Congo : Où est passé le secrétaire permanent du Conseil national du dialogue?

Martin Mberi
L’ancien ministre d’État, Martin Mberi

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Une source affirme que le secrétaire permanent du Conseil national du dialogue voulait bien prendre part à la concertation politique de Madingou, mais que l’organisateur en a décidé autrement. 

‘’Arrivé le dimanche 22 novembre 2020 dans le chef lieu du département de la Bouenza, Martin Mberi n’a pas été désigné par l’organisateur, notamment le gouvernement, comme membre du présidium. Conséquence, l’octogénaire a dû, selon de bonnes sources, rebrousser chemin le lendemain’’. 

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Il n’aurait pas apprécié la manière dont il a été l’objet et qui l’a laissé au bord du chemin. Vous avez dit dialogue?

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Congo – Concertation de Madingou : Frédéric Bintsamou, alias le pasteur Ntumi absent

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De l’avis des observateurs de la scène politique nationale, Ntumi devait être la grande vedette de cette concertation politique de Madingou. Pour l’instant, l’homme politique Ntumi répond aux abonnés absents. Peut-être, prendra t-il le train en marche?

Le Conseil National des Républicains(CNR), le parti du pasteur Ntumi, territorialement moins implanté que certains partis politiques non reconnus, a pourtant été réhabilité par le ministère de l’intérieur après la sale guerre du Pool.

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 Reste l’autorisation de reprise de cultes de son église. N’empêche. Ntumi et ses adeptes louent Dieu invoquent « saint Michel Archange » tous les dimanches et mercredis dans leur fief du Pool. Est-ce pour ces obligations religieuses que Frédéric Bintsamou a préféré bouder la Concertation politique de Madingou? La fausse note provient-elle de l’erreur d’orthographe monumentale des organisateurs qui ont écrit « Ntoumi Bitsangou » au lieu de Frédéric Bintsamou?

Par Alphonse Ndongo 

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Congo – Miss indépendance 2016 : Emmanuelle Goma, la plus belle de la Bouenza

Miss indépendance 2016 : Emmanuelle Goma

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Agée de 20 ans, 1,70m pour 60 kg, mademoiselle Emmanuelle Goma, ressortissante du district de Mabombo, a été élue miss indépendance 2016 à l’issue d’un concours âprement disputé entre dix-huit candidates dans le majestueux chapitô dressé à l’entrée du stade omnisport de Madingou.

La soirée a été placée sous le patronage de la première dame du Congo, Antoinette Sassou N’Guesso, marraine de la municipalisation accélérée de ce département et marraine de l’événement, en présence de quelques membres du gouvernement et des nombreux invités. Elle a tenu toutes ses promesses tant dans sa qualité que de la manière dont elle a été organisée par le comité d’organisation de l’élection Miss indépendance présidé par Ferréol Constant Patrick Gassakys, président de l’association Lumières d’Afriques.

Comme à Ouesso dans la Sangha, cette soirée a connu des tirs des Feux d’artifices, ouvrant en même temps la célébration de ce qu’on appelait « Les trois glorieuses », c’est-à-dire les 13, 14 et 15 août.

Au total, dix-huit candidates toutes originaires du département de la Bouenza, choisies selon les critères définis par le comité d’organisation, présidé par Ferréol Constant Patrick Gassakys, président de l’association Lumières d’Afriques, ont pris part à cette élection.

À l’issue de ces cinq premiers passages, six candidates remplissant quelques critères définis par le comité d’organisation, présidé par Ferréol Constant Patrick Gassakys, président de l’association Lumières d’Afriques, dont la beauté physique a été retenue sur les dix-huit. Ainsi, la dernière partie de la compétition a tablé sur la beauté intellectuelle. C’est elle qui a arbitré les postulantes. Cette dure épreuve de s’exprimer librement et clairement devant le public a permis au finish au jury constitué de 7 membres et présidé par Michel Mongo, secrétaire général de la Fondation Congo assistance (FCA) de choisir la miss et les autres lauréates.

Résultats du concours

La dixième édition de l’élection Miss indépendance a donné les résultats suivants : miss indépendance 2016, mademoiselle Emmanuelle Goma, 20 ans, 1,70m pour 60 kg, élève en terminale A, à l’école Notre Dame de Rosaire, ressortissante du district de Mabombo ; première dauphine, Jeanne Alice Makaya, 19 ans, 1,82m, 54 kg, étudiante, ressortissante de Mouyondzi ;  deuxième dauphine, Paule Ndzouanda, 18 ans, 1,72m, 56kg, ressortissante du district de Yamba ; miss élégance, Godève Bouesso, 19 ans, ressortissante de Madingou ; miss charme, Jessy Mabiala, 24 ans, ressortissante de Mouyondzi ; miss fair-play, Denicia Moundongo, 18 ans, 1,68m, ressortissante de Loutété.

« C’est une heureuse surprise. Je ne m’attendais pas à ça. Je remercie le comité Miss indépendance et la marraine Antoinette Sassou N’Guesso. J’aimerais aider mes jeunes frères qui font le métier d’agriculture avec cœur, honneur et fierté et les encourager dans ce domaine », a déclaré la miss indépendance 2016 à l’issue de son sacre.

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Congo : Washington réitère son soutien à Brazzaville

Stephanie Sullivan et Sassou

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C’est à Madingou, dans le département de la Bouenza que les festivités du 56e anniversaire de l’indépendance de la République du Congo, ce lundi 15 août 2016, se sont déroulées. Une célébration qui a connu la participation de certains chefs d‘État africains.

Le président congolais, Denis Sassou Nguesso a été honoré lundi de la présence de ses pairs africains à la célébration du 56e anniversaire de l’indépendance de du Congo. En effet, les présidents Alpha Condé de la Guinée, Patrice Talon du Bénin, Obiang Nguema de la Guinée équatoriale, Faustin Touadéra de la République centrafricaine et Hage Geingob de la Namibie étaient présents aux côtés de Sassou Nguesso. Alassane Ouattara de la Côte d’ivoire s’était fait représenter par le président de l’Assemblée nationale Guillaume Soro.

A l’occasion de cette célébration, les Etats-Unis ont adressé un message à Denis Sassou Nguesso. Dans un courrier, le Département d‘État américain a exprimé les meilleurs vœux du président et du peuple américain à la République du Congo. Les États-Unis ont réaffirmé leur volonté « de continuer le partenariat avec le Congo dans la défense et la sécurité régionale, la protection de l’environnement ainsi que la santé et le bonheur de tous les Congolais ».

Indépendant de la France depuis 1960, la République du Congo a connu des années de guerre civile avant une stabilité.

L’année dernière, le projet d’une nouvelle Constitution permettant la suppression de la limite d‘âge et le nombre de mandats adopté par voie référendaire en octobre 2015, avait provoqué de nouvelles violences dans le pays. Des affrontements avaient eu lieu à la suite du référendum, ayant provoqué la mort d’opposants.

En mars 2016, Denis Sassou Nguesso a réussi à se faire réélire pour un troisième mandat. Une réélection contestée par les deux principaux regroupements de l’opposition, l’IDC-FROCAD qui voyaient plutôt les candidats Guy Parfait Kolelas et le général Mokoko au second tour.

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Football : l’AC Léopards de Dolisie en conquête de son sixième titre à Madingou face à CARA

L'équipe d'AC Léopards de Dolisie

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L’Athlétique club Léopard de Dolisie est qualifié pour la finale de la Coupe du Congo qui se discute le 14 août 2016 à Madingou dans la Bouenza. Les fauves du Niari vont croiser le Club athlétique renaissance aiglon (CARA) qui a récemment défait la Jeunesse sportive de Talangaï (JST) dans le cadre des demies finales de cette compétition.

Habitué à cette dernière étape de la coupe du Congo, le club de Dolisie tentera de gagner un sixième titre qu’il court après depuis la finale de Brazzaville en 2009. L’année dernière, les fauves n’ont pas pu faire le poids devant Diables Noirs de Brazzaville. Le club de la capitale les avait neutralisés dans le tout nouveau stade de Ouesso de 16.000 places, dès la première période, grâce à un tir fumant du capitaine Chabot à la 45e minute.  A Sibiti, AC Léopard n’y était pas. Les Diables Noirs discutaient le trophée avec CARA qu’ils avaient du reste battu.

Le club de Dolisie qui passe de beaux moments depuis une décennie est toujours à l’affiche des grandes finales du Congo. Au championnat d’élite ou à la coupe nationale, les fauves s’inscrivent. Pendant cinq années d’affilé, 2009, 2010, 2011, 2012 et 2013, les Léopards ont régné sans partage sur le podium de la coupe du Congo.

Le match qui va les opposer le 14 août à Madingou à CARA est un derby important. Le club de Brazzaville s’est qualifié quasiment en cafouillage. Vainqueur par forfait contre la JST, la victoire de CARA restera entachée de graves erreurs d’arbitrage. Même sa qualification in extremis à la finale de 2014 était une simple décision politique prise par le gouvernement, la fédération et le Comité olympique. A la place d’Etoile du Congo, les dirigeants sportifs avaient préféré CARA.

Ce passé mitigé fragilise le Club athlétique renaissance aiglon devant son adversaire dont le rayonnement sur le plan national l’a toujours propulsé chaque saison sur la scène continentale. CARA a encore des choses à prouver. A Sibiti en 2014, l’ancien club de Ngapy Kapelman, Ngakosso Toubouge, Sosi de Maliga, ou bien Dorego et Kouvouama, avait mordu la poussière, 2-0, face aux Diablotins qui réalisaient leur sixième sacre en coupe nationale.

AC Léopard nourrit les ambitions d’obtenir son sixième sacre cette année à Madingou. La dernière finale entre les deux clubs remonte à 2009. C’est AC Léopard qui l’avait remportée sur le score de 2-1. C’était pour le club de Dolisie l’ouverture sur une série de victoires sur cinq ans.

Mais CARA a une histoire dans cette compétition. C’est ce club qui gagne le tout premier trophée de la coupe du Congo créée en 1974. Cette année même, le CARA gagne en Egypte la coupe de la Confédération africaine de football, son unique trophée sur le plan continental. Il a ensuite gagné la coupe du Congo en 1981 et en 1986. Depuis, le club court après son quatrième titre. Madingou sera peut-être une occasion.

© Vox Congo

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Congo : réouverture du bureau de poste de Madingou, après 19 ans d’inactivité

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Le ministre des Postes et Télécommunications, Léon Juste Ibombo, dans le but de rapprocher l’administration de la population de la province de Bouenza, au Sud de la République du Congo, a procédé le mardi 09 août 2016, à la mise en service du bureau de poste de Madingou, réhabilité.

C’est en harmonie avec la réforme du secteur postal, en vue d’optimiser l’utilisation du réseau et de renforcer l’efficacité et la qualité des services offerts au public, que l’administration en charge des postes a entrepris la réhabilitation des installations postales de Madingou, endommagées pendant les événements troubles que le Congo a connus, il y a 19 ans. « Le bureau de poste de Madingou est resté en hibernation depuis de longues années; depuis les tragiques et douloureux événements connus par le pays, la poste était inexistante à Madingou », a rappelé Léon Juste Ibombo, ministre des Postes et Télécommunications.

A travers le geste symbolique de coupure du ruban et du dévoilement de la plaque inaugurale, le ministre congolais des postes et télécommunications met de nouveau la poste sur orbite, conformément aux orientations du chef de l’Etat, Denis Sassou N’Nguesso et aux recommandations de l’Union Postale Universelle.

Aussi se met-il en branle le réseau de distribution physique du courrier et se crée un certain nombre d’emplois. En reliant tous les points de ce département, même les plus éloignés, ce bureau de poste permettra à cette zone de s’ouvrir et de se développer. Dans cette perspective, les différents intervenants au cours de cette cérémonie ont planché sur la nécessité de stimuler, dans cette partie du Congo, le développement durable de services postaux de qualité, efficaces et accessibles, pour faciliter la communication entre ses habitants et d’ailleurs, ainsi que le développement des marchés et des économies.  Et au ministre de signifier : « Aujourd’hui paré de nouveaux habits et donc des nouveaux atouts, il va s’ouvrir au public pour recommencer à jouer pleinement son rôle de liaison entre les populations de Madingou et le reste du monde, ainsi leur permettre tant soit peu, de participer au développement des échanges, notamment par la gamme de services et produits financiers qu’il va offrir, entre autres les transactions par Moneygram, un partenaire de la société des postes et de l’épargne du Congo (SOPECO) ».

Partant de toutes ces considérations, le Congo emboite le pas avec la Stratégie postale mondiale. Celle-ci s’est assignée pour objectif de fournir un service universel et de qualité, de développer le marché, de répondre aux besoins de la clientèle, d’élargir la structure des services postaux, de développer des services postaux durables et de favoriser la coopération de toutes les parties intéressées. Dans la dynamique de la poste du 21ème siècle, le Congo se tourne vers l’avenir, afin d’assurer une prestation de services accessibles à un coût abordable en tout point du territoire. A la faveur de la municipalisation accélérée de la Bouenza, que cette partie du pays s’honore d’abriter cette année, le bureau de poste Madingou renait. Et au Ministre des Postes et Télécommunications de lancer un e invite à la citoyenneté aux populations de cette localité : « Populations de Madingou et de la Bouenza, voici de nouveau rendu fonctionnel votre bureau de poste ». Partant il leur a assigné une tache, le devoir patriotique : « La tache vous revient, maintenant, de le fréquenter pour vos besoins de communication, d’échange et de transactions financières et le rendre opérationnel. Il vous revient, également de veiller à sa sécurisation, jour et nuit, pour empêcher tout vandalisme ».

Par son réseau étendu sur l’ensemble du territoire national, la poste congolaise devrait être le catalyseur du rapprochement entre toutes les couches sociales du pays. L’acte que vient de poser l’administration du ministre Léon Juste Ibombo est la traduction en acte de l’ambition du président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, qui assigne à la SOPECO la mission de s’adapter à l’ère des technologies de l’information et de la communication, et offre des services innovants aux publics. Et, selon les propos de l’entreprise en charge du marché, les travaux de réhabilitation de ces installations de la poste de Madingou ont duré trois semaines.

A la lumière de la politique du gouvernement congolais sur ce secteur, les nouvelles technologies de l’information et de la communication devraient permettre aux services postaux de développer leurs offres de services, de connecter le réseau postal et d’ouvrir des opportunités d’accès à la société d’information par le biais des réseaux postaux, contribuant ainsi à réduire le fossé numérique.

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Congo: Mouyondzi et Madingou vont bénéficier des soins gratuits du PSC

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Image d’archive|© DR
Image d’archive|© DR

Mouyondzi et Madingou, dans le département de la Bouenza, au Sud de la République du Congo vont constituer les deux étapes de la 4ème édition du Programme de Santé Communautaire (PSC), dont le lancement est prévu le 13 juin 2016 à Mouyondzi. Le Coordonnateur technique dudit programme, Emmanuel Koutaba, ce jeudi 9 juin à Brazzaville, était face à la presse pour donner les éléments techniques essentiels au déploiement de ce programme de santé dans cette localité du Congo.

Pendant 21 jours, à partir du 13 juin 2016, le personnel soignant du programme de santé communautaire va apporter des soins gratuits de qualité aux habitants de Mouyondzi et  environs. Le coordonnateur technique du programme de santé communautaire a révélé à la presse que cette 4ème édition comporte des innovations. Par exemple, cette édition, a-t-il précisé va se dérouler en deux étapes, dont Mouyondzi en est la première, tandis que la seconde concerne Madingou, à partir de juillet 2016. Cette spécificité résulte, selon Emmanuel Koutaba, des études menées sur place par des spécialistes locaux et qui ont révélé une forte densité de la population.

Après trois éditions, les responsables du programme ont dû tirer les leçons pour conclure à la nécessité d’installer cette fois-ci, le matériel et le plateau technique bien avant. Ainsi, la date du 13 juin correspond, selon le Dr Koutaba, au démarrage effectif des soins et non à l’arrivée des équipes techniques comme lors des précédentes éditions. «A l’heure où je vous parle tout est déjà installé. Nous allons partir tout juste pour travailler à la différence des années où nous arrivons au même moment que les techniciens», a soutenu le coordonateur du programme qui espère que cela «pourrait peut-être augmenter notre performance».  

Rappelant aux professionnels des médias le contexte de la création de ce projet, le Dr Koutaba a fait savoir qu’il s’agit de la volonté de son initiateur, Denis Christel Sassou N’Guesso, député d’Oyo, de prodiguer des soins de santé aux personnes vulnérables, pour aller au-delà des campagnes de vaccination et dépistage du cancer du col de l’utérus chez la femme,  ayant marqué les premiers moments du programme.

Dr Koutaba a noté quelques difficultés rencontrées au cours des éditions précédentes. Selon le Dr Koutaba, le programme avait, par exemple, consulté, plus de 10 000 patients à Pointe-Noire, alors que les estimations prévoyaient 6000 malades. Certaines personnes semblaient ne pas prendre au sérieux le programme dès le démarrage des soins, mais se précipitent à venir à la fin, quand ils ont entendu  les échos de la satisfaction de leurs voisins, par exemple.

A noter que, la première édition du programme de santé communautaire a été organisée à Pointe-Noire en juin 2015. Ouesso et Ewo ont constitué les deuxième et troisième éditions. Ce programme est une contribution de son promoteur, Denis Christel Sassou NGuesso, à la politique de santé du président de la République, Denis Sassou N’Guesso et de son gouvernement, d’améliorer le système de santé au plan national.

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