Passeports Africains puissants ou crédibles: Maurice, Seychelles en tête, Congo 94e

Les passeports congolais

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Les passeports congolais
Les passeports congolais © DR

C’est le Japon qui se trouve au hit-parade du classement de Henley Passport Index sur 107 pays. Cet indice classe les passeports de nombre de pays en fonction de leur accès sans visa. Ce qui mesure leur fiabilité.

Ainsi, le dernier classement donne Singapour en deuxième position suivi de la Corée du sud.

Quant à l’Afrique, ce sont les Seychelles qui se classent en premier, soit à la 29e place. Le passeport de ce pays permet un accès sans visa ou avec un visa à l’arrivée pour 151 destinations. Vient ensuite Maurice (32e place), puis l’Afrique du sud (56e), le Botswana (62e), la Namibie (67e) et Congo Brazzaville (94e).

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Le passeport mauricien permet un accès sans visa pour 146 pays, contre 191 pour le Japon qui est en pole position.

Voici le classement des 107 pays concernés par cet indice.

Passeports Africains puissants ou crédibles: Maurice, Seychelles en tête, Congo 94e

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France-Congo : Plus de visas de court séjour aux ressortissants congolais et français titulaires de passeports diplomatiques sécurisés

Le passeport congolais

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Le passeport congolais
Un passeport ordinaire congolais ©ICIBRAZZA

Dans le cadre de la poursuite de leur politique conjointe en la matière qui avait conduit à la signature, le 25 octobre 2007, d’un accord entre les deux gouvernements, les deux pays ont échangé, le 26 septembre à Brazzaville, leurs lettres d’engagement.

Les lettres d’engagement renouvellent pour deux ans l’accord entre les deux pays. Au cours de la cérémonie d’échange, le Congo était représenté par le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, de la coopération et des Congolais de l’étranger, Cyprien Sylvestre Mamina, et la France par le chargé des affaires de son ambassade au Congo, Gilles Roussey.

En effet, dans l’esprit de conforter leurs relations bilatérales et favoriser la circulation des ressortissants et cadres des deux pays, titulaires de passeports diplomatiques, les deux parties ont décidé de signer, le 25 octobre 2007, un accordqui dispense de visas de court séjour aux ressortissants congolais et français détenant de passeports diplomatiques sécurisés.

Cependant, l’article 1er de ce texte prévoit que cette dispense produira ses effets durant deux ans, notamment à compter de son entrée en vigueur et qu’elle pourra être reconduite par échange de lettres d’engagement entre les deux parties. C’est dans ce sens qu’elle a été reconduite à plusieurs reprises. La dernière reconduction a pris effet le 1er octobre 2017 et arrivera à son échéance le 30 septembre 2018.

Pour les deux parties, la mise en œuvre de cette dispense pour une durée de deux ans, à compter du 1er octobre 2018, fera l’objet d’une évaluation conjointe avant un an, dans le cadre du comité de suivi de l’accord. Sa reconduction pour la deuxième année est subordonnée au consentement des deux pays sur le caractère positif de cette évaluation.

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« Il s’agit là de l’aboutissement d’un processus laborieux de négociation qui va durer deux ans. Parce que, nous n’étions pas trop loin de la disqualification de notre passeport diplomatique par nos partenaires français. Mais, nous pouvons dire maintenant que la mission est accomplie. Cependant, ce n’est pas tout car chaque année, nous allons procéder à une évaluation », a déclaré Cyprien Sylvestre Mamina. Il a précisé que c’est suite aux instructions fermes à ce sujet du président de la République, Denis Sassou N’Guesso, que cela a été exécuté, avec la compréhension et l’accompagnement de l’ambassade de France. Des instructions qui avaient pour but de redonner la crédibilité au passeport diplomatique congolais.

« Au nom du ministre de l’Europe et des affaires étrangères françaises, je signe le document relatif à l’échange de lettres qui renouvelle pour deux ans, les dispenses de visas sur les passeports diplomatiques sécurisés. C’est une disposition prévue dans l’accord du 25 octobre 2007 sur la gestion concertée des flux migratoires et le co-développement signé entre nos deux pays », a déclaré Gilles Roussey, avant d’assurer que l’ambassadeur de France au Congo, le consul général et le responsable de la sécurité intérieure sont disponibles à poursuivre les efforts menés dans ce sens.

« Nous sommes heureux, parce que le passeport diplomatique congolais n’est plus la risée. Et nous tenons à ce que ce qui a été sauvegardé soit un acquis de tous », a conclu Cyprien Sylvestre Mamina.

Notons que c’est en appliquant cet accord qu’environ mille deux cent quatre-vingt-sept passeports diplomatiques congolais ont été retirés et détruits publiquement. 

Rock Ngassakys

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Congo – Diaspora : Les premiers passeports issues de l’enrôlement de Paris remis aux intéressés

l'ambassadeur du Congo en France, Rodolphe Adada

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l'ambassadeur du Congo en France, Rodolphe Adada
Congo – Diaspora : Les premiers passeports issues de l’enrôlement de Paris remis aux intéressés ©DR

Alors qu’on les attendait dans un mois au moins, à compter de la date de dépôt des dossiers, il s’en est fallu huit jours à peine, pour que le premier lot des passeports issus de l’enrôlement de Paris soient disponible. Les bénéficiaires, onze au total, ont reçu leur document de voyage le 23 mars à Paris, au cours d’une cérémonie patronnée par l’ambassadeur du Congo en France, Rodolphe Adada.

Le 23 mars, les services consulaires du conseiller à l’État civil, Bernard Elenga, ont pu officialiser la remise des passeports des onze impétrants ayant effectué les démarches par le site www.ambacongofr.org

Les premiers passeports ont été délivrés dans le strict respect des règles d’obtention du passeport biométrique, parmi lesquelles, la présence obligatoire du demandeur qui a déposé sa demande en personne sur rendez-vous et qui est aussi le seul habilité à récupérer son passeport après identification par ses empreintes digitales.

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À l’occasion de cette remise officielle, Rodolphe Adada s’est dit satisfait, relevant le fait que « les plus satisfaits doivent être ceux qui ont reçu leurs passeports dans un tel délai car, à l’époque, c’était la croix et la bannière pour les obtenir ».

Les problèmes techniques surmontés, le service consulaire de l’ambassade, conforté par son nouveau système d’enrôlement, est habilité à la délivrance des passeports biométriques, dans le respect des règles internationales édictées par l’aviation civile. 

« Cela a pris un certain temps, l’attente est terminée. Conformément à notre promesse faite, nous avons tenu à rendre la remise de passeports publique », a expliqué l’ambassadeur.

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

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Congo – Administrations publiques : Suppression de la gratuité des documents d’état civil

 

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Le passeport congolais

Les passeports, actes d’état-civil et autres documents établis par les services administratifs, dont la gratuité avait été décidée depuis quelques années, sont de nouveau soumis au paiement d’une taxe pour leur délivrance. La mesure qui fait partie des nouvelles dispositions contenues dans le budget exercice 2018, vise à renflouer les caisses de l’État.

Adopté sur fond de discussions avec le Fonds monétaire international (FMI), le budget 2018 se caractérise par une cure d’austérité destinée à reconstituer les réserves en devises du pays et à maîtriser la dette publique.

Ainsi, pour renflouer les caisses de l’État, il a été entre autres mesures, décidé de la suppression de la gratuité des documents établis par les administrations publiques.

Aussi, l’obtention du passeport ; des actes et documents d’état-civil ; des documents établis et délivrés par les administrations de justice, du commerce, de transport, des statistiques, de la police, de la gendarmerie et de la santé ; les inscriptions aux examens et concours d’État ; le retrait des diplômes d’État ; les déclarations d’importation ; les certificats des services de santé sont à nouveau soumis au paiement d’une taxe.

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« La loi ne mentionne pas le montant des droits à payer pour chacun des actes et documents visés. Les administrations compétentes pour leur délivrance établiront les conditions financières de leur obtention, lesquelles ne devraient pas différer fondamentalement de celles antérieures », précise le texte.

En l’absence d’une campagne de sensibilisation et surtout d’un barème fixant les prix des différents actes et services, il est notée une véritable spéculation, selon que les citoyens recourent à tel ou tel autre service, ce avec une augmentation exponentielle des prix pratiqués avant la mesure de gratuité. C’est le cas du certificat de nationalité et du casier judiciaire, délivrés par les services de justice, qui sont passés de 1500 à 2500 Francs CFA.

Le prix de la carte nationale d’identité délivrée par les services de police varie désormais, entre 2000 et 15 000 Francs CFA. Bien entendu, les frais annexes de cartes de crédit téléphonique systématiquement exigés à l’usager pour être rappelé, n’y sont pas compris.

S’agissant des inscriptions aux examens, les candidats libres au baccalauréat technique ont dû débourser, chacun, la somme de 20 000 Francs CFA. 

Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville

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La RDC envisage le refus des visas aux détenteurs des passeports diplomatiques belges

Kabila

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La République démocratique du Congo envisage quelques sanctions coercitives envers la Belgique, notamment le refus des visas aux détenteurs des passeports diplomatiques belges. Le vice-ministre en charge des Congolais de l’étranger, Antoine Boyamba l’a annoncé jeudi 6 octobre.

Selon lui, la RDC risque même de prendre quelques sanctions économiques contre la Belgique.

Ces éventuelles sanctions sont considérées en vertu du principe de réciprocité qui est «la règle numéro un en diplomatie», précise Antoine Boyamba.
 
La Belgique a décidé de limiter à six mois la durée des visas octroyés aux responsables congolais porteurs de passeports diplomatiques, en raison de l’évolution de la situation politique de la RDC.

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«En diplomatie, la règle numéro un c’est la réciprocité. La RDC a aussi le devoir ou le droit plutôt de prendre quelques décisions coercitives. Nous aussi on peut dire qu’on ne donne plus des visas, aux détenteurs des passeports diplomatiques belges ou quelques sanctions économiques», déclare Antoine Boyamba.
 
Il précise que la RDC n’est pas encore au stade des sanctions mais que cette possibilité n’était pas exclue.
 
«C’est une mesure qui sera prise au niveau du gouvernement. On n’a pas encore pris de décisions, mais il faut envisager la réciprocité. C’est la règle, comme je l’ai dit. Et ce que nous prendrons nous congolais comme décisions, ça sera aussi de notre droit et de notre souveraineté. Nous n’allons pas nous laisser faire. Ce n’est pas nous qui enclenchons la guerre ou la bataille», ajoute le vice-ministre des Congolais de l’étranger.
 
Il indique que les Congolais sont en train de travailler, mais que «s’il y a des pays qui estiment qu’ils doivent danser plus vite que la musique, c’est leur problème».

Avec Radiookapi

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Suppression de visas entre le Cameroun et la Chine

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Les détenteurs de passeports diplomatiques et de service du Cameroun et de la Chine n’ont plus besoin de visa pour se rendre dans l’un et l’autre de ces deux pays, stipule un accord diplomatique signé jeudi à Yaoundé par le ministre camerounais des Relations extérieures, Lejeune Mbella Mbella, et l’ambassadeur de Chine au Cameroun, Wei Wenhua.

Quarante-cinq ans après l’établissement de leurs relations diplomatiques, la Chine et le Cameroun se sont mis d’accord pour intensifier leurs échanges mutuels croissants par la suppression réciproque de l’obligation de visa pour les ressortissants des deux pays, détenteurs de passeports diplomatiques ou de service, en cours de validité.

Cet accord, a expliqué le ministre camerounais des Relations extérieures, Lejeune Mbella Mbella, offre « le bénéfice d’une exemption (…) sans qu’il soit besoin de justifier d’une mission, d’une visite officielle, d’une réunion ou conférence organisée sur le territoire de l’un des deux Etats ».

« Loin de favoriser l’immigration irrégulière entre nos deux pays, le présent accord vise plutôt à favoriser et faciliter les déplacements des responsables de nos administrations respectives, appelés au jour le jour à collaborer et à échanger en vue de porter nos relations d’amitié et de coopération à des niveaux plus élevés », a-t-il précisé.

L’ambassadeur de Chine s’est déclaré « convaincu que cet accord va promouvoir davantage les échanges humains et la coopération amicale entre nos pays ».

Il a affirmé que le Cameroun, première économie de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC, composée en outre du Congo-Brazzaville, du Gabon, de la Guinée équatoriale, de la République centrafricaine et du Tchad) pour environ 40% du PIB communautaire, compte la Chine comme son premier partenaire commercial actuel.

C’est aussi le deuxième bénéficiaire des financements de cette puissance asiatique en Afrique, que les autorités camerounaises saluent, notamment pour leur contribution « au bien-être résiduel des populations camerounaises, à travers la réalisation de projets dans le domaine de la santé, des sports et de la culture », s’est félicité le ministre Mbella Mbella.

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RDC: suspension de l’octroi des passeports à Kinshasa

Délétion du passeport de la RDC

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Délétion du passeport de la RDC
Délétion du passeport de la RDC

Le ministère des Affaires étrangères a suspendu depuis la semaine passée l’octroi des passeports à Kinshasa. Des sources proches des services de la chancellerie indiquent que l’octroi des passeports reprendra le 16 décembre prochain. Cette suspension devrait permettre à la chancellerie d’apprêter les nouvelles machines pour l’octroi des passeports à puce électronique.

Certaines sources au sein du ministère des Affaires étrangères précisent qu’à partir du 16 décembre, tous les requérants des passeports seront désormais soumis à une nouvelle procédure.  

La RDC s’est récemment dotée d’un nouveau modèle de passeport biométrique avec puce sur laquelle seront gravées les informations personnelles du détenteur. Ce nouveau passeport devrait être délivré à partir du 2 janvier 2016.

(Avec radiookapi)

Congo – Brazzaville : vers la création d’un centre unique de délivrance de passeports

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Image d’archive|Le passeport congolais
Image d’archive|Le passeport congolais

Dans le cadre de l’amélioration de ses méthodes de travail et de l’application de l’arrêté du 15 avril 2015, fixant les frais de chancellerie relatifs à l’attribution du passeport ordinaire à cinquante mille francs CFA et celui de service à soixante quinze mille francs CFA, la direction de l’émigration et de l’immigration envisage de créer un seul centre de délivrance de passeport.

Selon les informations recueillies par Les Dépêches de Brazzaville auprès des services de l’émigration, l’idée de créer ce centre qui sera basé à la préfecture fait suite à un constat.  En effet, depuis la publication de l’arrêté du 15 avril, l’affluence que connaissaient les différents centres de délivrance de passeports, la salle d’accueil, les couloirs et les services de l’émigration au niveau de la préfecture a baissé comparativement à la période où ce document de voyage était déclaré gratuit.

400 passeports par jour hier contre 100 aujourd’hui

D’après les statiques qui s’appuient sur le volume des dossiers reçus quotidiennement, environ 400 passeports seraient produits par jour pendant la période de la gratuité, alors qu’actuellement on compterait que 100 qui seraient établis en une journée. Ces résultats ont permis, selon le directeur de l’émigration et de l’immigration, Paul Bernard Ondzé, d’arrêter avec le premier système, notamment celui qui a donné lieu à la création des centres secondaires à savoir : Makélékélé, dans le premier arrondissement destiné aux cas moins urgents ; Moungali, le quatrième, pour les étudiants et Ouenzé, le cinquième arrondissement, réservé aux commerçants. « Cette politique de décentralisation avait pour objectif principal de diminuer l’afflux que connaissait le centre de la préfecture ainsi que les longues attentes qui ne cessaient de fâcher les demandeurs », a précisé, le directeur.

Parlant en outre de l’organisation de ses services, le directeur de l’immigration et de l’émigration a déclaré que les demandeurs de passeports ne connaîtront plus les tracasseries pour se faire enrôler. D’autant plus qu’il a été instauré un nouveau système électronique à travers lequel l’impétrant attendra de voir son numéro ou son nom apparaître sur l’écran avant d’entrer dans la salle des machines. « Cette innovation permettra aussi qu’après l’étape de la pose des empreintes, le passeport soit également délivré dans un court délai et sans difficulté », a souligné Paul Bernard Ondzé.

L’obtention du passeport ne pose plus problème, mais celle des autres documents administratifs reste encore un véritable casse-tête

En décidant de rendre gratuits certains documents administratifs, le chef de l’État avait résolu d’aider les Congolais et de soutenir le pouvoir d’achat des ménages. Mais, selon certains demandeurs de ces documents, depuis la promulgation de cette loi, l’obtention et la délivrance de ces papiers restent toujours difficiles. Il faut se plier en quatre et attendre longtemps ou encore passer par une personne interposée pour en avoir. Il s’agit notamment des documents établis par les administrations de transport, de commerce, de justice, des impôts, etc. « L’expérience a démontré que malgré l’existence d’une loi rendant gratuits certains documents administratifs, leur procédure d’obtention est toujours pénible. Il s’agit surtout du casier judiciaire, du certificat de nationalité, des actes d’état-civil, du permis de conduire, etc. Cette gratuité est théorique, car sur le terrain rien n’est appliqué », a déploré un citoyen à la commune de  Poto-Poto, le troisième arrondissement.  

© Adiac-Congo

Congo: 4.125 passeports établis mais non retirés par leurs demandeurs

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Le passeport du Congo
Selon les services d’émigration, 4125 passeports établis traînent dans les coffres depuis plusieurs mois

Alors qu’ils se plient parfois en quatre et remplissent les couloirs de la préfecture pour obtenir un passeport ordinaire de type Cémac, les demandeurs de ce précieux document de voyage ne se pressent plus pour le retirer. Selon les services d’émigration,  4125 passeports établis traînent dans les coffres depuis plusieurs mois.

La question a fait l’objet d’un entretien entre le Directeur de l’émigration et de l’immigration et Les Dépêches de Brazzaville. Paul Bernard Ondzé a invité les Congolais, notamment les demandeurs de passeport depuis plus d’un mois, à se présenter à ses services pour le retrait de leur document. Il a précisé que la loi qui crée le nouveau passeport reconnu par les pays membres de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cémac) a fixé le délai légal d’acquisition de ce document à 7 ou 14 jours au plus.

Il a condamné l’attitude des demandeurs de passeport. « Cette manière de faire ne nous rend  pas service, car nous avons l’obligation de libérer tous les passeports déjà établis en respectant les délais requis. Nous invitons tous ceux qui reconnaissent avoir fait la demande d’un passeport de venir le retirer.  Car, les armoires où sont conservés ces documents débordent », a déploré Paul Bernard Ondzé, tout en précisant que ce chiffre de 4125 passeports non retirés par les intéressés augmente chaque jour. En effet, ces statistiques qui datent du 20 décembre 2014 sont réparties par centre à savoir : 1384 pour le centre de la préfecture ; 1211 pour celui du 1er arrondissement (Makélékélé), 734 passeports pour le 4è arrondissement (Moungali) et 796 pour le 5è arrondissement (Ouenzé).                      

« Les passeports une fois établis, il est impératif que les bénéficiaires se les approprient. », a conclu le directeur de l’émigration.   

© Adiac-Congo