La communauté des artistes congolais en deuil ! Aurélien Miatsonama, dit Aurlus Mabélé, est décédé ce jeudi 19 mars en région parisienne, à l’âge de 67 ans. C’est son ami et ancien collaborateur, Mav Cacharel, qui a annoncé la nouvelle la mort du « Roi du Soukous » sur Page Facebook. « J’ai la triste nouvelle de vous annoncer la mort de mon célèbre ami, frère et collaborateur Aurlus Mabélé, survenue ce jeudi 19 mars 2020 à 14h, en region parisienne », écrit-il. Aurlus Mabélé était très affaibli depuis quelque temps, il souffrait des suites d’un AVC.
Mon papa est mort ce matin du coronavirus … Merci d’honoré sa mémoire . C’est une grande légende du Soukouss que le peuple congolais perd aujourd’hui . Je suis inconsolable et effondrée . Mon papa que j’aime tant … Aurlus Mabele …
Né à Brazzaville, à Poto-Poto plus précisément, il crée et anime l’orchestre Les Ndimbola Lokole, en 1974, avec ses amis Jean Baron, Pedro Wapechkado et Mav Cacharel. Plus tard, en Europe, il fonde en 1986 avec Diblo Dibala et Mav Cacharel, le groupe Loketo. C’est l’envol du Soukous. Il parcourt le monde entier avec son groupe. Parmi ses succès, La Femme ivoirienne, Embargo, Betty, Evelyne, etc.
Le chef de la diplomatie malienne quitte Bamako pour Paris ce jeudi soir pour des entretiens avec les autorités françaises, ont annoncé les Affaires étrangères maliennes, après l’incident causé par des propos de l’ambassadeur du Mali à Paris sur les soldats français envoyés dans son pays.
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L’ambassadeur du Mali a été convoqué jeudi à Paris après avoir accusé la veille, devant une commission parlementaire française, des soldats de la Légion étrangère de «débordements» dans les quartiers chauds de Bamako.
Jean-Jules Okabando, ancien commissaire politique dans la Lékoumou, maire de la ville de Brazzaville et ancien ambassadeur du Congo en Lybie
Par communiqué de presse de la Fédération France et la commission ad’hoc PCT-Europe, la classe politique congolaise a été avisée de la mort de l’ancien maire de Brazzavilleo, survenu le 22 novembre dans la capitale française.
Jean-Jules OkabandoLe nom de Jean-Jules Okabando reste l’évocation de la structuration politique de la jeunesse au lendemain de la révolution des « Trois glorieuses journées des 13-14-15 août 1963 » au Congo. Militant de première heure de l’ère du socialisme scientifique, il accèdera au Comité central du Parti congolais du travail (PCT).
Par la suite, il aura exercé, entre autres, les fonctions de maire de Brazzaville, ambassadeur du Congo en Libye.
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L’heure est au recueillement au sein de la délégation du PCT-France. Ses membres ont encore le souvenir d’un « camarade » toujours disponible, apprend-on.
Pour preuve, quoiqu’étant malade, il avait tenu à assister à une réunion entre membres du « Bureau PCT », lors de la séance de travail avec le secrétaire général, Pierre Ngolo, venu en France sur invitation du président du Sénat français, Gérard Larcher, le 13 juin dernier.
La 40e session de la Conférence générale qui se tient à Paris du 12 au 27 novembre 2019 vient de consacrer le Congo, qui va désormais siéger aux instances dirigeantes de trois organes techniques de l’UNESCO.
Le vote s’est déroulé ce vendredi 22 novembre dans la matinée, après dépouillement des urnes et une bataille serrée entre groupes électoraux. Les 3 instances techniques concernées sont: « Man and biosphère « (MAB),Hydrological International Program (PHI)et Monitoring of social transformations (MOST).
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« En siégeant dans ces trois organes, c’est un sacerdoce à accomplir pour nous qui va consister à booster le fonds bleu et doper l’apport multidisciplinaire de l’UNESCO au leadership revendiqué dans les problématiques transversales du développement durable« , explique avec fierté Henri OSSEBI, ambassadeur représentant du Congo à L’UNESCO n’est pas peu fier.
Le roi du Maroc Mohammed VI sera absent ce lundi 30 septembre aux obsèques de l’ancien président français Jacques Chirac pour cause de maladie. Il sera représenté par le prince héritier Moulay El Hassan, a annoncé le cabinet royal. Le monarque de 56 ans a « récemment contracté une pneumopathie bilatérale aiguë d’origine virale », son médecin personnel ayant prescrit « un repos médical de quelques jours », a indiqué le Palais dans un communiqué.
« Grand ami du Maroc«
Le roi sera absent aux obsèques de ce « grand ami du Maroc », mort le 26 septembre à 86 ans, alors qu’il prévoyait de s’y rendre pour « présenter, à titre privé, ses condoléances à la famille et aux proches du défunt président Jacques Chirac, eu égard aux fortes et profondes relations qui ont toujours lié les deux familles ».
Mohammed VI sera représenté par son fils, le prince héritier Moulay El Hassan, 16 ans, qui accompagne régulièrement son père aux grands rendez-vous diplomatiques.
Jacques Chirac entretenait des relations personnelles étroites avec Hassan II, père de l’actuel roi, et est resté proche de son fils à son arrivée sur le trône en 1999. Il passait fréquemment ses vacances dans le royaume.
L’évocation de la santé du souverain est assez rare au Maroc. En février 2018, il avait été opéré du cœur et six mois auparavant, il avait subi une intervention chirurgicale pour une lésion bénigne à l’œil. En novembre 2014, il avait reporté une visite officielle en Chine pour un « syndrome grippal aigu ».
Allureux Miéla, de son vrai nom Florent Matomby, s’est éteint ce mardi 06 aout à Paris, des suites d’une longue maladie.
La faucheuse n’en finit pas de décimer la diaspora congolaise. Après Fernad Mabala ce dimanche 04 août, c’est au tour d’un géant de l’élégance d’être emporté par son entreprise. Allureux Miéla, de son vrai nom Florent Matomby, s’est éteint ce mardi 06 août à Paris, des suites d’une longue maladie.
Installé en France au début des années 1980, Allureux Miéla laisse le souvenir d’un homme simple, humble et extraverti. Rarement il s’emportait, même quand il était critiqué sur ses tenues vestimentaires. C’est lui qui souffla à feu Rapha Boundzéki la fameuse phrase de « Pompissa ehh, Miéla bon, Madiata ba luéti ».
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Le programme des obsèques sera dévoilé ultérieurement.
Loley Douniama Ossebi, un congolais s’est mis dans la peau d’un vrai acteur en profitant sexuellement de la fille de sa femme. Une pédophilie dévoilée au grand jour par la fille ( jalouse) à la veille du mariage de ses parents au Congo. Ku dia meki Ku dia nsusu.
Quand elle arrivée en France, il y a des années, une jeune mère congolaise ne pensait qu’à faire venir sa fille restée au pays un jour. En France, son destin s’est uni à celui de Loley Douniama Ossebi, qui lui a fait gonfler le ventre 4 fois.
Mère battante, elle va réussir enfin à faire venir sa première fille restée au pays, âgée alors de 14 ans. Ayant un corps attirant et surtout perdu la virginité depuis le pays, la fille que nous nommons Adèle se laisse séduire par les mensonges de son beau père avec qui une relation sentimentale naît.
Le beau-père n’hésite même pas à improviser des séjours en province avec sa belle fille pour jouir en toute tranquillité leur idylle. Confiante et amoureuse de son homme, la maman qui croit à un amour paternel est très heureuse.
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De plus en plus amoureuse de son beau père, Adèle n’a pas supporté d’apprendre que ce dernier au Congo s’apprêtait à honorer sa mère.
Jalouse, il a joint son père biologique resté au Congo au téléphone pour lui expliquer sa relation sentimentale avec Loley Douniama Ossebi.
Traitée de folle par sa propre mère une fois informée par son ex, Adèle a tout fait pour apporter des preuves à ses sentiments. Surpris en flagrant délit par son épouse avec sa belle fille, Loley Douniama Ossebi se dit envoûté.
Aujourd’hui âgée de 19 ans, Adèle n’entend pas laisser son beau père de qui elle affirme être follement amoureuse. La dot a été annulée au Congo et la tension est toujours vive dans ce foyer congolais de Paris.
Le guitariste et auteur compositeur prolifique, Simaro Lutumba est décédé ce samedi 30 mars à Paris, à l’âge de 81 ans, rapporte Willy Tafar, son manager.
Simaro Lutumba a fêté ses 81 ans le 19 mars. Ce virtuose de la guitare, par ailleurs considéré comme l’un des meilleurs compositeurs de la chanson congolaise, tire sa révérence mettant ainsi fin à 63 ans de carrière artistique fructueuse.
En 2018, il avait demandé et obtenu des pouvoirs publics des hommages nationaux pour toute son œuvre, préférant que ses mérites soient reconnus de son vivant. Était-ce prémonitoire ? En son honneur, un buste a été érigé au croisement des avenues libération et Nyangwe dans la commune de Lingwala.
Dans « Mabele », l’une de ses tubes devenu un classique dans la musique congolaise, l’auteur demandait qu’un tel buste soit confectionné en sa mémoire après sa mort. Il l’aura vu de son vivant. Et l’avenue Mushi où l’artiste a une résidence a d’ailleurs été rebaptisé avenue Lutumba Simaro.
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A la surprise générale, Lutumba Simaro confiait la même année 2018 la direction de son groupe musical Bana Ok à Manda Chante, ce brillant chanteur connu du grand public grâce au groupe Wenge Musica, mais dont le propre orchestre « Wenge Référence » n’a jamais véritablement décollé.
« J’ai accompli ma mission. Que les autres suivent mes pas et qu’ils n’empruntent pas des voies immorales. Je me considère comme un professeur de musique. Ce que je demande aux jeunes c’est de bannir des insanités dans les chansons et la danse. Nous ne devons pas imiter aveuglement les cultures des autres. On doit être capable d’enseigner à travers la musique», recommandait alors Simaro Lutumba à l’occasion de ce passage de flambeau.
L’empreinte de Simaro dans la chanson, c’est encore aujourd’hui dans les reprises et même carrément l’imitation de ses rythmes par les chanteurs de la génération actuelle.
Elevé au grade de Commandeur
Il est l’auteur de plusieurs chansons à succès comme « Maya », « Affaire Kitikwala » et « Verre cassé ».
En décembre 2015, il faisait partie d’environ 90 opérateurs culturels dont artistes musiciens, plasticiens, comédiens, écrivains et autres de la RDC qui ont été décorés de médailles du mérite des arts, science et lettres par Aubin Minaku, président de l’Assemblée nationale, au nom du président de la République, grand chancelier des ordres nationaux.
Lutumba Ndomandueno Simaro a été élevé au grade de Commandeur.
Lutumba n’a jamais placé sa voix sur une seule de ses chansons. Mais il aura contribué à faire éclore ou à porter haut les talents des chanteurs comme Sam Mangwana, Carlito Lassa, Djo Mpoyi, Malage de Lugendo…qui ont tous interprété avec maestria ses compositions. Et qui doivent se sentir bien seuls avec ce départ.
La République du Congo et la France ont convenu de redynamiser leur coopération dans le secteur de la santé en luttant, notamment, contre les épidémies et en renforçant les relations entre leurs chercheurs, aux termes d’une feuille de route signée entre deux officiels congolais et français.
Selon la radio nationale dans sa grande édition de ce dimanche, la feuille de route a été paraphée vendredi dernier à Brazzaville par la ministre congolaise de la Santé et de la Population, Jacqueline Lydia Mikolo, et l’ambassadeur la France au Congo, Bertrand Cochery.
« Cette feuille de route permettra au Congo de bien s’inscrire dans l’innovation en matière de lutte contre les épidémies. Il permettra également de renforcer des relations entre les chercheurs par le biais du réseau des instituts Pasteur et les chercheurs congolais», a indiqué le diplomate français, en signant le document.
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« Concernant la santé, a-t-il ajouté, la France accompagnera le Congo dans pas mal de secteurs, que ça soit dans les organisations non gouvernementales ou le Centre hospitalier universitaire, à travers l’Agence française de développement».
L’environnement, l’enseignement supérieur et la recherche figurent également en bonne place dans la feuille de route, a souligné l’ambassadeur, selon qui « on ne peut penser santé sans trouver une solution au dérèglement climatique ».
Pour sa part, la ministre de la Santé et de la Population, Jacqueline Lydia Mikolo, s’est réjouie de la signature de la feuille de route qui, en plus de booster la coopération sanitaire entre Brazzaville et Paris, va contribuer à l’amélioration des prestations des soins prodigués aux Congolais.
Dans un post publié ce samedi sur sa page « Congo Tribune » pointe l’absence de communication du gouvernement sur le séjour médical du premier ministre congolais Clément Mouamba en France depuis janvier 2019. « Depuis le mois de janvier 2019, le Premier Ministre Chef du Gouvernement, Clément Mouamba, est en séjour médical en France. Malheureusement, ni son cabinet ni le Gouvernement n’ont jusque-là jugé nécessaire d’informer officiellement l’opinion nationale et internationale de cette situation » écrit Congo Tribune.
Cette absence prolongée du PM bloque sérieusement le fonctionnement des institutions. « Depuis le début de l’année, aucun conseil de cabinet ni de conseil de ministres ne se sont tenus. L’absence du Premier Ministre ne permet pas en effet, de faire fonctionner l’exécutif en conseil. Le Vice-Premier Ministre n’étant pas un poste constitutionnel, il ne peut suppléer le Premier Ministre à ce niveau » peut-on lire.
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Le silence observé par le gouvernement congolais sur l’état de santé de son Premier Ministre suscite des inquiétudes auprès d’une partie de la haute administration. « La situation médicale de Clément Mouamba serait préoccupante et risque d’exiger un long séjour en France où il est traité » affirme Congo Tribune. « Cela devrait être une leçon pour le PR, de nommer un premier ministre malade alors que la situation socio-économique du pays exigeait une personne plus énergique. Il serait sans doute temps de se passer de Clément Mouamba il a fait son temps, il doit se reposer » affirme un cadre proche de la présidence congolaise.
« Déjà confronté à une crise économique qui perdure, le Congo risque de plonger dans une léthargie institutionnelle due à l’absence prolongée du Premier Ministre, acteur majeur dans un régime semi-présidentiel » constate Congo Tribune.