L’ambassadeur d’Italie tué en RDC: Kinshasa accuse les rebelles hutus rwandais du FDLR

[GARD align= »center »]

L’Ambassadeur de l’Italie en RDC, Luca Attanasio a été tué dans une attaque armée ce lundi 22 février sur la route Goma-Rutshuru. L’incident s’est passé dans le village de Kanyamahoro, dans la périphérie du parc national des Virunga (PNVI), rapporte Cosma Wilungula, directeur général de l’ICCN.

Les gardes du parc national des Virunga sont intervenus pour sauver l’Ambassadeur et l’ont conduit à l’hôpital de la MONUSCO où il a succombé des suites de ses blessures.

L’attaque armée a visé un convoi du Programme alimentaire mondial (PAM) pendant une visite près de Goma.

Le Programme alimentaire mondial des Nations Unies (PAM) a exprimé, d ns un communiqué publié ce même lundi sa plus profonde compassion et ses condoléances à la famille, aux collègues et aux amis des trois personnes tuées, lors d’une attaque contre une délégation se rendant sur le terrain dans l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC).

[GARD align= »center »]

Un certain nombre d’autres passagers voyageant avec la délégation ont été blessés au cours de l’attaque

Les trois personnes décédées ont été identifiées comme étant l’ambassadeur d’Italie en RDC, Luca Attanasio, un membre de l’ambassade italienne et un chauffeur du PAM.

La délégation se rendait de Goma à Rutshuru pour visiter un programme d’alimentation scolaire du PAM lorsque l’incident s’est produit.

Le PAM collaborera avec les autorités nationales pour déterminer les détails de l’attaque, qui a eu lieu sur une route qui avait préalablement obtenu l’autorisation de voyager sans escorte de sécurité, indique le communiqué.

Une journée sombre pour l’Italie

« Aujourd’hui est une journée sombre et triste pour notre pays. Nous avons appris avec un grand désarroi et une immense douleur la mort de notre ambassadeur en République démocratique du Congo, Luca Attanasio, et d’un militaire de l’Arme des gendarmes, Vittorio Iacovacci », indique dans un communiqué Luigi Di Maio, ministre italien des Affaires étrangères et de la coopération de la coopération internationale de l’Italie.

[GARD align= »center »]

« Les circonstances de cette attaque brutale ne sont pas encore connues et aucun effort ne sera épargné pour éclairer ce qui s’est passé. Je vais faire rapport au Parlement dès que possible. Aujourd’hui, l’État pleure la perte de deux de ses enfants exemplaires et se serre autour de leurs familles et de leurs amis et collègues à la Farnesina et dans l’Arme des gendarmes », conclut Luigi Di Maio.

Communiqué

Le ministère congolais de l’Intérieur a accusé, ce lundi 22 février, les rebelles hutus rwandais du FDLR d’être à l’origine de l’attaque qui a coûté la vie à l’ambassadeur d’Italie à Kinshasa, Luca Attanasio, et à deux autres personnes dans l’est de la République démocratique du Congo. « Un convoi du Programme alimentaire mondiale (PAM) a été victime (lundi) d’une attaque armée des éléments des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) », peut-on lire dans un communiqué.

[GARD align= »center »]

Congo: la quarantaine pour les passagers venant des pays touchés par le coronavirus

[GARD align=« center »]

©DR

Le Congo, jusque-là épargné par le coronavirus, a décidé de placer en quarantaine tous les passagers en provenance des pays touchés par l’épidémie, indique une note circulaire du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération et des Congolais de l’étranger.

Cette mesure entre dans le cadre de « la prévention de l’importation du Covid-19 ». La note circulaire informe que des « tests seront appliqués sur tous les passagers en provenance des pays à risque (diplomates, autorités et citoyens congolais). Si les résultats sont négatifs, les passagers demeurent en quarantaine pendant quatorze jours, soit la période d’incubation ».

Le Congo considère la Chine, la Corée du Sud, l’Iran, l’Italie et la France comme des pays à risque. En outre, renseigne le ministère des Affaires étrangères, « si les résultats des tests sont positifs, les passagers seront pris en charge conformément aux procédures mises en place par le plan de riposte à cette maladie ».

[GARD align=« center »]

Le gouvernement congolais entend également réduire, au strict minimum, « les missions à l’étranger ». Récemment, Jacqueline Lydia Mikolo, la ministre en charge de la Santé, a annoncé l’adoption d’un plan national de riposte au Covid-19 d’un montant estimatif d’un milliard FCFA.

La stratégie de riposte comprend neuf axes dont la coordination, la surveillance, l’intervention rapide, la détection précoce des cas et la prise en charge, le contrôle de l’infection, la communication sur les risques et l’engagement communautaire.

Avec APA 

[GARD align=« center »]

Coronavirus : un premier footballeur professionnel contaminé en Italie

[GARD align=« center »]

©DR

Il est le premier joueur professionnel à être contaminé en Italie. King Udoh, qui évolue dans le club de Pianese en Serie C, a été testé positif au coronavirus, selon des informations de La Gazzetta dello Sport et La Nazione.

L’attaquant italo-nigerian, âgé de 22 ans, a été admis au service des maladies de l’hôpital de Sienne, situé dans le centre du pays, mais son état de santé n’inspire pour le moment pas d’inquiétude.

Alors qu’il sentait fiévreux durant le week-end et que son club devait affronter l’équipe U23 de la Juventus Turin, le joueur se serait mis lui-même en quarantaine à son domicile avant que les médecins ne pratiquent des tests, qui se sont révélés positifs au Covid-19.

[GARD align=« center »]

En raison de sa contamination, l’ensemble de ses coéquipiers a également été placé en quarantaine par mesure de précaution. Et même s’il n’est pas entré en contact avec les joueurs de la Juventus et qu’aucun membre de l’équipe ne semble souffrir de symptôme, la situation est prise très au sérieux au sein de la formation turinoise, qui a interdit aux U23 d’entrer en contact avec les joueurs de l’équipe première.

[GARD align=« center »]

Luigi Di Maio accuse la France « d’appauvrir l’Afrique », l’ambassadrice d’Italie convoquée

Le vice-président du Conseil italien, Luigi Di Maio

[GARD align=« center »]

Le vice-président du Conseil italien, Luigi Di Maio
Le vice-président du Conseil italien, Luigi Di Maio

Les tensions diplomatiques entre la France et l’Italie se sont accentuées ce lundi après les propos, dimanche, du vice-président du Conseil italien.

L’ambassadrice d’Italie en France a été convoquée ce lundi au ministère français des Affaires étrangères après des propos tenus dimanche par le vice-président du Conseil italien, Luigi Di Maio. Celui-ci a accusé la France « d’appauvrir l’Afrique » et d’aggraver la crise migratoire.

Luigi Di Maio a souhaité que l’Union européenne prenne « des sanctions » contre les pays qui, à commencer par la France, sont selon lui à l’origine du drame des migrants en Méditerranée en les « faisant partir » d’Afrique. « Si aujourd’hui il y a des gens qui partent, c’est parce que certains pays européens, la France en tête, n’ont jamais cessé de coloniser des dizaines de pays africains », a-t-il déclaré.

[GARD align=« center »]

« Colonies africaines« 

Le chef politique du Mouvement 5 Étoiles (M5S, antisystème), qui gouverne avec la Ligue (extrême droite) de Matteo Salvini et est aussi ministre du Développement économique, a ajouté : « Il y a des dizaines de pays africains où la France imprime une monnaie, le franc des colonies, et avec cette monnaie, elle finance la dette publique française ».

« Si la France n’avait pas les colonies africaines, parce que c’est ainsi qu’il faut les appeler, elle serait la 15e puissance économique mondiale alors qu’elle est parmi les premières grâce à ce qu’elle est en train de faire en Afrique », avait-il argué. 

Relations tendues

« Le directeur de cabinet de la ministre chargée des Affaires européennes, Nathalie Loiseau, a convoqué l’ambassadrice d’Italie (Teresa Castaldo) à la suite des propos inacceptables et sans objet tenus par des autorités italiennes hier », a-t-on indiqué ce lundi au cabinet de la ministre. Les relations entre Paris et Rome sont extrêmement tendues depuis l’arrivée au pouvoir de l’extrême-droite alliée aux antisystème en Italie en juin 2018.

Luigi Di Maio et le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini ont apporté de façon très démonstrative leur soutien aux gilets jaunes, mouvement social qui bouscule la présidence d’Emmanuel Macron en France. Matteo Salvini a accusé le président français de gouverner « contre son peuple » et enfoncé le clou en allant jusqu’à souhaiter son départ (« Plus vite il rentre chez lui, mieux ça vaut ! », a-t-il lancé).

Avec AFP

[GARD align=« center »]

Italie : Le nouveau gouvernement italien veut chasser les migrants

[GARD align=« center »]

La police italienne évacue un migrant à Vintimille, à la frontière franco-italienne, le 16 juin 2015 |AFP

Il n’aura pas fallu attendre très longtemps pour voir à l’oeuvre les idées du nouveau gouvernement italien. Son vice-premier ministre en charge de l’Intérieur, Matteo Salvini (chef de la Ligue – extrême droite), a lancé, samedi 2 juin 2018 à Vicenza lors d’un meeting, « le bon temps pour les clandestins est fini : préparez-vous à faire les valises. » Le lendemain, à Pozzalo en Sicile, il récidivait indiquant que « l’Italie et la Sicile ne peuvent être le camp de réfugiés de l’Europe. « 

Des appels relayés par Luigi Di Maio (Mouvement 5 étoiles), promu lui au titre de vice-premier ministre en charge du développement économique, qui présente les ONG venant au secours des migrants au large de l’Italie comme des « taxis de la mer. « 

Matteo Salvini veut réduire l’enveloppe (4,2 mrds€ en 2017) consacrée au financement des centres d’accueil, à l’aide des secours en mer et à l’assistance sanitaire des demandeurs d’asile. Une partie de cette somme « récupérée » permettra, notamment, de créer de nouveaux centres de rétention et passer de nouveaux accords avec les pays d’origine pour rapatrier leurs compatriotes. « Je pense qu’il vaut mieux dépenser l’argent dans les pays d’origine. Maintenant, s’il y a des ONG qui veulent faire leur travail gratuitement, c’est bien », précise le vice-premier ministre. « Nous n’aurons pas une ligne dure, mais une ligne de bon sens », soutient-il cependant.

Quelque 170 000 migrants se trouvent dans des centres d’accueil en Italie. 6 500 ont été expulsés en 2017.

Selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), l’Italie a enregistré du 1er janvier 2018 au 28 mai 2018, 13 430 arrivées de migrants – soit près du tiers des arrivées totales en Méditerranée du Nord – dont 388 décédés en mer. 

Frédéric Dubessy 

[GARD align=« center »]

Italie – Le futur gouvernement italien sera interdit aux francs-maçons : le Grand Orient s’indigne

Franc-maçonnerie

[GARD align=« center »]

Franc-maçonnerie
Franc-maçonnerie / Illustration. Photo Ph. A

Avant de révéler la composition de la future équipe gouvernementale, le Mouvement 5 Etoiles et la Ligue ont présenté leur contrat de gouvernement qui prévoit notamment d’interdire aux francs-maçons de gouverner. Le Grand Orient d’Italie a réagi.

Le «code éthique» de la future coalition gouvernementale italienne a été dévoilé le 18 mai. S’il prévoit entre autres d’interdire l’accès au gouvernement à des personnes condamnées pénalement, il réserve le même sort pour les membres de la franc-maçonnerie italienne.

Celle-ci n’a pas manqué de monter au créneau dans un communiqué face à ce qu’elle qualifie de clause «contraire aux principes constitutionnels». Le Grand Orient d’Italie déplore en effet une décision qui selon lui «rappelle les lois fascistes que les francs-maçons ont toujours dénoncées et qui représentent les conséquences d’une dérive liberticide dangereuse».

Et le communiqué de poursuivre par une mise en garde adressée à la future coalition : «Ceux qui pensent utiliser à des fins politiques une campagne contre les francs-maçons pour les empêcher d’exercer leurs droits élémentaires, commettent un abus et devront en assumer la responsabilité.»

Après avoir reçu le feu vert de Silvio Berlusconi, les nationalistes de la Ligue et les antisystèmes du Mouvement 5 Etoiles s’apprêtent à diriger l’Italie. Les deux partis ont notamment en commun un rejet des forces politiques traditionnelles et des promesses en matière de retraites et de lutte contre l’immigration.

Avec RT

[GARD align=« center »]

Italie : des policiers français accusés d’avoir falsifié l’âge de mineurs pour les expulser

[GARD align=« center »]

©DR

Selon un article du Guardian paru ce jeudi, des policiers français auraient falsifié l’acte de naissance d’au moins deux migrants mineurs non accompagnés afin de leur refuser l’entrée du territoire. 7 ONG ont saisi la Commission européenne et le ministère de l’Intérieur italien. L’Union européenne garantit aux migrants mineurs voyageant seuls une protection et le droit de rejoindre un membre de leur famille vivant dans un des États membres.

7 organisations humanitaires italiennes ont accusé la police française d’avoir falsifié la date de naissance de deux migrants mineurs, voyageant seuls, pour leur interdire l’entrée du territoire français. « Nous avons vu deux mineurs que nous connaissions interpellés à la frontière franco-italienne. Nous avons vu les policiers modifier la date de naissance sur le document « refus d’entrée sur le territoire » », a raconté Daniela Ziterosa, une juriste travaillant pour l’ONG Intersos, au quotidien britannique The Guardian.

[GARD align=« center »]

« Un des enfants a pris une photo du document, on peut y voir que la date de naissance originelle a été modifiée. [..] On a finalement réussi à forcer les policiers à accepter les deux jeunes ». Le migrant mineur qui a pris la photo est né en Erythrée le 1er Octobre 2001, mais la date retenue sur le formulaire est celle du 1er janvier 2000. Il est arrivé en Italie en juin dernier et tentait de rejoindre la Suède, où vit son frère.

Le Guardian cite une source italienne, assurant que la police française peut, en cas de doute sur l’âge d’un migrant, demander aux autorités italiennes de consulter leur base de données. « Quand les migrants arrivent en Italie, nous les identifions. Nous savons donc qui est mineur et qui est adulte. En cas de doute, les autorités françaises peuvent vérifier auprès de nous. Et si les migrants sont mineurs, ils doivent les laisser passer la frontière, pas les renvoyer. »

En effet, l’Union européenne garantit la protection aux migrants mineurs non accompagnés. Elle garantit par ailleurs aux migrants mineurs non accompagnés le droit de rejoindre un parent vivant dans un autre État membre.

©Ouest-france

[GARD align=« center »]

Des passeports italiens authentiques vendus à 100.000 dirhams au Maroc

Un passeport biométrique italien

[GARD align=« center »]

Un passeport biométrique italien
Un passeport biométrique italien

Devenir Italien pour 100.000 dirhams (environ 10.000 euros), c’est ce que proposait un réseau qui vient d’être démantelé par la police italienne.

Composé d’un couple de Marocains et d’un policier, le réseau vendait au Maroc des passeports authentiques à 100.000 dirhams, rapporte le journal Al Ahdath Al Maghribia, qui fait part d’une enquête menée actuellement par Europol et Interpol après le vol de près de 400 passeports.

[GARD align=« center »]

Dans cette affaire, un policier italien est accusé d’avoir dérobé les passeports dans un coffre fort de la police de Trapani (sud de l’Italie) avant de les revendre à un Marocain qui les a ensuite envoyés au Maroc pour en faire commerce. Par la suite, deux Marocains ont été arrêtés à leur entrée sur le territoire italien munis de faux passeports qui n’étaient pas enregistrés dans les registres.

Toujours d’après le journal, trois autres Marocains ont été arrêtés en Italie sur un vol provenant de l’aéroport Mohammed V de Casablanca. Ils étaient également en possession des mêmes passeports non enregistrés.

©bladi

[GARD align=« center »]

 

Italie : un ado de 16 ans fait condamner sa mère qui postait des photos de lui sur Facebook

[GARD align=« center »]

Illustration Facebook — FRANCK LODI/SIPA

C’est une décision de justice qui, sans nul doute, devrait faire réfléchir les parents. En Italie, un adolescent de 16 ans a fait appel à la justice contre sa mère, qui postait de nombreuses photos de lui sur les réseaux sociaux. Elle a désormais l’interdiction de publier des clichés de son fils, sous peine d’écoper d’une amende de 10.000 euros. 

C’est une drôle et finalement peu courante affaire qui agite les réseaux sociaux italiens. Une mère de famille a récemment été condamnée par un tribunal civil de Rome à la demande de son fils, un adolescent de 16 ans. Celui-ci avait saisi la justice, ne supportant plus que sa mère publie sans son consentement de nombreuses photos de lui et des commentaires sur sa vie sur Facebook. 

Le tribunal a donné raison à l’enfant en ordonnant à la mère de famille de retirer tous les clichés postés d’ici le 1er février prochain, rapporte La Stampa. Elle aura par ailleurs l’interdiction d’en poster de nouveaux, sous peine de devoir verser 10.000 euros d’amende et des dommages et intérêts à son fils. 

[GARD align=« center »]

Une peine d’amende inédite

Déchiré entre ses deux parents qui divorcent, l’adolescent de 16 ans ne supportait donc plus que sa mère utilise son image sur les réseaux sociaux et que sa vie soit étalée publiquement. Au point qu’il a demandé au juge de pouvoir partir à l’étranger pour poursuivre ses études sereinement.

Selon La Reppublica, si les décisions demandant à des parents de retirer les photos de leurs enfants se multiplient en Italie, c’est la première fois qu’une telle peine d’amende est prononcée.

© LCI 

[GARD align=« center »]

Italie : Un Ivoirien licencié de son travail pour avoir célébré la victoire de la Suède

Buffon réconforte Bonnucci © Getty Images

[GARD align=« center »]

Buffon réconforte Bonnucci © Getty Images
Buffon réconforte Bonnucci © Getty Images

Un immigré Ivoirien vivant dans la ville Italienne de Perugia a été licencié par son employeur pour avoir célébré l’élimination de l’équipe nationale D’Italie face à la Suède dans le cadre des éliminatoires de la coupe du monde 2018 qui aura lieu en Russie.

Hier à San Siro à Milan, l’Italie n’a pas pu se qualifier pour la Russie 2018 après avoir été tenu en échec par la sélection suédoise. Pour la première fois depuis 60 ans, l’Italie sera absente à une coupe du monde. Une déception que les supporteurs de ce pays ont du mal à digérer. L’un d’eux, un chef d’entreprise n’a pas trouvé mieux que de licencier son travailleur Ivoirien qui s’est réjoui de la qualification suédoise.

[GARD align=« center »]

Pourtant la veille, le même Italien s’est moqué des Éléphants de la Côte D’Ivoire, éliminés par les Lions de l’Atlas du Maroc à Abidjan. A son tour, il n’a pas supporter les rires moqueurs de l’Ivoirien.

Très tôt ce mardi matin, l’Ivoirien qui est employé dans un restaurant comme cuisinier s’est dirigé vers son patron avec lequel pourtant il entretenait une bonne relation, pour lui rappeler l’élimination de sa sélection. « Patron, je vous l’avais dis que sans le Noir Balotelli, votre équipe n’ira pas loin »

L’Italien qui est resté silencieux durant les dix minutes qui ont duré la moquerie de son employé a décidé de le virer.Une décision que les travailleurs de ce restaurant de Perugia ont jugé trop sévère et un peu déplacée. Fabrice Seri, l’Ivoirien a été prié par ses collègues d’aller chez lui en attendant que le patron ne se ressaisisse.

[GARD align=« center »]