Macky Sall réélu président du Sénégal

Macky Sall a été réélu président du Sénégal

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Macky Sall a été réélu président du Sénégal
Macky Sall a été réélu président du Sénégal

Macky Sall a été réélu président du Sénégal pour avoir remporté le premier tour de l’élection présidentielle avec un score de 2554605 voix, soit 58,27 % des suffrages, selon les résultats provisoires donnés ce jeudi à Dakar par la Commission nationale de recensement des votes. 

Le président Sall qui était le candidat de la coalition « Benno Bokk Yaakaar, BBY » est suivi dans l’ordre par Idrissa Seck de la coalition « Idy 2019 », crédité de 898674 voix, soit 20,50 % des suffrages, d’Ousmane Sonko de la coalition « Sonko Président» qui se retrouve avec 687065 voix, soit 15,67 % des suffrages, d’Issa Sall du Parti de l’Unité et du rassemblement (Pur), fort de 178533 voix, soit 4,07 % des suffrages et enfin de Madické Niang de la coalition « Madické 2019 », crédité de 65003 voix, soit 1,48 % des suffrages.

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Les cinq candidats ont maintenant trois jours pour formuler des recours auprès du Conseil constitutionnel qui, après leur examen, donnera les résultats définitifs de l’élection présidentielle. 

Selon la Commission nationale de recensements des votes, il y a eu un taux de participation de 66,23 %. Le nombre de votants est de 4426344 et il y a eu 42465 bulletins nuls là où les suffrages valabement exprimés sont de 4383879. 

Au total, 6.683.043 électeurs étaient inscrits sur les listes électorales pour ce scrutin, supervisé par 5002 observateurs électoraux étrangers et nationaux, émanant de 14 missions d’observation accréditées par le ministère de l’Intérieur.

Avec APA 

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Le nouvel ambassadeur du Congo au Sénégal Jean-Luc Aka-Evy a pris ses fonctions

Jean-Luc Aka-Evy et Macky Sall

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Jean-Luc Aka-Evy et Macky Sall
Jean-Luc Aka-Evy et Macky Sall ©DR

Jean-Luc Aka-Evy, nommé en mai 2017, a remis récemment ses lettres de créance au président de la République sénégalaise, Macky Sall.

Le philosophe veillera à raffermir les liens d’amitié et de coopération entre le Sénégal et le Congo.

Né en 1952, à Brazzaville, Jean-Luc Aka Evy, docteur d’Etat (Lettres et sciences humaines) de l’université de Paris 1, a effectué sa carrière en tant que coordonnateur de la formation philosophie de l’université Marien-Ngouabi.

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Pendant plusieurs années, il a exercé la fonction de commissaire général du Festival panafricain de musique. Son dernier poste au Congo était celui de directeur général de la Culture.

Le nouveau représentant du Congo au Sénégal succède à Pierre-Michel Nguimbi.

GERFRED / Les Echos du Congo Brazzaville

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«Pays de merde» : Macky Sall recadre sèchement Donald Trump

Macky Sall

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Macky Sall
Macky Sall

Alors qu’il recevait plusieurs sénateurs pour évoquer un projet proposant de limiter le regroupement familial, Donald Trump s’est emporté au sujet de l’Afrique. Le président américain considère que le continent noir et Haïti sont « des pays de merde ». A cette offense, Macky Sall a livré réponse.

Sur sa page Twitter, le président Sénégalais a montré tout son désaccord avec Donald Trump. « Je suis choqué par les propos du Président Trump sur Haïti et sur l’Afrique. Je les rejette et les condamne vigoureusement. L’Afrique et la race noire méritent le respect et la considération de tous », lit-on.

Les réactions se succèdent depuis cette malencontreuse sortir de Trump pour dénoncer ses propos. Le Botswana a notamment annoncé avoir convoqué l’ambassadeur des Etats-Unis pour lui faire part «de son mécontentement».

En outre, L’Organisation des nations unies (ONU), par la voix du porte-parole du Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme, Rupert Colville, a regretté des «commentaires choquants et honteux ».

Avec Senenews

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Sénégal : Macky Sall limoge son ministre de l’énergie

Le président du Sénégal Macky Sall,

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Au Sénégal, le ministre de l’Energie et du Développement des Energies renouvelables, Thierno Alassane Sall, a été démis de ses fonctions par décret présidentiel.

« Le président de la République, Macky Sall, a mis fin mardi aux fonctions de Thierno Alassane Sall, ministre de l’Energie et du Développement des énergies renouvelables », annonce le porte-parole du gouvernement sénégalais, Seydou Guèye.

Selon le communiqué, le Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne est nommé, cumulativement avec ses fonctions, ministre de l’Energie et du Développement des Energies renouvelables

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Sénégal: le président Macky Sall ne réduira pas le mandat en cours

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 Le président Macky Sall
Le président Macky Sall

Le chef de l’Etat sénégalais Macky Sall a mis un terme mardi soir à des mois de suspense, renonçant sur avis du Conseil constitutionnel à écourter son mandat en cours, comme le prévoyait son projet de révision constitutionnelle.

En conséquence, « le mandat en cours du président de la République connaîtra son terme en 2019 », a indiqué M. Sall dans une brève allocution télévisée, convoquant un referendum constitutionnel pour le 20 mars prochain.

Elu au second tour en 2012 pour sept ans face à Abdoulaye Wade (2000-2012), Macky Sall a saisi en janvier le Conseil constitutionnel de son projet de réforme de la Loi fondamentale prévoyant, comme il s’y était engagé durant sa campagne, une réduction immédiate du mandat du chef de l’Etat (le nombre de mandats étant limité à deux consécutivement).

Il a plusieurs fois réitéré cette promesse visant, selon lui, à consolider la démocratie au Sénégal, un pays réputé pour sa stabilité. En réduisant son mandat, il entendait « donner un exemple », avait-il expliqué en mars 2015.

« Il faut qu’on comprenne, en Afrique aussi, qu’on est capable de donner la leçon, et que le pouvoir ce n’est pas une fin en soi », avait-il dit, au moment où le débat sur le continent portait sur les révisions constitutionnelles entreprises par certains de ses pairs pour pouvoir se représenter.

– ‘Conforme à l’avis du Conseil’ –

Le Conseil constitutionnel, formé de cinq juges, a avalisé la réduction du mandat présidentiel de sept à cinq ans, prévue par ce projet de révision.

Mais la plus haute juridiction du pays considère que la disposition prévoyant l’application de cette réduction au mandat en cours « doit être supprimée », au motif que la durée de ce mandat, « préalablement fixée dans le temps, et par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle », a précisé M. Sall.

« J’entends me conformer à la décision du Conseil constitutionnel », a souligné le président sénégalais.

La question de la durée du mandat a pratiquement occulté les autres volets de cette réforme en quinze points, portant sur les règles électorales et l’élargissement des pouvoirs de l’Assemblée nationale et du Conseil constitutionnel, et installé depuis plusieurs mois une controverse dans le pays.

La décision du Conseil constitutionnel « lie » le président Macky Sall qui doit obligatoirement la respecter, a plusieurs fois déclaré son ministre et conseiller juridique, Ismaël Madior Fall, professeur de droit constitutionnel à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad).

En clair, malgré la promesse électorale qu’avait faite le candidat Macky Sall, la réduction du mandat présidentiel ne sera plus possible si le Conseil constitutionnel ne l’autorise pas.

Plusieurs autres juristes ont en revanche estimé que le président Sall n’était pas tenu de respecter la décision de la juridiction, « un simple avis consultatif », selon eux.

L’Alliance pour la République (APR), le parti présidentiel, est divisée par la question.

Des militants et responsables de cette formation, dont des ministres, ont appelé le président Sall à faire un mandat de sept ans pour avoir prêté serment en jurant de respecter la Constitution qui prévoit le septennat.

L’opposition a de son côté plusieurs fois appelé le président Sall à respecter son engagement électoral.

« Macky Sall entre le marteau et l’enclume », titrait mardi le quotidien privé Le Populaire.

Par l’AFP

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VIDÉO – À l’investiture de Marc Kaboré, Yayi Boni s’offre de nouveau en spectacle

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Une scène insolite captée par un cameraman le 29 décembre dernier lors de l’investiture de Marc Kaboré, le nouveau président du Faso, met en évidence l’ennui éprouvé par les président Macky Sall (Sénégal) et Yayi Boni (Benin). 

Impatients, les deux présidents s’adonnent à un rituel que seul un profond ennui pourrait expliquer. Alors que Yayi Boni se met à rincer le visage avec une crème sortie de sa poche, Macky Sall n’hésite pas à se détourner de son homologue. Le président sénégalais se montre d’ailleurs gêné par ce que fait son homologue béninois devant les caméras (sans doute), sans discrétion et sans réserve pour un président censé être un modèle et qui plus représente l’image de son pays.

Avec les alizés du Nord plus connus en Afrique de l’Ouest comme l’harmattan, un président digne de ce statut aurait pris toutes ses dispositions contre ce vent chaud, sec et poussiéreux pour un évènement de de grande envergure.

Des scènes du genre qui impliquent Yayi Boni, l’on en a vus assez depuis ces dernières années. Le président béninois est coutumier de ces grimaces. Chez lui au Bénin, il a été repéré plusieurs fois dans un état d’ivrognerie sans pareil.

Il y a exactement un an, Yayi Boni s’est offert en spectacle devant le monde entier en se mettant en pleurs pour dire qu’il était « Charlie ». Récemment dans la même capitale française, lors de la COP21, il agissait comme un gamin, cherchant à ce que Barack Obama lui serre la main.

Macky Sall aux Européens: «Si nous sommes pauvres, c’est que vous ne payez pas un juste prix pour nos ressources…»

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 Le président Macky Sall
Le président Macky Sall

« Nous pouvons nous passer de votre aide », a déclaré le président Macky Sall, président en exercice de l’Union économique et monétaire de l’Afrique de l’Ouest (Uemoa). Lors du point de presse clôturant le sommet de Malte sur la migration qui a réuni l’Afrique et l’Union européenne à la même table, le chef de l’État sénégalais a établi un lien entre immigration africaine et pauvreté. Macky Sall d’imputer à l’Europe la pauvreté qui règne sur le continent. Il estime que, « Si nous sommes pauvres, c’est que vous ne payez pas un juste prix pour nos ressources naturelles agricoles et minières ». Ce qui appelle à un rééquilibrage au niveau des échanges commerciaux entre l’Afrique et le vieux continent.

Également dans le viseur de Macky Sall, les multinationales qui, présentes sur le continent, ne s’acquittent pas de leurs impôts et font des milliards de bénéfices. « L’évasion fiscale et le transfert illicite des capitaux représentent un manque à gagner de 60 milliards de dollars pour le continent, ce qui selon lui, dépasse de loin l’aide au développement versée à l’Afrique ».

VIDEO – Macky Sall « Qu’ils soient homosexuels, c’est leur problème »

Macky Sall, président du Sénégal

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« Nous avons notre code de la famille, nous avons notre culture, nous avons notre civilisation. Il faut que les gens aussi apprennent à respecter nos croyances et nos convictions. Au nom de quoi on doit penser que parce que ailleurs, on pense que l’homosexualité doit être dépénalisée, que ça doit être une loi universelle ? Au nom de quoi ça doit être une loi universelle ? Il faut respecter le droit également pour chaque peuple de définir sa propre législation, je ne vois pas pourquoi on doit nous imposer cette vision. Les gens doivent avoir la modestie de comprendre que tous les pays ne sont pas les mêmes, n’ont pas les mêmes histoires, évolutions, chaque pays a son propre métabolisme. Ce sont des problèmes de société, chaque société doit apprécier selon ses capacités. Personnellement, je pense que les gens ont la liberté de faire ce qu’ils veulent, mais ils n’ont pas la liberté d’imposer aux autres ce qu’ils sont. Qu’ils soient homosexuels, c’est leur problème, ce n’est pas mon problème« .

Bagarre entre gardes du corps de Macky Sall et de Mohammed VI : un capitaine marocain arrêté

Mohammed VI et Macky Sall

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Mohammed VI et Macky Sall
Mohammed VI et Macky Sall |DR

Après la bagarre qui a éclaté entre gardes du corps marocains et sénégalais à l’occasion d’un entretien entre le roi du Maroc Mohammed VI et le président du Sénégal Macky Sall, un capitaine du royaume a été mis aux arrêts.

Un officier de la gendarmerie royale a été transféré dans une prison marocaine en provenance du Sénégal après une altercation violente qui a éclaté jeudi dernier entre gardes du corps marocains et sénégalais.

L’officier de la gendarmerie royale accompagnait le roi du Maroc Mohammed VI en visite officielle au Sénégal jusqu’à vendredi.

Jeudi 21 mai, le président sénégalais Macky Sall et le souverain marocain devaient s’entretenir dans la salle d’honneur du palais présidentiel de Dakar afin de signer 13 accords de coopération. Selon le site d’information marocain bladi.net, l’altercation a débuté quand les gardes du corps sénégalais ont interdit l’accès de la salle au journaliste marocain.

Une empoignade générale

S’en est suivie une bousculade générale qui a débuté quand trois membres de la sécurité marocain ont empoigné un garde sénégalais par la chemise et la cravate. Tout est finalement rentré dans l’ordre après l’intervention du président Macky Sall pour calmer sa garde rapprochée.

>>> À lire aussi : Macky Sall dégaine 150 millions FCFA pour la Diaspora sénégalaise

Selon la presse locale, les tensions étaient palpables entre les deux services d’ordre depuis l’arrivée de Mohammed VI en territoire sénégalais.

Le parquet général du tribunal militaire de Rabat a ouvert une enquête sur cette altercation pour violation du règlement militaire.

Par © AFRIK

Congo: Macky Sall dégaine 150 millions FCFA pour la Diaspora sénégalaise

Le président sénégalais, Macky Sall

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Le président sénégalais, Macky Sall
Le président sénégalais, Macky Sall

Les Sénégalaises vivant au Congo ont reçu des mains de l’ambassadeur du Sénégal à Brazzaville un chèque de 150 millions FCFA pour leur «permettre d’exercer des activités génératrices de revenu».

«C’est une initiative du président de la République, Macky Sall, qui a entrepris des travaux de grands projets dans tous les domaines du développement. Estimant que l’émigration pose d’énormes problèmes et que c’est la femme qui se trouve au début et à la fin de tout développement, il a pensé pouvoir aider les femmes en leur octroyant des financements », a indiqué l’ambassadeur du Sénégal au Congo,  Batoura Kane Niang.

L’appui financier est remboursable dans un délai de 18 mois. Selon l’ambassadeur cité par le site d’informations adia-congo, Macky Sall a promis d’augmenter ces fonds de 50  millions FCFA dans cinq ans. «L’objectif est d’atteindre 300 millions FCFA au bout de trois ou quatre ans pour pouvoir financer les projets de toutes les femmes sénégalaises vivant au Congo. La somme remboursée permettra d’aider aussi d’autres femmes en attente de fonds», a expliqué Batoura Kane Niang.

Nata Samb Mbacké, l’administratrice du Fond d’appui à l’investissement des Sénégalais de l’extérieur, a été chargée d’apporter l’enveloppe financière aux femmes sénégalaises vivant à Brazzaville pour développer leurs activités. Concernant les critères de sélection des bénéficiaires, l’ambassadeur indique qu’ils favorisent « les femmes qui mènent une activité de développement, celles qui ont l’esprit de créativité  et celles qui sont en règle avec l’administration congolaise ».  

© OEIL D’AFRIQUE