IGNIE : UNE LOCALITÉ PLEINE DE PROMESSES

La Mairie d’Ignié

A seulement 45km de la capitale du Congo-Brazzaville, se trouve Ignié, une localité d’une superficie de 36km² sur laquelle se tournent de plus en plus les regards. Depuis 2005, cette communauté urbaine abrite une population de près de 10000 habitants.

Ce petit coin tranquille a aussi sa part d’histoire. En effet, c’est ici que le Roi Makoko, régent du peuple Téké, faisait une halte pour se reposer dans ses longs périples vers le village de Mbé.

Autrefois appelée PK 45, IGNIE bénéficie d’une situation géographique qui en fait le passage obligé des Congolais qui vont vers les villages du nord.

Il faut préciser que cette destination s’est parée de ses meilleurs atouts grâce à l’administrateur-maire Madame Assitou Somi Kamara qui nourrit une belle ambition pour cette localité. Cette dernière, se veut être la facilitatrice de toute initiative privée ou institutionnelle qui bénéficierait à ses administrés.

IGNIE, terre de champs d’eucalyptus est aussi le lieu où se situera la prochaine zone économique de Maloukou.

« Faire d’IGNIE un bassin d’emploi est un vœu réalisable grâce à la vision du chef de l’état. IGNIE a également un potentiel touristique et j’invite les Congolais d’ici et de l’étranger à venir en faire la découverte » affirme Madame la Maire. En effet, on peut découvrir à IGNIE le musée de l’ancien Président du Congo, Marien NGOUABI. Un lieu chargé d’histoire dans lequel on peut retrouver la Vespa, ou encore l’une des dernières voitures du leader du parti national.

Reconduite dans ses fonctions, l’administrateur-maire d’IGNIE entend faire de ce mandat, « le mandat de tous les possibles ».

Entre les opportunités que représentent la forêt d’Eucalyptus, les nombreuses terres arables, les terrains disponibles à la vente et une population cosmopolite (Rwandais, Centre Africains, Mauritaniens…), IGNIE ouvre les bras aux associations, aux entrepreneurs, et aux acteurs privés qui veulent participer à l’essor de ce territoire aux nombreux atouts.

42 ans de différence d’âge : la mairie suspend un mariage jugé suspect

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IMAGE – Le couple saura s’il peut se marier d’ici deux mois (photo d’illustration). © AFP

Une enquête est en cours à la mairie de Cagnes-sur-Mer pour déterminer si Déborah, 38 ans, et Jean-Claude, 80 ans, peuvent s’unir civilement sans risque d’abus de faiblesse.

Ils assurent que leur amour est sincère, mais la mairie ne l’entend pas de cette oreille. Déborah, 38 ans, et Jean-Claude, 80 ans, ont vu leur dossier de mariage suspendu à la mairie de Cagnes-sur-Mer le temps d’une enquête sur leur relation, rapporte Nice Matin. 

« Retour au temps de l’inquisition ». Le couple a déposé un dossier de mariage fin novembre en mairie. Une semaine après, tous deux ont été convoqués séparément devant un officier d’état civil pour répondre à des questions sur leur rencontre et leur relation. « Un retour au temps de l’inquisition », dénonce Jean-Claude. « Je ne suis pas un proxénète qui va abuser d’elle, de sa gentillesse et de sa grande beauté. Nous portons déjà des alliances, nous nous sommes fiancés il y a un an. » 

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« Se marier très rapidement ». Du côté de la mairie, plusieurs arguments sont invoqués. Il y a d’abord la différence d’âge de 42 ans entre les époux. « Puis le fait qu’elle soit assistante de personne en fin de vie et que monsieur venait de perdre sa mère qu’il gardait à son domicile et dont elle s’occupait. Ensuite, ils voulaient se marier très rapidement, sans que les enfants de la dame en soient informés », explique le directeur du cabinet du maire, interrogé par Nice Matin.

Une enquête en cours. L’audition des futurs époux n’a pas rassuré la mairie, qui a fait un rapport au procureur de la République. Ce dernier « a décidé de surseoir au mariage et de faire une enquête dans le seul but de protéger l’un ou l’autre des conjoints d’un éventuel abus de faiblesse », précise le directeur de cabinet. La décision est attendue dans deux mois. 

Par Europe1.fr

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Brazzaville : la mairie exige des toilettes modernes dans chaque habitation

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Photo Illustration|DR

Au terme de sa troisième session ordinaire, tenue du 21 septembre au 1er octobre 2015, le conseil départemental et municipal de la ville de Brazzaville a  adopté quatorze  affaires  inscrites à son ordre du jour. Parmi celles-ci : l’obligation  faite à chaque propriétaire de parcelle de se doter d’une fosse septique et d’un puisard.

L’examen de cette affaire a suscité des débats controversés malgré son adoption par le plénum du conseil.

L’autre projet important pour le conseil a concerné la  réorganisation de l’exercice du métier de chauffeur de taxi et taxi-bus dans le périmètre urbain de Brazzaville. Les réactions suscitées autour de cette affaire lors des débats,  ont pour l’essentiel tourné autour des conditions ou exigences liées à l’exercice de ce métier notamment l’âge du conducteur  fixé à vingt ans au moins. Il a été arrêté que le conducteur doit être de nationalité congolaise, disposer d’un permis de conduire conforme et datant d’au moins deux ans et avoir une bonne connaissance de la ville. Il doit par ailleurs détenir un agrément de la ville et un numéro matricule. Un arrêté du maire déterminera les principes et modalités de son  application.

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Le conseil départemental et municipal s’est penché sur plusieurs autres projets : comme la création d’un prix départemental des lettres et des arts, la création d’un prix municipal d’encouragement et d’incitation à la préservation et à la conservation de l’environnement ainsi que celui portant institution d’une journée municipale d’émulation scolaire. Un projet a aussi été adopté portant fermeture du cimetière du centre-ville.

S’adressant aux  agents municipaux,  Hugues Ngouélondélé a déclaré « Je me dois de dire que le plaidoyer auprès de notre tutelle a toujours été d’actualité pour permettre la résolution des problèmes réels qui se posent aux agents municipaux, notamment la question du paiement à terme échu des salaires. En conséquence, point n’est besoin de prendre en otage les services sociaux sensibles comme la morgue pour faire prévaloir vos droits. Ayons du respect et de la considération pour ces derniers et les familles éprouvées. »

Jean Jacques Koubemba

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Grève en l’air à la mairie de Brazzaville ?

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La mairie de Brazzaville
La mairie de Brazzaville

Il y a du feu dans l’air à la mairie de Brazzaville, où certains agents, notamment ceux dont les salaires sont domiciliés dans les banques, n’ont pas encore perçu le salaire du mois de novembre, alors qu’on s’achemine déjà vers la fin du mois de décembre.

D’ailleurs, ceux qui sont payés à la main ne l’ont perçu qu’il y a quelques jours. Tout le monde a fini par manifester sa colère. C’est ainsi que les agents de la mairie envisagent de débrayer, si avant le 31 décembre, l’administration ne verse pas leurs salaires.

L’administration justifie le retard par la difficulté de l’Etat à lui verser sa subvention. Mais, certains pensent que l’Etat l’aurait déjà versée. Les agents concernés exigent que leurs salaires soient payés au même moment que tous les fonctionnaires de l’Etat. Autrement, ils menacent de débrayer.

Par lasemaineafricaine