Ligue des champions: Ajax- Juventus et Manchester United-Barça en affiches des quarts de finale

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Le trophée de l’UEFA Champions League ©DR

Le choc des quarts de finale de la Ligue des champions opposera Manchester United au FC Barcelone de Lionel Messi, tandis que la Juventus Turin de Cristiano Ronaldo affrontera l’Ajax Amsterdam, selon le tirage au sort réalisé vendredi.

Un duel 100% anglais opposera Tottenham à Manchester City, alors que Liverpool hérite d’un tirage favorable avec Porto. Les quarts de finale ont lieu les 9-10 (aller) et 16-17 avril (retour).

Le vainqueur du quart de finale entre l’Ajax et la Juve sera opposé au tour suivant à un club anglais, Tottenham ou Manchester City.

L’autre demi-finale opposera le vainqueur de Liverpool-Porto et celui de Manchester United-Barça.

Les demi-finales aller se joueront le 30 avril et le 1er mai, une semaine avant la manche retour prévue les 7 et 8 mai.

Une finale Barcelone-Juventus mettant aux prises les quintuples Ballon d’or Lionel Messi et Cristiano Ronaldo, héros de leur équipe en huitièmes de finale, pourrait donc se tenir le 1er juin au stade Metropolitano à Madrid.

Programme des quarts de finale de la Ligue des champions d’après le tirage au sort effectué vendredi au siège de l’UEFA à Nyon (Suisse):

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. Quarts de finale

Ajax Amsterdam – Juventus Turin

Liverpool – Porto

Tottenham – Manchester City

Manchester United – Barcelone

Les quarts de finale ont lieu les 9-10 (aller) et 16-17 avril (retour)

 Demi-finales

Vainqueur de Tottenham – Manchester City/Vainqueur Ajax Amsterdam – Juventus Turin

Vainqueur Manchester United – Barcelone/Vainqueur Liverpool – Porto

Les demi-finales aller se joueront le 30 avril et le 1er mai, une semaine avant la manche retour prévue les 7 et 8 mai.

. Finale

Le 1er juin à au Metropolitano à Madrid

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Ligue des champions : Le Real Madrid conserve son titre en dominant la Juventus (1-4)

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Le Real en a rêvé, Zidane l’a fait. L’ancien numéro 10 français est à la tête d’une véritable machine. Son équipe vient de remporter pour la deuxième fois consécutive la C1, ce qu’aucune équipe n’avait réalisé depuis l’AC Milan d’Arrigo Sacchi (1989-1990). C’est dire l’exploit du club madrilène, qui entre dans l’histoire du football européen en empochant la « Duodecima » (12eme C1). Les Merengues ont fait tomber cette Juve invincible. Si solide le reste de la saison (3 buts encaissés en C1), la bande d’Allegri en a pris quatre le temps d’une soirée à oublier.

La Juve avait bien débuté
Cette finale est partie sur un rythme élevé et n’a laissé aucun round d’observation. Si la Juve a semblé remontée d’entrée en imposant un gros pressing et en signant les premières occasions par Higuain (4e) et Pjanic (7e), le Real a su être patient pour frapper de manière opportuniste. Un contre lancé par Kroos a en effet permis à Ronaldo de combiner avec Carvajal, avant de tromper Buffon d’une frappe parfaitement placée (0-1, 20e). 11eme but du Portugais en C1 cette saison (ex-aequo avec Messi) qui a lancé le Real sur la bonne voie. Mais c’était sans compter sur Mandzukic, véritable héros turinois. Le Croate a égalisé d’un ciseau acrobatique sublime qui a rendu impuissant Navas (1-1, 27e).

Le Real plus fringant après la pause
De quoi rendre la suite de cette finale passionnante. Au final, elle n’a pas livré le scénario attendu après la pause. Car le Real a nettement pris le dessus sur une Juve qui a semblé accuser le coup physiquement. Les hommes de Zidane ont fini par faire plier les partenaires de Buffon sur une frappe lointaine de Casemiro qui a fait mouche (1-2, 62e), puis un but de renard de Ronaldo sur un centre de Modric (1-3, 64e). Réduits à dix, suite à l’expulsion sévère de Cuadrado (84e), les Turinois ont bu le calice jusqu’à la lie avec un dernier but madrilène signé du remplaçant Asensio (1-4, 90e). Cinquième revers consécutif en finale de C1 pour cette Juve maudite.

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Ligue des champions: Ronaldo trois fois roi, l’Atletico trois fois maudit

Ronaldo

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Cristiano Ronaldo règne sur Madrid et sur l’Europe ! Un triplé du Portugais a permis au Real de dominer encore l’Atletico 3-0 mardi en demi-finale aller de Ligue des champions et d’entrevoir une deuxième finale consécutive après celle remportée l’an dernier face au voisin « colchonero ».

Dominatrice au stade Santiago-Bernabeu, le Real a encore battu l' »Atleti », comme en finale 2014 et 2016. Et l’équipe de Zinédine Zidane peut déjà avoir la tête à Cardiff où elle disputera vraisemblablement sa troisième finale de C1 en quatre ans, sous réserve de confirmer le 10 mai lors du match retour.

Cette régularité dans l’exploit, le Real la doit à un Ronaldo souverain, buteur d’une tête à bout portant (10e), d’une demi-volée imparable (73e) et d’un plat du pied (86e) qui a mis en transe le public merengue.

Déjà auteur de cinq buts en quarts contre le Bayern Munich, le quadruple Ballon d’Or (32 ans) a écrit une nouvelle page de sa légende personnelle, portant son record de buts en C1 à 104 unités.

A l’autre bout du terrain, impuissant, le Français Antoine Griezmann voyait ses rêves de trophées encore fracassés par le Portugais, comme à chacun de leurs rendez-vous majeurs en 2016… Et l’Atletico semble plus que jamais maudit après avoir été déjà vaincu par le Real en finale 2014 (4-1 a.p.), puis en finale 2016 (1-1 a.p., 5-3 t.a.b.)…

Toujours plus haut, Ronaldo (10 buts) peut désormais viser la tête du classement des buteurs de l’épreuve-reine européenne cette saison, occupée par un Lionel Messi déjà hors-course avec Barcelone (11 buts). En attendant, peut-être, d’égaler l’Argentin avec un cinquième Ballon d’Or….

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– Puissance offensive –

Le Real, lui, peut espérer lever une autre malédiction, celle qui s’attache aux clubs tenants de la C1 puisque aucun d’eux depuis l’AC Milan en 1990 n’a réussi à conserver son trophée.

La puissance offensive du Real de Ronaldo est telle que cela fait désormais 59 matches officiels d’affilée que l’équipe inscrit au moins un but, soit depuis plus d’un an!

Mardi, dans un match très intense mais rapidement plié, il n’a fallu que dix minutes à la « Maison blanche » pour marquer: sur un centre-tir de Casemiro, Ronaldo a placé une tête à bout portant (10e).

« CR7 » a ensuite attendu la seconde période et la fatigue adverse pour doubler la mise sur une passe de Karim Benzema mal dégagée par la défense (73e), et il a concrétisé son « coup du chapeau » d’un plat du pied après avoir contrôlé avec sang-froid (86e).

C’est peu dire que le Real a dominé: 4 tirs seulement pour l’Atletico et 16 pour les hommes de Zidane. Et ces derniers auraient pu enfoncer le clou plus tôt sans les parades de l’excellent gardien « colchonero » Jan Oblak. Mais même le portier slovène semblait battu sur la frappe trop croisée de Luka Modric (24e) et sur l’incroyable retourné acrobatique de Karim Benzema qui a rasé le haut de la transversale (29e)…

– Les bons choix de Zidane –

Déchaîné, le Real a fini par faire craquer un Atletico étrangement fébrile, loin du mur impénétrable qui en avait fait l’un des épouvantails du football européen.

Si le Real a pris l’ascendant, c’est aussi grâce à un entrejeu dominateur avec les arabesques d’Isco, avec le jeu long de Kroos, avec les percées de Modric et avec l’abattage de Casemiro.

Et c’est enfin grâce aux choix de Zidane, qui a par exemple évité que les choses ne dégénèrent pour son équipe en faisant sortir Isco, passé tout près d’un second jaune pour un vilain tacle (63e).

Cette probable deuxième finale européenne d’affilée s’annonce comme une sacrée performance pour un aussi jeune entraîneur que « ZZ » (44 ans), et la confirmation que le talent de l’ancien joueur a aussi imprégné le nouveau technicien.

Quant à ses compatriotes Antoine Griezmann et Kevin Gameiro, qui rêvaient de lui jouer un mauvais tour, ils n’ont pas pesé mardi: Gameiro a perdu son face-à-face avec le gardien adverse (17e) et gâché la meilleure occasion de l’Atletico, décidément maudit.

Par l’AFP

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Ligue des champions : Le cauchemar de Paris, c’était Neymar, l’homme de la « remuntada »

Neymar

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Et l’incroyable s’est produit: auteur d’un doublé, Neymar a mené le FC Barcelone vers une mémorable « remuntada » (remontée) mercredi en Ligue des champions face au Paris SG, balayé 6-1 grâce à l’intenable Brésilien, passeur décisif sur le but victorieux de Sergi Roberto.

Aucune équipe n’avait jamais réussi à remonter une défaite 4-0 à l’aller en C1. Le Barça y est parvenu et son ailier brésilien, étincelant, est pour beaucoup dans cette phénoménale qualification pour les quarts de l’épreuve-reine européenne.

A l’aller, le numéro 11 avait été le seul Barcelonais à surnager. Il a fait mieux que ça mercredi, mettant le Camp Nou en transe par ses arabesques et ses dribbles.

« C’est le meilleur match que j’aie joué dans ma vie. Pour tout ce qu’il signifie, pour tout ce que nous avons vécu », a commenté le Brésilien au micro de beIN Sports Espagne.

Le capitaine de la Seleçao, âgé de 25 ans, est celui qui a ramené l’espoir. Alors que le Barça menait 3-0, Edinson Cavani a marqué un but à l’extérieur qui contraignait alors les Catalans à marquer trois fois en une demi-heure.

Une tâche surhumaine. Réussie grâce à Neymar, qui avait commencé par provoquer un premier penalty, transformé par Lionel Messi (50e). Puis il a marqué le but du 4-1 d’un magnifique coup franc excentré en pleine lucarne (88e) et rendu espoir au peuple catalan dans une fin de match échevelée.

Dans la foulée, quand Luis Suarez a obtenu un penalty, « Ney » a pris d’autorité la responsabilité de le frapper. Et il l’a transformé avec sang-froid, plaçant le Barça à seulement un petit but du miracle (90e+1).

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– Sûr de marquer un doublé –

Il restait une poignée de secondes à jouer, le Camp Nou était en fusion et l’attaquant brésilien a fait ce pour quoi le Barça l’avait recruté à grands frais en 2013: être décisif quand Lionel Messi, comme mercredi, est trop pris pour cible par les défenses.

Son ouverture au-dessus de la défense pour Sergi Roberto est une amour de petit ballon que le joueur catalan n’a eu qu’à prolonger au fond pour écrire l’histoire (90e+5).

Quel scénario! Quelle soirée légendaire! Neymar en a été la plus belle étoile. Et dire que, selon la presse catalane, le Brésilien avait confié à ses partenaires qu’il était sûr de pouvoir inscrire un doublé contre Paris!

Ce match d’anthologie a des airs de bâton de maréchal pour l’attaquant, qui a fait oublier un début de saison mitigé.

La presse le jugeait parfois trop personnel, et souvent en manque de réussite dans la finition: il compte seulement 8 petits buts en Liga. Quant à ses démêlés judiciaires à n’en plus finir autour de son transfert controversé au Barça…. pas spécialement faits pour arranger son pedigree.

Mais même quand les circonstances sont contraires, « Ney » reste cet artiste qui adore jouer avec le ballon, un sourire aux lèvres, et provoquer l’adversaire.

« La qualification semblait perdue donc nous avons joué sans pression, avec joie, en donnant tout pour marquer », a commenté Neymar.

Plusieurs fois, il a mis au supplice son vis-à-vis, l’infortuné défenseur belge Thomas Meunier, lequel a d’ailleurs malencontreusement provoqué le penalty du 3-0 en tombant et en déséquilibrant le Brésilien.

Et même si « Ney » a abusé des plongeons dans la surface, récoltant au passage un carton jaune pour simulation, il a répondu présent dans un match qui restera dans toutes les mémoires en Catalogne et en Europe.

« Je sais que nous avons écrit l’histoire, une équipe comme celle-ci est capable de tout », a lancé l’ailier.

A Barcelone, les grands attaquants brésiliens ont tous laissé leur empreinte. Il y a eu Romario, il y a eu Ronaldo. Il y a eu Rivaldo et Ronaldinho.

Il y aura désormais Neymar da Silva Santos Junior, l’homme de la « remuntada ».

Par l’AFP

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Ligue des champions : l’incroyable élimination du PSG, qui a perdu 6-1 face au Barça

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Impossible n’est pas Barça. Le club catalan a réussi un exploit jamais réalisé : remonter une défaite 4-0 à l’aller d’un match de Coupe d’Europe. Les Barcelonais ont véritablement humilié un PSG, qui ressassera longtemps cette élimination. Grandement fébriles dès l’entame, les Parisiens ont été cueillis à froid par l’ouverture du score de Suarez, devant une défense apathique et un Trapp trop hésitant (1-0, 3e). Les Blaugrana ont ensuite continué leur pressing haut face à des visiteurs apathiques, timorés, incapables de relancer proprement. En exerçant un bon pressing, Iniesta a ainsi bien gêné Marquinhos, sa talonnade étant détournée au fond de ses propres filets par Kurzawa (2-0, 40e).

En 7 minutes, Paris a pris l’eau

Messi a ensuite transformé un penalty après la reprise (3-0, 50e) et fait un peu plus trembler Paris. Mais Cavani, après avoir trouvé le poteau (52e), a redonné espoir à son équipe sur une belle volée (3-1, 62e). La fin pour le Barça ? Pas forcément. Di Maria a loupé une énorme occasion de 3-2 face à Ter Stegen (85e) et a laissé les Blaugrana finir le match en trombe. Neymar a été le grand homme de cette fin de partie. Buteur sur coup franc (4-1, 88e) puis sur penalty (90e+1), le Brésilien a ensuite adressé un ballon parfait à Sergi Roberto, qui a libéré tout le Camp Nou (6-1, 90e+5). Triste fin et humiliation totale pour le PSG…

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Foot – Ligue des champions : Le Paris SG corrige Barcelone 4-0 en 8e de finale aller

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Tout le Parc en a rêvé, Paris l’a fait. Les Parisiens ont étrillé le Barça au terme d’un match incroyable d’intensité et de combativité. Les hommes d’Emery ont démarré fort avec un pressing intense qui a bien gêné la première relance du Barça. Inoffensifs, les Blaugrana ont subi les contres parisiens (4e, 6e, 11e). Et ont fini par céder sur un coup franc de Di Maria (1-0, 18e). Gomes a eu une belle occasion d’égaliser mais Trapp s’est interposé (27e). Paris est alors reparti de l’avant. Après une occasion manquée (34e), Draxler s’est racheté en achevant une action amorcée par la récupération haute de Rabiot et la passe parfaite de Verratti (2-0, 40e).

Une seule fausse note
Après la pause, Di Maria, sur une frappe enroulée parfaite (3-0, 55e), et Cavani, servi par Meunier sur un contre (4-0, 71e), ont transformé cette victoire en correction pour le Barça. Seule fausse note : la sortie sur blessure de Verratti. Mais avec ce 4-0, Paris peut aller au Camp Nou avec sérénité le 8 mars prochain !

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Foot : le Real Madrid remporte sa onzième Ligue des champions

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Le Real Madrid remporte sa onzième Ligue des champions
Le Real Madrid remporte sa onzième Ligue des champions

Zinédine Zidane a pris la voie express grâce à sa star Cristiano Ronaldo: nommé entraîneur en janvier, l’ancien meneur des Bleus a guidé le Real Madrid jusqu’à sa 11e Ligue des champions, record du genre signé sur un tir au but victorieux de CR7 contre l’Atletico samedi à Milan (1-1 a.p; 5 t.a.b à 3).

Que Zizou a souffert sur son banc ! Mené 1 à 0 depuis la 15e minute, et alors qu’Antoine Griezmann avait manqué un penalty (48e), l’Atletico est revenu au score. Avec une centre de Juanfran pour Yannick Carrasco qui ne laissa aucune chance à Keylor Navas (1-1, 79e). Une fois arrivé aux tirs au but après une prolongation calvaire, tout pouvait arriver: Juanfran manqua son tir au but quand Ronaldo ne trembla pas pour le sien.

Le Portugais en termine avec une vilaine malédiction: il n’avait jamais marqué à San Siro. C’est sa 3e Ligue des champions dans l’armoire à trophées.

A 43 ans, Zidane devient le premier Français à remporter la plus prestigieuse compétition de clubs en tant que joueur (2002, déjà avec le Real) puis comme entraîneur. Le champion du monde 1998 prend ainsi la 7e carte de membre de ce club fermé avec les Miguel Munoz, Pep Guardiola, Carlo Ancelotti, Giovanni Trapattoni, Johan Cruyff et Frank Rijkaard.

– Zidane a failli payer pour apprendre –

Zizou est aussi le 2e entraîneur français à soulever la Coupe aux grandes oreilles après Helenio Herrera, argentin naturalisé français, en 1964 avec l’Inter Milan.

Mais Zidane, jeune entraîneur propulsé sur le banc du Real en janvier, a failli payer pour apprendre. A un quart d’heure de la fin, coach Zizou, avait déjà effectué ses trois changements, sortant Dani Carjaval (visiblement blessé) puis Toni Kroos, puis Karim Benzema. Trop tôt ? C’est là où l’«Atleti» revient au score. Mais la victoire fera oublier beaucoup de choses.

Retour sur le film d’un match qui a parfois manqué de rythme mais pas d’émotions fortes. Dans la douceur d’une soirée gommant la chaleur accablante de l’après-midi, le Real version ZZ a d’abord pris l’«Atleti» à son propre anti-jeu.

Une énième faute-provocation (de Juanfran sur Gareth Bale cette fois) offrit un coup franc au Real. Tiré par Kroos, prolongé de la tête, de dos, par Bale, il se termina par un but de renard de Sergio Ramos, à la «Pippo» Inzaghi. Pas beau, mais efficace.

– Griezmann s’en remettra-t-il ? –

Mené 1 à 0 à la 15e minute, voilà l’«Atleti» obligé de faire le jeu, ce qui n’est pas sa spécialité. Mais dès la reprise, coup de tonnerre ! Fernando Torres obtient un penalty après un contact de Pepe. Et Griezmann envoie son penalty sur la transversale (48e) ! Difficile à imaginer pour le Français qui avait éliminé à lui seul le Barça, tenant du titre, sur un doublé en quart de finale retour.

Griezmann, 25 ans, s’en remettra-t-il moralement ? En l’absence de Karim Benzema, écarté des Bleus après sa mise en examen dans l’affaire de la sex-tape, c’est sur lui que la France compte pour son Euro-2016 à domicile…

On retiendra aussi que le match démarra sur une bonne dose d’adrénaline, quand Karim Benzema coupa la trajectoire d’un coup franc de Bale avant de voir le ballon échouer sur Jan Oblak (6e).

Mais sur la pelouse fatiguée de Milan, la bande à Zizou se reposa trop sur son bagage technique dans la circulation de balle. Sans vraiment menacer. Benzema déçut. CR7 aussi, sauf au moment décisif.

Par AFP

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LDC : Manchester City-Real Madrid et Atlético Madrid-Bayern Munich en demi-finales

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©DR
©DR

Le tirage au sort des demi-finales de la Ligue des champions a été effectué ce vendredi à Nyon. Manchester City, tombeur du PSG en quart de finale, affrontera le Real Madrid de Zinédine Zidane. L’autre demi-finale offrira un choc entre l’Atlético Madrid et le Bayern Munich. Pour rappel, la finale se déroulera à San Siro le 28 mai prochain.

Calendrier des demi-finales (match aller 26-27 avril, match retour 3-4 mai)
Manchester City-Real Madrid
Atlético Madrid-Bayern Munich

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Ligue des champions : l’étoile du Congo bat Manga sport du Gabon 3 buts a 0

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L'équipe congolaise de l'étoile du Congo |Image d’archive
L’équipe congolaise de l’étoile du Congo |Image d’archive

L’équipe congolaise de l’étoile du Congo a battu son homologue de Manga sport du Gabon par 3 buts à 0 en match retour de la ligue des champions et se qualifie pour les 16 ème de finales.

Les buts de l’équipe congolaise ont été marqués en première mi-temps par Gatsongo Obassi à la 7eme minute sur penalty.

Le deuxième but est intervenu toujours à la première mi-temps, marqué par le milieu de terrain de cette équipe, Issembe

Giovani Ipami, va, à la 5eme de la deuxième mi-temps inscrire le 3eme but de l’étoile du Congo.

Malgré la volonté manifestée par l’equipe de Manga sport c’est sur ce score de l’arbitre central le camerounais Christophe Née va siffler la fin de la rencontre.

En match aller il y a deux semaines au Gabon les deux équipes avaient fait match nul.

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Ligue des champions: le TP Mazembe assure face à l’USM Alger

TP Mazembe

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TP Mazembe
TP Mazembe

Face au TP Mazembe, l’USM Alger n’a pas réussi à s’imposer à domicile à Bologhine ce samedi 31 octobre lors de la finale aller de la Ligue des champions (1-2). Les Congolais prennent avec ces deux buts à l’extérieur une option sur le titre.

En battant l’USM Alger sur son terrain, le TP Mazembe a pris une option sur la possibilité de s’offrir un cinquième titre continental. Les hommes de Patrice Carteron qui s’attendaient à une confrontation difficile ont finalement réussi à inscrire deux buts avec une très belle reprise de volée aux 25 mètres signée Rainford Kabala (27e). La deuxième réalisation congolaise viendra en seconde période grâce à un penalty transformé par Mbwana Samatta après une faute de Nacereddine Khoualed (79e).

Un penalty raté pour la RDC

Mais les Congolais regretteront certainement ce penalty raté par Nathan Sinkala à la 67e minute qui aurait pu les mettre à l’abri pour le match retour. Comme souvent, Mohamed Zemmamouche était à la parade. Pour la première fois, le TP Mazembe s’impose sur le sol algérien. Les Corbeaux ont été dans l’ensemble plus menaçants et ont eu plus d’occasions. Adama Traoré avait failli ouvrir le score à la 19e minute sur un centre de Yaw Frimpong. Il faut noter l’expulsion de Rainford Kalaba après avoir giflé Hocine El Orfi (45e+1).

Youcef Belaili a certainement manqué à L’USM Alger

L’USM Alger qui avait rendez-vous avec l’histoire n’a pas trouvé la solution pour déstabiliser des Corbeaux sereins et bien en place. Les Usmistes n’ont pas su profiter de leur supériorité numérique, un avantage qui aura duré une vingtaine de minutes. Hocine El Orfi a quitté la pelouse suite à une faute de main qui lui a valu un deuxième carton jaune (66e).

Pour arriver à ce niveau de la compétition, les Usmistes avaient dans leur rang un buteur hors pair : Youcef Belaili. Avec sa suspension, il a manqué cruellement à cette équipe qui a jusque-là été surprenante. Mais ils ont réussi à trouver le chemin des filets en toute fin de partie grâce à Mohamed Seguer (88e). Les protégés de Miloud avaient manqué l’ouverture du score sur coup franc (16e). Ce seul but à domicile laisse un peu d’espoir à l’USM Alger avant le match retour qui aura lieu à Lubumbashi le 8 novembre.

Par RFI