Agressions sexuelles: sept ans de prison requis contre Koffi Olomidé en France

Koffi Olomidé

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Koffi Olomidé
Le chanteur congolais Koffi Olomidé ©DR

Le parquet de Nanterre a requis une peine de sept ans de prison lundi à l’encontre de la star de la rumba congolaise Koffi Olomidé, poursuivi pour des agressions sexuelles sur quatre de ses danseuses, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.

Le chanteur est poursuivi pour atteintes sexuelles avec violence, contrainte, menace ou surprise par personne ayant autorité et pour séquestrations. Des faits qui auraient été commis en région parisienne entre 2002 et 2006. 

Il comparaissait également pour avoir facilité l’entrée et le séjour irrégulier en France des plaignantes et pour les avoir fait travailler illégalement en les sous-payant, voire en les privant de rémunération.

La star de 62 ans ne s’est pas présentée à son procès qui s’est tenu à huis clos lundi, alors qu’il est visé par un mandat d’arrêt en France. Deux hommes de mains, poursuivis pour complicité, étaient eux bien présents à l’audience.

Mis en examen en février 2012 pour viols aggravés, Koffi Olomidé avait vu les chefs de poursuite retenus contre lui allégés et la procédure correctionnalisée. 

Les plaignantes l’accusent de leur avoir imposé des relations non consenties, en France comme lorsqu’elles étaient en République démocratique du Congo (RDC) ou en tournée ailleurs.

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Les faits retenus par l’accusation en France se seraient déroulés notamment dans un pavillon d’Asnières-sur-Seine, près de Paris, où l’artiste hébergeait les jeunes femmes en marge de concerts ou d’enregistrements. Privées de document d’identité et de téléphone, elles y étaient gardées 24h/24 par trois hommes. 

Lorsque leur patron en exprimait le désir, l’un de ces gardes accompagnait les danseuses jusqu’à lui, à l’hôtel ou au studio d’enregistrement le plus souvent, affirment-elles, évoquant des rapports imposés sans préservatif. Et des gifles quand elles se débattaient.

Si elles se refusaient à lui, il ne les faisait plus travailler. 

Les jeunes femmes avaient fini par s’échapper du pavillon une nuit de juin 2006, et avaient déposé plainte en 2007, 2009 et 2013. Elles ne sont plus jamais retournées en RDC, par peur de représailles.

Koffi Olomidé avait précipitamment regagné son pays en 2009 lorsqu’il avait appris qu’une inculpation, assortie d’un placement en détention provisoire, avait été requise à son encontre.

La star congolaise a déjà été condamné par le passé: Antoine Agbepa Mumba, de son vrai nom, a été brièvement écroué en 2016 pour avoir donné un violent coup de pied à l’une de ses danseuses. En 2012, il avait aussi été condamné pour des violences sur son producteur. 

La décision de la justice française sera connue le 18 mars.

Avec AFP 

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Agressions sexuelles: la star congolaise Koffi Olomidé doit être jugé lundi en France

Koffi Olomidé

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Le chanteur congolais Koffi Olomidé ©DR

Le roi de la rumba congolaise attendu devant la justice française: Koffi Olomidé, visé par un mandat d’arrêt, doit répondre lundi en France d’agressions sexuelles qui auraient été commises en région parisienne entre 2002 et 2006 sur quatre de ses danseuses.

La star de 62 ans sera-t-elle présente à la barre du tribunal de Nanterre (région parisienne) comme elle l’avait laissé entendre en juin 2018 lors de l’annonce de son renvoi? Son avocat Emmanuel Marsigny, interrogé vendredi par l’AFP, ne l’a pas confirmé.

Mis en examen en février 2012 pour viols aggravés, le chanteur congolais a vu les chefs de poursuite retenus contre lui allégés, l’enquête n’ayant notamment pas pu prouver que l’une des plaignantes était mineure au moment des faits.

Le sexagénaire est donc renvoyé pour atteintes sexuelles avec violence, contrainte, menace ou surprise par personne ayant autorité, et pour séquestrations avec libération volontaire avant le 7e jour.

Il doit également comparaître pour avoir facilité l’entrée et le séjour irrégulier en France des plaignantes et pour les avoir fait travailler illégalement en les sous-payant, voire en les privant de rémunération.

Deux hommes de main, soupçonnés de complicité, doivent également comparaître lundi.

Le huis clos devrait être demandé par les parties civiles, a-t-on appris de source proche du dossier.

Les plaignantes accusent M. Olomidé de leur avoir imposé des relations non consenties, en France comme lorsqu’elles étaient en République démocratique du Congo (RDC) ou en tournée ailleurs.

Les faits retenus par l’accusation en France se seraient déroulés dans un pavillon d’Asnières-sur-Seine, au nord-ouest de Paris, où l’artiste hébergeait ses danseuses en marge de concerts ou d’enregistrements. Privées de document d’identité et de téléphone, elles y étaient gardées 24h/24 par trois hommes.

Lorsque leur patron en exprimait le désir, l’un des gardes les conduisait à lui, à l’hôtel ou au studio d’enregistrement le plus souvent, affirment-elles, évoquant des rapports imposés sans préservatif et des gifles quand elles se débattaient.

Certaines agressions se seraient également déroulées dans le pavillon-même ou encore dans les toilettes d’un supermarché.

Si elles se refusaient à lui, il ne les faisait plus travailler. Toutes ses danseuses subissaient le même sort, selon elles.

Les plaignantes, qui ont fini par s’échapper du pavillon une nuit de juin 2006, ont déposé plainte en 2007, 2009 et 2013 et ne sont plus jamais retournées en RDC, par peur de représailles.

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« Incohérences » et « mensonges »

Koffi Olomidé avait précipitamment regagné son pays en 2009 lorsqu’il avait appris qu’une mise en examen (inculpation), assortie d’un placement en détention provisoire, avait été requise à son encontre.

En juin 2018, lors de l’annonce de son renvoi devant la justice française, le chanteur a « fermement » contesté les faits, dans un communiqué publié par son avocat.

Selon Me Marsigny, le chanteur a, devant les enquêteurs, « souligné les incohérences et les mensonges de ses accusatrices », les accusant d’avoir « profit(é) de cette procédure pour notamment obtenir un titre de séjour sur le territoire français ».

Ce n’est pas la première fois que la star congolaise, mariée et père de famille, a maille à partir avec la justice.

En France, Antoine Agbepa Mumba, de son vrai nom, a déjà été condamné en 2006 à un an de prison avec sursis pour fraude fiscale.

Dans son pays, il a été brièvement écroué en 2016, avant d’être libéré sous caution, pour avoir donné un violent coup de pied à l’une de ses danseuses.

En 2012, il avait déjà été condamné à trois mois de prison avec sursis pour des violences contre son producteur.

Et il fait actuellement l’objet d’un mandat d’arrêt de la justice zambienne pour avoir violenté la même année un photojournaliste rwandais à Lusaka. Appelé à comparaître dans la capitale zambienne en septembre dernier, le prévenu ne s’était pas présenté.

Avec AFP

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RDC – Koffi Olomide sur la machine à voter : « J’ai voyagé dans plusieurs pays et je n’ai jamais vu l’usage de cet outil pendant le vote »

Le chanteur congolais Antoine Agbepa Mumba dit "Koffi Olomide"

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Le chanteur congolais Antoine Agbepa Mumba dit "Koffi Olomide"
Le chanteur congolais Antoine Agbepa Mumba dit « Koffi Olomide »

Le chanteur congolais Antoine Agbepa Mumba dit « Koffi Olomide » déconseille la tricherie aux prochaines élections qui pointent à l’horizon en République démocratique du Congo.

« Nous voulons un vote transparent et démocratique« , a-t-il déclaré lors d’une émission de chronique musicale dimanche 30 septembre 2018 à Kinshasa.

 » Il n’est pas aisé pour un candidat qui gagne les élections par tricherie de regarder sa femme en face et manger avec appétit, sachant bien que même son épouse ainsi que les gens qui viennent le féliciter sont au courant de la manière dont il est élu« , a-t-il poursuivi.

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L’artiste de renommée internationale a profité de souhaiter « bonne chance » à Werrason, Adolphe Dominguez, Jean Goubald, Christian Kimbukusu Dakumuda… candidats à la députation nationale et provinciale.

Koffi doute de la Machine à voter

Concernant la machine à voter, « pourquoi la RDC veut être le précurseur de quelque chose qui n’a jamais existé ? J’ai voyagé dans plusieurs pays et je n’ai jamais vu l’usage de cet outil pendant le vote », soutient l’artiste.

AVEC Mediacongo 

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Zambie: mandat d’arrêt contre le musicien congolais Koffi Olomide

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Le chanteur congolais Koffi Olomidé ©DR

La justice zambienne a ordonné vendredi l’émission d’un mandat d’arrêt contre le chanteur congolais Koffi Olomide, recherché pour l’agression d’un photographe à Lusaka en 2012.

Le roi de la rumba congolaise était appelé à comparaître devant la justice vendredi, mais il ne s’est pas présenté.

L’agent du musicien en Zambie, Mark Mumbalama, a demandé à la justice d’accorder à son client davantage de temps en raison des difficultés qu’il a rencontrées, selon lui, à transmettre sa convocation au chanteur.

Mais Gilbert Phiri, avocat du plaignant, a demandé un mandat d’arrêt contre l’artiste arguant du fait qu’il ne s’était pas présenté lors de ses précédentes convocations devant la justice, notamment en juillet avant une tournée en Zambie.

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La juge Mwandu Sakala lui a donné raison. « J’ai autorisé la demande d’un mandat d’amener », a-t-elle déclaré.

Koffi Olomide, originaire de la République démocratique du Congo (RDC), est accusé d’avoir agressé un photojournaliste rwandais, Nepomuscene Ndayisenga, lors d’une soirée dans un hôtel de Lusaka le 28 décembre 2012.

Ce dernier accuse l’artiste de l’avoir frappé « au visage ». « Le majeur de ma main droite a été cassé, mon objectif aussi », a-t-il affirmé.

Le musicien encourt une peine de prison ou une amende.

Il est par ailleurs poursuivi en France pour l’agression sexuelle de quatre de ses danseuses et fait déjà l’objet d’un mandat d’arrêt international.

Avec l’AFP

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Koffi Olomide sous le coup d’une arrestation en Zambie

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Le chanteur congolais Koffi Olomidé ©DR

Les deux concerts de Koffi Olomidé ont été annulés en Zambie. L’artiste congolais est persona non grata dans le pays d’Afrique australe.

Le musicien de rumba congolaise, Koffi Olomidé, a été interdit d’entrer en Zambie à cause des allégations criminelles qui pèsent sur lui dans ce pays d’Afrique australe et en France.

Il lui est reproché une agression sur un photojournaliste en Zambie lors d’une précédente tournée.

Il est également accusé d’avoir agressé sexuellement ses danseuses, de les avoir séquestrées et de les avoir fait travailler sans permis en France.

Avant sa visite annulée, Olomidé – qui vit en République démocratique du Congo – a décrit la Zambie comme sa « deuxième maison » et a déclaré qu’il aimerait se produire dans ce pays avant de « mourir ».

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Les excuses du chanteur de 62 ans ont été également diffusées par la radio zambienne.

Il n’aborde pas spécifiquement les allégations contre lui, mais dit qu’il aime les femmes zambiennes !

Olomidé, dont le vrai nom est Antoine Christophe Agbepa Mumba, était censé donner deux spectacles en Zambie ce mois.

Cependant le gouvernement zambien avait prévenu qu’il serait arrêté dès qu’il mettrait le pied dans le pays.

Samedi, l’ambassade de France en Zambie a également appelé à l’arrestation de Koffi Olomidé.

L’ambassadeur de France en Zambie, Sylvain Berger, a menacé d’impliquer Interpol pour arrêter Olomidé, qui, selon lui, n’a pas encore été blanchi des accusations portées contre lui en France.

L’étoile de la rumba – connue pour son habillement et son style de vie – n’est pas étranger à ce type de revers et de controverses.

En 2016, il a été filmé en train de donner des coups de pied à sa danseuse à son arrivée au Kenya.

Il a été rapidement expulsé du pays.

En 2012, il a été reconnu coupable en RDC d’avoir agressé son producteur.

Le tribunal a condamné le chanteur à trois mois de prison avec sursis.

L’altercation avec son producteur, Diego Lubaki, portait sur une dette d’environ 3 700 $, a laissé entendre le tribunal.

En 2008, Koffi Olomidé a été accusé d’avoir donné un coup de pied à un cameraman de la chaîne de télévision privée RTGA de la RDC et d’avoir casser sa caméra lors d’un concert dans la capitale, Kinshasa, suite à un désaccord sur les droits d’enregistrement.

BBC

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Le chanteur congolais Koffi Olomidé renvoyé en procès pour agressions sexuelles en France

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Le chanteur congolais Koffi Olomidé ©DR

Le chanteur congolais Koffi Olomidé sera jugé en France, accusé d’avoir à plusieurs reprises agressé sexuellement et séquestré quatre de ses danseuses en région parisienne entre 2002 et 2006, indique une source judiciaire.

La star de la rumba congolaise, âgée de 61 ans, a été renvoyé le 31 janvier en correctionnelle par une juge d’instruction de Nanterre (près de Paris) pour des faits qui se seraient déroulés notamment dans un pavillon d’Asnières-sur-Seine (région parisienne) que l’artiste louait et où il hébergeait ses danseuses en marge de concerts ou d’enregistrements dans l’Hexagone, selon cette source.

Parti précipitamment de France en août 2009 alors que sa mise en examen, assortie d’une demande de détention provisoire, avait été requise par le parquet de Nanterre, Koffi Olomidé est depuis sous le coup d’un mandat d’arrêt international, d’après la source.

Il avait été mis en examen en février 2012 pour viols aggravés – dont certains sur mineure de 15 ans – mais les chefs de poursuite ont depuis été modifiés et la procédure correctionnalisée.

Le sexagénaire, marié et père de famille, est désormais renvoyé pour atteintes sexuelles avec violence, contrainte, menace ou surprise par personne ayant autorité, et pour séquestrations.

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Il devra également comparaître pour avoir facilité l’entrée et le séjour irrégulier en France des quatre plaignantes, toutes congolaises, et pour les avoir fait travailler illégalement en les sous-payant ou en les privant même de toute rémunération.

Deux hommes de main, considérés comme ses complices, sont également convoqués devant la justice.

Les quatre plaignantes, qui appartenaient toutes à son groupe Quartier latin, ont déposé plainte en 2007, 2009 et 2013. Elles ne sont depuis plus jamais retournées en République démocratique du Congo (RDC) par peur de représailles.

Le Comité contre l’esclavage moderne (CCEM), qui a soutenu les plaintes de deux d’entre elles, a indiqué à l’AFP se porter partie civile dans cette affaire.

Ce n’est pas la première fois que la star congolaise a maille à partir avec la justice.

Proclamé roi de la rumba depuis la mort de Papa Wemba en 2016, Koffi Olomidé avait été écroué quatre jours cette même année pour avoir donné un violent coup de pied à l’une de ses danseuses. Il avait alors été libéré sous caution.

En août 2012, Koffi Olomidé – Antoine Agbepa Mumba de son vrai nom – a été condamné à Kinshasa à trois mois de prison avec sursis pour « coups et blessures volontaires » contre son producteur.

En France, il a été condamné en 2006 à un an de prison avec sursis pour fraude fiscale.

Avec AFP

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Koffi Olomidé en concert à Abidjan : des ivoiriens s’opposent

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Koffi Olomidé, 26 décembre 2015, Olomidé a quitté le palais sous forte escorte policière pour échapper à un public furieux.

Koffi Olomidé est annoncé en concert à Abidjan le 8 décembre prochain.

L’arrivée de la star congolaise en terre ivoirienne pour ce spectacle du mois prochain, suscite en ce moment de vives protestations de la part de certains mélomanes ivoiriens.

Eux qui n’ont jusque-là pas digéré le comportement irrévérencieux du chanteur de Kin’. On s’en souvient en effet, le Grand Mopao avait indigné le public abidjanais il y a deux années de cela au festival Abidjan by night.

En quittant la scène pour une banale histoire d’image portant selon lui sur une somme de 12 millions.

Les Ivoiriens qui attendaient jusque-là des excuses publiques de celui qu’ils ont longtemps adopté, ont plutôt eu droit à des justificatifs de la part du patron du quartier latin. Ils sont nombreux aujourd’hui les jeunes ivoiriens visiblement frustrés, qui promettent de saboter le concert programmé du 8 décembre.

On attend donc la réaction de l’artiste. Va t-il faire une vidéo pour faire amende honorable. Ou, contre vents et marées, viendra t-il à Abidjan pour défier ses détracteurs. 

©viberadio

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RDC : Suite à une plainte de Koffi Olomide, l’artiste musicien Ferré Gola a passé sa première nuit dans un cachot

Ferre Gola

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Ferre Gola
Ferre Gola

Suite à une plainte de Koffi Olomide, l’artiste musicien Ferré Gola a passé sa première nuit dans un cachot du casier judiciaire à Kinshasa/Gombe.

Selon une source proche du dossier, Koffi Olomide a saisi le procureur général de la République pour diffamation.

« Les services du casier judiciaire mènent les investigations ».

Ferré Gola, première nuit au cachot 

« Ferre Gola aurait réalisé une émission sur Internet dans laquelle il a traité Koffi Olomide de tous les maux ».

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Convoqué par la justice mardi matin, « Ferré Gola a présenté ses moyens de défense et aujourd’hui, c’est au tour de Koffi Olomide » de s’y présenter pour une confrontation.  

Cela « nous permettra de connaître la vérité ».

Contacté par TOP CONGO FM, le secrétaire général de l’orchestre de Ferré Gola, Vasco Mabiala, confirme que son patron a « dormi » au Casier judiciaire. 

« Nous sommes déjà au Casier judiciaire. Nous attendons le plaignant (Koffi Olomide) pour confrontation » précise Vasco Mabiala.

Nous avons essayé, en vain, de joindre Koffi Olomide, qui vient d’arriver au casier judiciaire.

Par Barick Bwematelwa

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Le chanteur congolais Koffi Olomidé: « Les scènes françaises ne me manquent pas »

Le chanteur congolais Koffi Olomidé

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De passage éclair à Brazzaville, l’artiste musicien Koffi Olomidé, a accordé une interview exclusive aux Dépêches, dans laquelle, il parle de son nouvel album « Nyacatance » et de son bal de vacance (concert) à Brazzaville.

Dépêches de Brazzaville : Qu’est ce qui explique votre venue à Brazzaville ?

Koffi Olomidé (KO) : L’arrivée des CD de mon single « Nyacatance » à Brazzaville. Il s’agit d’un single de 10 titres. Je précise qu’ils seront en vente chez Souvenir de Paris au rond-point de la Coupole.

DB:Ilyaàpeuprèstroisans,vous an- nonciez « 13ème Apôtre », comme votre album ultime. Où en êtes-vous ?

KO. 13ème Apôtre c’est mon dernier album. « Nyacatance » n’est pas un album, mais plutôt un single. Donc ce n’est pas la même chose.

DB. Un single c’est juste une chanson, un maxi c’est deux, trois voire quatre chan- sons ; vous jouez alors un jeu de mots ?

KO. Si vous voulez ! Je sais qu’un single c’est un support d’une chanson à l’occa- sion de… A l’époque, nous faisions des chansons pour les brasseries et avec ça, il y avait toujours trois, quatre chansons dans le même single. De toutes les fa- çons ça change quoi ? Ce que vous sa- vez, ce n’est pas ce que moi je sais.

DB : Quel est son contenu ?

KO : C’est la musique du Tchatcho chantée par Koffi Olomidé, Cyndi le Cœur, les musiciens du Quartier Latin. Tous les textes m’appartiennent. Il y a 10 titres avec des thèmes différents. Vous avez des titres comme Ecolière, Halidore, Lettre D, deux génériques dont Nyacatance, Papa n’avait pas d’ap- pareil (un hommage à mon père qui est mort le 30 avril 2017), …

DB. Avez-vous prévu un concert à Brazzaville ?

KO. Oui, nous organiserons un bal de vacances le 13 août 2017 à Brazzaville, avec « Danse ya ba boss ». Ce concert est signé Koffi central.

DB. Ce label est-il toujours opérationnel ?

KO. Oui. Les huit premiers artistes du label feront leur sortie bientôt. Ils sont bourrés de talents. C’est un label ou- vert à tous. Les artistes musiciens du Congo Brazzaville peuvent y adhérer. En créant « Koffi central », je souhaitais aider les jeunes talents parce que j’avais observé que le monde du Show business de nos pays bat de l’aile de- puis plusieurs années.
manquent pas. Les gens ne veulent pas imaginer, ils ne rêvent que les salles d’Olympia, Zénith, Bercy que j’ai déjà fait. Ils pensent que la vie ne s’arrête qu’à ça. J’attends plutôt que les gens
bien. Quant à ma venue au Fespam, jusque-là, je n’ai encore reçu aucune invitation officielle.

LIRE LA SUITE SUR Les Dépêches de Brazzaville

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SUR LE NET – Dès demain, Koffi Olomidé, la star de la rumba congolaise se fera appeler « Vieux Macron »

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Alors que Emmanuel Macron vient d’être élu Président de la République en France. Les internautes Africains se laissent prendre par le jeu de nom.

Qui va porter le Macron?

Connu pour avoir déjà usé de plusieurs noms de présidents occidentaux, le chanteur congolais Koffi Olomide est pointé du doigt par les twittos.

Après avoir été Koffi Sarkozy,Vieux Trump, Le Grand Mopao va y-il opté pour « Vieux Macron »?

Affaire à suivre…

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