professionnelle, plus moderne et crédible », a-t-il en outre poursuivi.

Au cours de cette future conférence, maintes fois reportée, les participants auront à charge de diagnostiquer tous les maux dont souffre le secteur depuis la Conférence nationale souveraine, en vue d’en trouver des solutions appropriés.

La conférence nationale souveraine s’est tenue en 1991 et a consacré l’ouverture du Congo à la démocratie et au pluralisme politique. Elle constitue un tournant historique pour la presse congolaise dans ce sens où elle a marqué une césure avec le passé et a posé les bases de la liberté de la presse dans toutes ses dimensions.

C’est dans cette optique qu’ont été organisés les premiers états généraux de la presse congolaise du 20 avril au 12 mai 1992. Assises à l’issue desquelles, une charte de bonne conduite des professionnels de la communication et de l’information fut adoptée, en vue entre autres de mieux encadrer la profession de journaliste et d’y mettre de l’ordre.

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Congo: la tenue en 2017 des assises nationales de la presse

Philippe Mvouo

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Le président du Conseil supérieur de la liberté de communication (CSLC), Philippe Mvouo, a annoncé vendredi à Brazzaville, la tenue cette année des assises nationales de la presse.

« Nous envisageons la tenue des assises nationales de la presse, du 24 au 27 avril prochain; le lancement de ses préparatifs ne saurait tarder », a précisé Philippe Mvouo, au cours de la cérémonie d’échanges de vœux avec ses collaborateurs et les responsables des médias au Congo.

Au cours de cette même année, a-t-il poursuivi, l’attribution de la carte de presse sera effective et le CSLC va procéder également à la révision du fichier des médias; à la régulation des élections législatives, locales et sénatoriales.

Le président du CSLC a appelé les journalistes, les professionnels de l’information et de la communication à la « rigueur dans le traitement de l’information et la vérité pour ne pas tromper le public ».

Avec Xinhua

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Politique, économie, insécurité et coopération au menu de la presse congolaise

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La politique, l’économie, la sécurité et la coopération internationale, sont les principaux titres à la Une à Brazzaville ce jeudi.

« Libre-propos : les raisons de l’échec d’une opposition « non systémique », titre l’hebdomadaire ’’Sel-Piment’’ qui accuse l’opposition congolaise d’être « disparate et en mal d’égo ».

Le journal souligne que « l’opposition congolaise est dépourvue de vision nationaliste et est orientée vers la politique du tout enrichissement personnel illimité, d’où son échec ».

« Que doit faire le peuple congolais face une telle opposition ? » s’interroge l’hebdomadaire La Griffe qui se fait l’écho des divisions qui secouent l’Union Panafricaine pour la Démocratie sociale (UPADS), premier parti politique de l’opposition.

Le journal titre à ce propos : « Un courant est né au sein du parti de Pascal Lissouba (chef de l’Etat congolais ). « Un courant dénommé ‘’Ligne du Congrès 1995’’, regroupant un certain nombre de cadres de ce parti, dans une déclaration signée du 20 décembre 2016, conteste la gérance de ce parti par l’actuel secrétaire général, Pascal Tsaty Mabiala.

Ce courant se veut porteur d’un nouveau départ de l’UPADS dans un esprit d’unité et de rassemblement souhaité par le Président Pascal Lissouba », rapporte ce journal.

Parlant d’insécurité dans le département du Pool, l’hebdomadaire Le Nouveau Regard rapporte qu’« un convoi militaire qui se rendait dans ce département le 19 décembre, a essuyé des coups de feu et un commandant des Forces armées, le nommé Bob Elion, a trouvé la mort à la gare de Missafou (une localité de ce département.

« L’hebdomadaire aborde sa page économique en relayant les stratégies du Congo pour ajuster son économie et rapporte que : « celles-ci sont entre autres la réduction du train de vie de l’Etat, la réduction du rythme des évacuations sanitaires de même que l’application de la retraite automatique… »

Dans le même volet, Les Dépêches de Brazzaville rapporte que « le pétrole est en légère hausse en cette fin d’année » ajoutant que « le prix du baril de « light sweet crude », référence américaine du brut, a pris 88 cents à 53,90 dollars sur le contrat pour livraison au New York Mercantile exchange (Nymex).

Ce quotidien aborde aussi le volet coopération en rapportant que «dans le cadre de leur coopération bilatérale, le Congo et l’Italie entendent mettre sur pied un cadre de coopération pour former les
étudiants congolais dans les université italiennes », soulignant que cette volonté émane de l’ambassadeur d’Italie au Congo, Andrea Mazzella.

Par l’APA

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