« Pelé est mort » : Toute la vérité sur l’annonce de la RFI

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Ce lundi, la RFI a publié un article qui annonçant le décès de l’ancien footballeur brésilien, Pelé. Rapidement, sur les réseaux sociaux, la nouvelle s’est rependue comme une traînée de poudre. La publication « Pelé vient de nous quitter. RIP » est d’ailleurs un des messages les plus vus concernant celui surnommé le Roi.

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Mais il s’agit d’une Fake news. En fait, Rfi a malencontreusement publié cette nécrologie sur Pelé. L’article, qui est visiblement programmé pour faire partie des premiers à annoncer cette fatidique nouvelle quand elle surviendra, a fuité.

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D’ailleurs, dans la foulée, la Rfi a supprimé l’article et présenté ses excuses. « Un problème technique a entraîné la publication de nombreuses nécrologies sur notre site. Nous sommes mobilisés pour rectifier ce bug majeur et présentons nos excuses aux personnes concernées et à vous qui nous suivez et nous faites confiance« , a publié le média sur Twitter.

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Avec Senenews

RDC : L’homme d’affaires et mari d’Isabel dos Santos, Sindika Dokolo, est mort à Dubaï

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L’homme d’affaires et opposant congolais Sindika Dokolo est mort, a-t-on appris de plusieurs proches. Le mari d’Isabel Dos Santos vivait à Dubaï, il s’est éteint jeudi 29 octobre suite à un accident. Il avait depuis un an connu des ennuis judiciaires avec son pays d’adoption, l’Angola, qui avait saisi ses biens et ceux de son épouse, l’accusant de détournements. Mais dans son pays de naissance, le Congo, il était parmi les figures de l’opposition. 

Les messages se multiplient sur les réseaux sociaux. Fils d’Augustin Dokolo, le premier banquier privé du Zaire, Sindika Dokolo s’était fait connaitre des partis d’opposition et de la société civile pour son combat contre un troisième mandat de Joseph Kabila.

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Toujours élégant et facile d’accès, il avait même fondé, en 2017, un mouvement citoyen, les Congolais debout, et appuyé financièrement d’autres organisations et personnalités.

En Europe, Sindika Dokolo est connu comme un collectionneur d’art africain. Il militait pour que ces œuvres ou objets volés soient restitués aux musées africains et était interviewé par les plus grands médias pour ce combat.

Elevé en Europe, sa vie change quand, en 2002, il épouse Isabel dos Santos, fille du président angolais, le tout puissant et richissime Jose Eduardo dos Santos. Ensemble, ils multiplient les affaires, pétrole, diamants, ciment, distribution, téléphonie.

Le couple est partout, jusque dans les soirées à Cannes, organisées par le joaillier de Grisogono, dans lequel ils ont fini par prendre des parts, toujours invités aux grands rendez-vous d’affaires, malgré les enquêtes qui se multiplient sur l’origine de leur fortune et la gestion du régime angolais. A 48 ans, Sindika Dokolo a succombé jeudi à Dubai, selon ses proches, suite à un accident.

Avec RFI 

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L’ancien président égyptien Hosni Moubarak est mort à 91 ans

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L’ex-président égyptien Hosni Moubarak

L’ex-président égyptien Hosni Moubarak, contraint à la démission après le soulèvement populaire de 2011, est mort mardi à l’âge de 91 ans à l’hôpital militaire Galaa au Caire, a indiqué à l’AFP son beau-frère le général Mounir Thabet.

La famille se trouvait toujours à l’hôpital mardi en milieu de journée, a ajouté le général en précisant que la présidence égyptienne se chargerait d’organiser les funérailles de Moubarak, qui a dirigé l’Egypte pendant trois décennies.

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La famille du défunt refuse que sa veuve soit enterrée près de lui pour infidélité

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©DR

La famille d’un homme mort il y a 5 ans s’est opposée à ce que sa veuve soit inhumée près de lui. On l’accuse d’avoir aligné plusieurs hommes et souillé la mémoire de son défunt époux. Elle a été finalement enterrée dans un son propre village.

Les habitants d’un petit village situé au nord d’Ouganda se sont opposés farouchement à ce que la dépouille de la veuve d’un des leurs se repose auprès de son défunt époux. La vie peu catholique que menait cette veuve après la mort de son mari en est la cause.

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Après des années de mariage et trois enfants en commun, Danielle Oyaba s’est retrouvée veuve à ses 32 ans suite à la disparition inopinée de son époux.Quelques mois plus tard, sa belle-famille apprenait sa relation sentimentale avec l’un des amis de son défunt époux.

Une relation peu appréciée qui a poussé les gens à soupçonné d’une trahison du vivant de l’époux.Quelques années après, la veuve se séparait de son nouvel amour pour un autre avant de se mettre avec un troisième.

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Tout ces changements d’hommes n’ont pas plu à son ex belle-famille qui ne la supportait plus. Morte d’une courte maladie, Danielle Oyaba aurait émis le vœu d’être inhumée auprès du père de ses enfants.

Mais la famille de ce dernier avec le reste du village se sont opposés à cette dernière volonté évoquant sa vie amoureuse agitée après la mort de son mari.

Gabon : Patrick Nguema Ndong malade mais pas mort

Patrick Nguema Ndong

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Patrick Nguema Ndong
Patrick Nguema Ndong

Des folles rumeurs ont annoncé la mort de Patrick Nguema Ndong, journaliste émérite et producteur de la célèbre émission sur la radio panafricaine Africa N°1 dans les années 80, « l’aventure mystérieuse ». De sources concordantes, l’homme est bel bien vivant mais un peu malade.

« Il est à la maison. Il n’a rien du tout », a confié son frère à une source contactée par Gabonactu.com

La fake news sur la supposée mort de Patrick Nguema Ndong a enflammé la toile. Entre consternation et démenti, la grande confusion va bon train.

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La soixantaine révolue, Patrick Nguema Ndong a quelques soucis de santé, mais il n’est pas mort ni grabataire. Il marche depuis quelques temps avec une canne. L’expert en arts martiaux n’est plus visible depuis la déliquescence d’Africa N°1, en redressement judiciaire interminable.

Pour ses proches, Nguema Ndong passe tout son temps dans sa résidence de Batterie IV, dans le premier arrondissement de Libreville où il partage son riche expérience aux nombreux visiteurs. La rédaction de Gabonactu.com s’excuse d’avoir été induite en erreur par plusieurs sources dont ses collègues d’Africa N°1. Longue vie à ce chevalier de la plume.

Antoine Relaxe

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Congo : N’y a-t-il plus de mort naturelle?

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Une vue du bâtiment de la morgue de Brazzaville ©DR

Décidément, des gens penseront toujours qu’il n’y a pas de mort naturelle! Le mois dernier, le petit marché de fortune de Sadelmi, en allant vers la Cité des 17, a enregistré la mort de trois vendeurs presque simultanément, provoquant de l’émoi dans le quartier. Il s’agit d’un garçon vendant des œufs de table et de deux filles faisant le commerce, l’une de poisson de mer, l’autre de poisson fumé. Mais des voisins ont trouvé ces décès suspects.

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Et avancé qu’ils se seraient réglés des comptes mystiquement. C’est ce prétexte que des jeunes ont saisi aussi pour se permettre de brûler des étals de fortune, leur but étant de faire disparaître tout le marché. Heureusement, la police a mis fin à cette «barbarie».

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RDC : l’artiste Simaro Lutumba est mort à Paris

Simaro Lutumba

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Simaro Lutumba
Simaro Lutumba

Le guitariste et auteur compositeur prolifique, Simaro Lutumba est décédé ce samedi 30 mars à Paris, à l’âge de 81 ans, rapporte Willy Tafar, son manager.

Simaro Lutumba a fêté ses 81 ans le 19 mars. Ce virtuose de la guitare, par ailleurs considéré comme l’un des meilleurs compositeurs de la chanson congolaise, tire sa révérence mettant ainsi fin à 63 ans de carrière artistique fructueuse.

En 2018, il avait demandé et obtenu des pouvoirs publics des hommages nationaux pour toute son œuvre, préférant que ses mérites soient reconnus de son vivant. Était-ce prémonitoire ? En son honneur, un buste a été érigé au croisement des avenues libération et Nyangwe dans la commune de Lingwala.

Dans « Mabele », l’une de ses tubes devenu un classique dans la musique congolaise, l’auteur demandait qu’un tel buste soit confectionné en sa mémoire après sa mort. Il l’aura vu de son vivant. Et l’avenue Mushi où l’artiste a une résidence a d’ailleurs été rebaptisé avenue Lutumba Simaro.

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A la surprise générale, Lutumba Simaro confiait la même année 2018 la direction de son groupe musical Bana Ok à Manda Chante, ce brillant chanteur connu du grand public grâce au groupe Wenge Musica, mais dont le propre orchestre « Wenge Référence » n’a jamais véritablement décollé.

« J’ai accompli ma mission. Que les autres suivent mes pas et qu’ils n’empruntent pas des voies immorales. Je me considère comme un professeur de musique. Ce que je demande aux jeunes c’est de bannir des insanités dans les chansons et la danse. Nous ne devons pas imiter aveuglement les cultures des autres. On doit être capable d’enseigner à travers la musique », recommandait alors Simaro Lutumba à l’occasion de ce passage de flambeau.

L’empreinte de Simaro dans la chanson, c’est encore aujourd’hui dans les reprises et même carrément l’imitation de ses rythmes par les chanteurs de la génération actuelle.

Elevé au grade de Commandeur

Il est l’auteur de plusieurs chansons à succès comme « Maya », « Affaire Kitikwala » et « Verre cassé ».

En décembre 2015, il faisait partie d’environ 90 opérateurs culturels dont artistes musiciens, plasticiens, comédiens, écrivains et autres de la RDC qui ont été décorés de médailles du mérite des arts, science et lettres par Aubin Minaku, président de l’Assemblée nationale, au nom du président de la République, grand chancelier des ordres nationaux.

Lutumba Ndomandueno Simaro a été élevé au grade de Commandeur.

Lutumba n’a jamais placé sa voix sur une seule de ses chansons. Mais il aura contribué à faire éclore ou à porter haut les talents des chanteurs comme Sam Mangwana, Carlito Lassa, Djo Mpoyi, Malage de Lugendo…qui ont tous interprété avec maestria ses compositions. Et qui doivent se sentir bien seuls avec ce départ.

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Congo : Un avortement clandestin provoque la mort d’une femme à Londela-Kayes

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Photo d’illustration|DR

A la suite d’un avortement clandestin dans un cabinet des soins infirmiers du village Mikondo dans le district de Londela-Kayes (sud), Bibiche Loubambou, originaire de la République démocratique du Congo (RDC), est morte mardi 17 avril 2018.

L’infirmier Daniel Mbiangani, 48 ans, de nationalité congolaise, qui était aux commandes de cette opération illicite, a été interpellé et placé en garde à vue au commissariat de police de Dolisie avant d’être présenté au procureur de la République.

Les chiffres précis au Congo-Brazzaville ne sont pas connus, mais on sait qu’un avortement sur deux se fait de façon clandestine. Plusieurs femmes meurent chaque année des suites d’un avortement clandestin à Brazzaville et à l’intérieur du pays.

A Brazzaville où la mortalité maternelle est estimée à 408 décès pour 100. 000 naissantes vivantes, 72% de ces décès seraient attribuables à des avortements clandestins, selon l’OMS.

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Dans la législation actuelle, on pénalise l’avortement mais les gens meurent tous les jours des suites des avortements clandestins.

Plusieurs leaders des ONG au Congo font un plaidoyer pour la dépénalisation de l’avortement dans un pays dont le Code pénal condamne la pratique et ses auteurs. Ils s’appuient tous sur un argumentaire : le Congo a ratifié de l’accord dit de Maputo qui, dit- il, autorise l’avortement.

Reste à présent à obtenir l’adhésion d’un plus grand nombre d’acteurs de la société civile dans ce dossier. Cela est une autre paire de manches. Un combat qui s’annonce très long.

Jack MAÏSSA / Les Echos du Congo Brazzaville

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Congo – Personnalités politiques : « Jacques Joachim Yhombi Opango est mort ! »

Jacques-Joachim Yhombi-Opango

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Jacques-Joachim Yhombi-Opango
L’ancien Président de la République, Jacques-Joachim Yhombi-Opango

« Yhombi est mort !»  La nouvelle a parcouru le net et fait chauffer les téléphones samedi, au point que beaucoup se la sont relayée via whatsApp, affirmant mordicus la détenir de source sûre. Pourtant, un « fake news ».

Encore une farce dont le net a désormais le secret. L’expansion de rumeurs faisant état du décès de personnalités, ciblés au gré de la volonté de nuire dont nul ne peut justifier les motivations.
Samedi, la nouvelle de la mort de l’ancien président Jacques Joachim Yhombi-Opango a été propagée en boucle dans les milieux congolais de France. Vérification faite auprès de la famille, « le vieux », rentré de Monaco se reposait entouré de sa famille à Vaugirad.

Il est vrai que l’ancien président de la république populaire du Congo et du CMP, président fondateur du Rassemblement pour la Démocratie et le Développement RDD, parti de l’excellence, Jacques Joachim Yhombi Opango était hospitalisé au CHU de Rennes en France, en Août dernier. Son état de santé s’était brusquement détérioré au point qu’il avait été plongé dans le coma.
Depuis, le « patriarche d’Owando », s’est remis de sa maladie. Sorti de l’hôpital, il vaque à ses occupations, du haut de ses 78 ans.

Tout porte à se demander, pourquoi précipiter la mort, même virtuelle, d’un homme qui s’était déchargé tout mandat politique. Une mise à la retraite volontaire que l’on a rarement observée auprès des hommes politiques congolais. Peut-être, pour Jacques Joachim Yhombi Opango, c’est aussi cela, la marque de « l’excellence » dont il a toujours fait son credo.
Alors, que les charlatans du net se le tiennent pour dit, Jacques Joachim Yombi Opango est bien vivant !

Bertrand BOUKAKA
Avec Lesechos

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