Kenya : Uhuru Kenyatta déclaré vainqueur de l’élection présidentielle

Le président kényan Uhuru Kenyatta

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Le président kényan Uhuru Kenyatta
Le président kényan Uhuru Kenyatta|©DR

La Commission électorale kényane a annoncé la réélection de Uhuru Kenyatta, ce lundi, avec 98,26% des voix, à l’issue d’une élection présidentielle bis qui a suivi l’annulation du premier scrutin le 08 août.

Le président Kenyatta a estimé que ce vote et ses résultats étaient une validation de sa victoire et une célébration de la résilience démocratique du Kenya.

« C’est la confirmation de la volonté du peuple », a déclaré M. Kenyatta après avoir été déclaré vainqueur par Wafula Chebukati, président de la Commission électorale indépendante et des frontières (IEBC).

M. Kenyatta a obtenu 7,4 millions de voix, soit 98,26% du suffrage exprimé, équivalent à 40% des électeurs.

Le président Kenyatta s’en est pris à son adversaire, Raila Odinga, en indiquant que ce dernier avait décidé de fuir l’élection présidentielle avant de réaliser les conséquences de son choix.

Le président Kenyatta a dit s’attendre à ce que l’on conteste à nouveau ce résultat.

« Tout a été fait dans le respect de l’Etat de droit pour valider ma victoire », a affirmé M. Kenyatta.

Avant d’annoncer les résultats, le président de l’IEBC, Wafula Chebukati, a déclaré que les hommes politiques et d’autres acteurs l’avaient pris pour « cible » même pour les difficultés liées à la pratique politique nationale.

« Nous traversons une des périodes les plus difficiles de notre histoire. Notre avenir est en jeu », a dit M. Chebukati.

La situation politique nationale est tendue au Kenya, ponctuée d’actes de violence.

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Lundi, le cortège du ministre de l’Intérieur intérimaire, Fred Matiang’i a reçu une pluie de cailloux dans le bidonville de Kawangware alors qu’il se rendait dans une école pour vérifier la préparation du scrutin.

Au moins 70 personnes ont été tuées au lendemain des élections du 08 août, selon la coalition de l’opposition, la NASA.

M. Chebukati a regretté les pertes de vies humaines, dont des enfants, des jeunes et des adultes.

De nombreux enfants sont tombés malades après avoir inhalé les gaz lacrymogènes utilisés par la police pour disperser les manifestants, en particulier à Kisumu.

Il n’y a pas eu d’élections dans certaines régions, comme dans l’Ouest du Kenya, qui compte environ deux millions d’électeurs.

L’IEBC a annoncé les résultats après avoir décidé que le vote, même s’il devrait avoir lieu dans les quatre comtés, ne pourrait pas remettre en cause le résultat global.

« Arriver au 26 octobre n’a pas été facile », a estimé M. Kenyatta.

M. Chebukati a, pour sa part, indiqué qu’il était impossible de mener à bien le processus électoral dans l’Ouest du Kenya.

« J’étais conscient que ma réussite serait déterminée par l’environnement politique. La prospérité dépend de nous tous. J’ai regardé la télévision les gens qui cherchaient un bouc-émissaire et qui l’ont trouvé en moi. J’ai été traité de tous les noms », a ajouté M. Chebukati.

Il a souligné qu’il avait fait serment de défendre la loi et que rien ne le détournerait de cette voie.

Le président de la Commission électorale a conclu que le pays doit trouver une solution aux défis électoraux.

Avec PANA

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Présidentielle au Kenya : Sassou N’Guesso appelle les Kenyans à la « retenue » et au sens de « l’intérêt » national

Le président congolais Denis Sassou Nguesso

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Denis Sassou N’Guesso

Le président congolais Denis-Sassou N’Guesso, dans une déclaration dont APA reçu copie vendredi, a lancé un appel à « la retenue » aux Kenyans, leur demandant de s’abstenir de verser dans la violence en vue de préserver ‘’l’intérêt supérieur de leur’’ pays.

« En ma qualité de président de la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL) et au nom de tous les pays membres de cette institution, je lance un vibrant appel à l’ensemble des forces vives de la République du Kenya, principalement au gouvernement, aux partis politiques, aux organisations de la société civile, à la force publique, aux jeunes, aux candidats et à la commission indépendante des élections, pour que soit sauvegardé, dans la retenue, l’intérêt supérieur de leur Nation »,  a notamment déclaré Sassou N’Guesso
Cette déclaration du chef de l’Etat congolais intervient au lendemain d’une élection présidentielle émaillée de violences et d’affrontements entre forces de l’ordre et opposants qui se sont soldés par au moins quatre morts, selon des sources hospitalières et policières.

Ravivées par l’appel au boycott lancé par le principal opposant, Raila Odinga, les tensions ont été telles que le scrutin a été reporté à demain samedi dans quatre comptés (Homa Bay, Kisumu, Migori et Siaya) . Situés tous à l’ouest du pays, ils sont des bastions de l’opposition et celle-ci est parvenue à y empêcher le vote.
Déplorant « les tentatives insurrectionnelles de déstabilisation des institutions républicaines établies » orchestrées par certains Kenyans, Denis Sassou N’Guesso avertit qu’un « mode opératoire qui exploite et instrumentalise, de manière éhontée et irresponsable, les peurs injustifiées de l’autre, les clivages ethniques et les insatisfactions conjoncturelles ne conduit, le plus souvent, qu’à la guerre civile et au chaos ».
«L’alternance au pouvoir doit progressivement constituer des grands moments d’expression démocratique dans la région des Grands Lacs. L’accession à la magistrature suprême relève de la souveraineté des peuples », a-t-il souligné avant de relever « la nécessité de tenir des élections crédibles et apaisées dans les Etats membres de la Conférence internationale sur les Grands lacs» dont le Kenya fait partie.

Le protocole de cette organisation sous-régionale signé justement à Nairobi au Kenya le 15 décembre 2006  « encourage, rappelle Sassou N’Guesso, l’ensemble des Etats membres de la CIRGL à observer les principes démocratiques, y compris l’accession au pouvoir par des élections périodiques, libres et transparentes. »
Au terme des travaux de la 7e session ordinaire des chefs d’Etat et de gouvernement de la CIRGL tenue la semaine dernière à Brazzaville, le président congolais avait été désigné par ses pairs médiateur dans le crise kenyane avec invitation de « rendre rapidement » dans ce pays. Pour des raisons d’agenda, il n’a pas pu le faire.

Avec APA

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Kenya : Raila Odinga annonce son retrait de la présidentielle du 26 octobre

Raila Odinga

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Raila Odinga
Raila Odinga ©DR

Raila Odinga, leader de la Super alliance nationale (NASA) NASA a annoncé mardi lors d’une conférence de presse à Nairobi.son retrait de la présidentielle du 26 octobre prochain.

«Tenant compte des intérêts du peuple du Kenya, de la région et du monde, nous pensons que l’intérêt de tous sera mieux servi par l’abandon de la candidature à l’élection prévue le 26 octobre 2017

», a –t-il dit

Odinga a déclaré que la Commission électorale (IEBC) avait rejeté ses exigences dont le changement des membres de la commission, ajoutant que l’opposition n’avait aucune confiance dans la capacité de cette instance à organiser des élections ‘’libres et transparentes’’.

Le porte-drapeau de la Super alliance nationale (NASA) a par ailleurs condamné le camp d’Uhuru Kenyatta (au pouvoir) pour avoir introduit des réformes électorales à seulement deux semaines du nouveau scrutin.

L’Union européenne, l’Allemagne, les États-Unis et la Grande-Bretagne ont tous exhorté le gouvernement à suspendre les amendements apportés au Code électoral étant donné la « proche échéance électorale. »

« Nous sommes arrivés à la conclusion que l’IEBC n’a pas l’intention d’apporter des changements dans son fonctionnement et à son personnel pour s’assurer que les irrégularités ayant conduit à l’invalidation du scrutin 8 août 2017 ne se reproduiront plus. Tout porte à croire que l’élection prévue pour le 26 octobre sera pire que la précédente d’ailleurs », a déclaré M. Odinga

« La NASA exige des conditions pour une élection crédible. Cette question aurait dû être résolue depuis longtemps » a-t-il dit, ajoutant que le boycott est la meilleure option et est dans l’intérêt de tous les Kenyans.

« Prenant en compte les intérêts de la population kenyane, de la région et à travers le monde entier, nous pensons que le retrait de la NASA est ce qu’il y a de mieux pour tout le monde » a déclaré Odinga, en présence de son colistier Kalonzo Musyoka.

Avec APA

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14ème édition du SMIB-Brazzaville 2017 : Le Kenya sur la plus haute marche de podium en version féminine

14ème édition du SMIB-Brazzaville 2017 : Le kenya sur la plus haute marche de podium en version féminine

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La kenyane Agness Barsosio, pour la 3ème fois consécutive vient de remporter le Semi-marathon international de Brazzaville (SMIB) en version féminine avec un chrono de 1h11 ‘’ 52’devançant compatriote, Gerurie Kituche, qui s’est couru ce lundi 14 aout 2017.

Au niveau des nationaux, le tenant du titre, Ronny Ampion, a été détrôné par Noel Okouéré qui a bouclé les 21 km 100 en 1h38 mn et Cleme prudence Mambéké, dans la version féminine, a occupé la plus haute marche du podium devant la tenante du titre, Jodelle Ossu Wakeyi.

Après avoir fait le tour du Congo en foulant le sol de tous les départements du pays, la course est revenue au bercail, à Brazzaville, où elle est née. Pour cette 14ème édition, il y a eu cinq athlètes venus d’Afrique centrale, 8 du reste du monde près de 900 nationaux venus des quatre coins du Congo.

Cette compétition qui s’internationalise de plus en plus a connu des fortunes diverses pour cette édition et, en version masculine, et une fois encore, le Kenya s’est taillé la part du lion en rééditant l’exploit de la 13ème édition, en version féminine. Comme à Ouesso et à Madingou, Agness Jeruto Barsosio, a brûlé la politesse à ses poursuivantes immédiates, empochant ainsi le chèque de 2 millions de francs CFA mis en compétition. Elle a été talonnée de près par deux autres kenyanes, Gerurie Kituche et Joséphine Cheketh réalisant respectivement un temps 1h13’’ 1’ et 1h 15’’. Dans cette version le record de Madingou avec un temps de 1h11’’33’ n’a pas été battu.

En version masculine, le Kenya ne s’est contenté que de la deuxième place avec Wilson Kipotiche, car dominé par le Rwanda Félicien Mohiri Tiria qui a réalisé le meilleur temps de la course avec 1h’’4’31. Le Rwanda est revenu à la charge, en occupant la troisième place avec John Azikimana 1h8’’17. Pour la 13 ème édition, les têtes d’affiche avaient pour noms Richard Mutai Kiprono réalisant un temps de 1h 05 mn, le kenyan Richard Kiplimo Mutai avec un temps de 1h’’05’1’ et le Rwandais, Eric Chebairé, avec un chrono de 1h56 mn s’est contenté de la médaille de bronze.

Cleme Mambéké, championne nationale en titre

Le tableau national, en version féminine a connu un léger bouleversement au peloton de tête et la Brazzavilloise, Ossu Jodelle, détentrice de la médaille d’or à Madingou avec un chrono de 1h22’’48’ a courbé l’échine devant son adversaire de la 13ème édition, à savoir Cleme Mambeke qui empoché l’enveloppe de 2 millions de CFA, mise en compétition. Une autre surprise, c’est celle réalisée par Gerluchie Matsonnie de Brazzaville qui a pris la place de Gema Mariame avec un temps de 1h26’’26 ‘.

En version masculine, la surprise est venue de Venze Botanga, occupant le troisième place avec un chrono de 1h13’’ derrière le tenant du titre Romy Ampion et le champion Noel Okouéré réalisant un chrono de 1h38’’, troisième l’année passée avec 1h09’’4’.

En 2016, le champion congolais Ronny Ampion avait bouclé la distance de 21km100 en 1h7’’06’ devant Noel Okouéré qui s’est contenté de la 3ème place.

En somme, au cours de cette 14ème édition du SMIB le Kenyan a réédité l’exploit de 2015, 2016 en version féminine ; alors qu’en version masculine c’est le Rwanda qui occupe désormais la plus haute marche du podium. Sur le plateau national, de nouveaux visages sont illustrés. Il s’agit de Botanga venzé inconnu du grand public et Gerlurchie Matsonnie, en version féminine. Et parmi, toutes les éditions du SMIB, la première qui s’est tenue en 2003 bat le record de participation avec 4000 athlètes.

A l’opposé de Kinkala où les compétiteurs ont eu affaire à un relief montagneux, à Madingou la compétition s’est déroulée sur un parcours sans obstacle majeur. Une opportunité qui devrait, pourtant favoriser les athlètes nationaux, à l’image de Eric Semba qui, pour la première fois depuis le début de cette manifestation sportive s’est imposé devant athlètes étrangers à Ouesso, en franchissant la ligne d’arrivée 25 minutes avant son poursuivant immédiat.

Pour la 13ème édition du SMIB, plus de 600 athlètes nationaux et étrangers, en version masculine et féminine ont tapissé les 21km 100 de Madingou, en aller et retour. Outre la récompense des athlètes, des trophées ont été remis à toutes les personnalités qui ont œuvré pour la réussite de cette édition. Parmi lesquels, le président Denis Sassou N’Guesso qui a reçu le trophée spécial « d’ambition sport et loisirs. »

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VIDÉO – Un couple adultère vit une humiliation invraisemblable en public

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En plein ébat dans une chambre d’hôtel, ce couple adultère aura vécu des moments difficiles au Kenya.

Tout a commencé lorsque des clients de l’hôtel ont entendu la femme crier de douleur. Son partenaire était en réalité coincé dans son corps, ne parvenant pas à se dégager. Pour leur venir en aide, les secours n’ont pas trouvé d’autre solution que de les transporter, toujours « bloqués », jusqu’à l’hôpital dans une charrette en bois qui a traversé la ville.

L’homme a bien tenté de dissimuler le visage de la femme mariée sous un drap, en vain. Cette dernière aurait été victime de vaginisme, une contraction musculaire du plancher pelvien qui aurait coincé le sexe de son partenaire. Les médias locaux préfèrent croire en la théorie de la potion magique qu’aurait utilisé le mari trompé.
 
© dhnet
 
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Kenya : Une député propose la grève du sexe

Mishi Mboko

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Une député de l’opposition kenyane a demandé aux femmes de son pays de priver les hommes de sexe jusqu’à ce qu’ils s’inscrivent sur les listes électorales en prélude aux élections générales d’Août 2017.

Mishi Mboko,qui est mariée, a déclaré que les femmes doivent faire le boycott du sexe jusqu’à ce que les hommes montrent leur carte d’électeur.

« Si vos maris ne se sont pas inscrits sur les listes électorales, refusez de coucher avec eux jusqu’à ce qu’ils le fassent », a-t-elle dit.

Elle s’exprimait depuis Mombassa lundi au cours du démarrage d’une campagne nationale d’inscription sur les listes électorales pour enrôler des millions de nouveaux électeurs en vue des élections du 8 août.

Des chauffeurs de taxi motos, appelés Boda-Boda, refusent de transporter ceux qui ne disposent pas de cartes d’électeurs à Kisumu, la ville portuaire de l’ouest du Kenya.

En 2009, des femmes kenyanes avaient lancé une grève du sexe dans le but de protester contre les conflits politiques et de forcer les hommes politiques à travailler ensemble.

©BBC

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Économie : le Kenya veut se lancer à la conquête du marché congolais

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La rencontre, jeudi, à Brazzaville entre une délégation kényane et le ministre congolais des Affaires foncières et du domaine public a permis aux autorités de Nairobi d’annoncer des investissements dans plusieurs domaines au Congo.

Ce sont des ambitions à l’état d’annonce pour le vice-président du Kenya. Et c’est une délégation de son cabinet conduite par l’ambassadeur du Congo au Kenya, qui s’est confiée au ministre congolais des Affaires foncières et du domaine public, Martin Parfait Aimé Coussoud Mavoungou. Selon l’ambassadeur de la République du Congo au Kenya, Jean Pierre Ossey qui conduisait la délégation kényane, le vice-président du Kenya William Ruto voudrait investir au Congo dans le domaine de l’agriculture et de l’élevage.

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D’ailleurs, le vice-président Kenya  effectuera dans un bref délai un voyage au Congo pour la signature d’un accord de coopération avec le ministère des Affaires étrangères et certainement procéder à l’ouverture de l’ambassade du Kenya au Congo.  

En attendant, le Kenya voudrait se lancer à la construction de logements à bas prix pour les Congolais, à l’érection d’habitats pour la police et les forces armées en partenariat avec le gouvernement congolais. Mais, il faudra d’abord trouver des terres pour  la réalisation de ces projets. Par ailleurs, les autorités du Kenya ont annoncé la construction d’un  grand centre commercial à Brazzaville et à Pointe Noire.    

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Tanzanie: un séisme fait au moins 11 morts et une centaine de blessés

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Au moins onze personnes ont été tuées et une centaine blessées dans le district de Bukoba, dans le nord-ouest de la Tanzanie, épicentre d’un séisme survenu samedi, a-t-on appris auprès de la police tanzanienne.

Nous déplorons actuellement 11 morts et plus d’une centaine de blessés, dont plusieurs sont hospitalisés. Nous sommes mobilisés, les opérations de secours se poursuivent, a déclaré à l’AFP par téléphone Augustine Ollomi, chef de la police de la province de Kagera, dont dépend le district de Bukoba.

Un séisme d’une magnitude de 5,7 sur l’échelle de Richter, selon l’institut géologique américain (USGS), a frappé samedi la Tanzanie et les pays voisins.

L’épicentre du séisme, qui s’est produit à 12h27 GMT, est situé à 23 km à l’est de la ville de Nsunga, dans le district de Bukoba, dans l’extrême nord-ouest de la Tanzanie et tout près du lac Victoria.

La secousse a également été ressentie au Rwanda, au Burundi, en Ouganda et au Kenya, selon des informations recueillies par l’USGS.

Des témoins joints par l’AFP dans la ville de Bukoba ont fait état de dégâts matériels, dont des bâtiments qui se sont écroulés.

Les murs de ma maison ont tremblé, ainsi que le frigidaire et toutes les armoires. Mais il n’y a eu aucune casse, a témoigné de son côté un correspondant de l’AFP basé à Kampala, capitale de l’Ouganda.

Les séismes ne sont pas rares dans la région des Grands Lacs, mais ils sont généralement d’une magnitude un peu inférieure.

Par l’AFP

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Koffi Olomidé veut se racheter après son geste polémique sur l’une de ses danseuses au Kenya

Le chanteur congolais Antoine Agbepa Mumba dit "Koffi Olomide"

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L’artiste congolais Koffi Olomidé veut se racheter après son geste polémique sur l’une de ses danseuses au Kenya. Il vient de publier un court extrait de son single sur sa page facebook dénommé Maman- Pardon.

Ce single n’est rien d’autre qu’une manière de s’excuser auprès de toutes les femmes dit Koffi Olomidé. Cet artiste aux multiples facettes a surpris bon nombre de ses fans qui se sont rejouits suite à cet acte sur sa page Facebook : “plus inspiré, voilà comment Mokonzi chante la femme “pouvait-on lire dans les commentaires de certains.

Appelé le roi de la rumba congolaise, Koffi Olomidé avait a été expulsé du Kenya vers la RDC sur les instructions du chef de la police kényane après avoir passé une nuit derrière les barreaux .

Quelques jours après son retour en RDC, il avait été arrêté à son domicile de Kinshasa et traîné devant les tribunaux. Koffi Olomidé a été détenu en prison pendant quatre jours avant d‘être relâché sous caution.

Ses spectacles au Kenya et un autre en Zambie ont été annulés après la mauvaise presse qui a suivi son arrestation et son expulsion. Il a tenu son premier concert post-expulsion à Brazzaville, capitale République du Congo.

© Africanews

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CAN 2017 : Le Kenya élimine le Congo Brazzaville

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Les Diables rouges du Congo
Les Diables rouges du Congo

Grosse désillusion pour le Congo. Contraints de ramener au moins le match nul du Kenya pour s’offrir une finale contre la Guinée Bissau en septembre, les Diables Rouges ont échoué en s’inclinant 2-1 sur le terrain d’Harambee Stars déjà éliminées ce dimanche à l’occasion de la 5e journée des éliminatoires de la CAN 2017. Pourtant en tête après un penalty d’Oniangué (19e sp), les hommes de Pierre Lechantre ont été rapidement rejoints sur une égalisation signée Masika (24e) avant que Johanna ne porte le coup de grâce en seconde période (67e).

Ce résultat a pour effet de qualifier la Guinée Bissau qui ne peut plus être rejointe en tête du groupe avec quatre points d’avance sur la Zambie et le Congo à une journée du terme. Vainqueurs 3-2 des Chipolopolo la veille, les Lycaons participeront à la première CAN de leur historie ! Dans le même temps, les Diables Rouges auront du mal à terminer parmi les meilleurs deuxièmes avec au maximum 9 points au compteur…

© Afrik

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