Congo – Circulation routière : Incendie d’un véhicule en plein trafic routier à Brazzaville

Une voiture

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Une voiture
Une voiture de marque Toyota RAV4 a été consumée par les flammes sur la route Moukondo-Kombo à hauteur du quartier le Bled, vers l’arrêt dit capitaine samedi.

Une voiture de marque Toyota RAV4 a été consumée par les flammes sur la route Moukondo-Kombo à hauteur du quartier le Bled, vers l’arrêt dit capitaine samedi.

La conductrice au volant d’une Toyota RAV4 de couleur grise n’a pas eu le temps de soigner le stationnement de la voiture dont la fumée inonde déjà l’habitacle, qu’elle en est sortie, comme si elle avait le feu aux trousses.

Bien sûr qu’il y avait le feu. À travers l’intense chaleur qui déjà léchait ses pieds aux niveaux des pédales, la conductrice avait vite compris que son moteur était en feu et qu’il n’y avait plus rien à faire, que de s’en échapper.

Selon les témoins, la jeune femme a précipitamment arrêté un taxi, abandonnant là, son véhicule qui fumait du capot.

Quelques jeunes présents sur les lieux ont tenté en vain d’ouvrir le capot d’où s’échappait déjà un feu ardent. En quelques instant, la voiture est devenue un brasier incandescent. Une gigantesque boule de feu dont même les pompiers n’ont pu venir à bout.

« Nous n’avons pas pu sauver la voiture. Le feu a été trop rapide », a dit l’un d’eux. Même les pompiers n’ont rien pu.

Ceux qui ont assisté de plus près à la scène rapportent que la conductrice marmonnait paniquée, ça sent de l’essence !

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Même si l’origine de cet incendie est restée un mystère aux yeux des populations, tout porte à croire qu’une diorite défectueuse ait pu libérer de l’essence qui aurait provoqué l’incendie.

Cet incident pose une fois de plus le problème de la formation des chauffeurs et autres conducteurs de véhicules dans les villes congolaises.

Beaucoup d’entre-eux se limitent simplement à déplacer les véhicules, plutôt qu’à conduire, car ils méconnaissent jusqu’aux règles élémentaires du code de la route, et des signaux de danger, même s’ils sont détenteurs d’un « permis de conduire ».

Pour ceux-là, le contrôle et l’entretien usuel, tels le niveau d’eau ou le niveau d’huile, encore moins lire les voyants sur le tableau de bord restent l’affaire des mécaniciens. La seule jauge qu’ils savent lire c’est celle indiquant le niveau de carburant.

Sans doute un voyant avait averti du danger imminent. Mais, a t-il été interprété par la conductrice ?

Bertrand BOUKAKA

Les Échos du Congo-Brazzaville

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Un incendie vite maîtrisé au marché Total de Brazzaville !

marché Total de Brazzaville

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Une partie du marché  dit « Total »  en construction dans le 2ème arrondissement de Brazzaville, a pris feu ce vendredi 29 juillet. L’incendie parti de l’intérieur du marché a embrasé un tas de cartons consumant dans la foulée quelques tôles de  clôture du chantier du deuxième module du dudit marché. Le dégât matériel n’a pas été important suite au sinistre.

Les commerçants sur place sont heureusement intervenus et ont réussi à éteindre le feu qui commençait à prendre quelques  étalages de fortunes.

Selon les témoins trouvés sur place, les vendeurs et les tenanciers des boutiques sont d’une part responsables du sinistre  car, ils jettent des cartons et autres déchets d’emballage dans ce chantier. L’administration du marché a par ailleurs la plus grande responsabilité par le manque de service de nettoyage et de sécurisation tant du marché que du chantier.

Les trois régisseurs du marché Total étant absents de leur lieu de travail, aucun autre responsable n’a accepté répondre aux préoccupations de Vox Eco. Ce qui est devenu  presque une règle dans l’administration congolaise, ne répondre aux questions de la presse que sur ordre de l’autorité de tutelle.

Les questions de sécurités et de salubrité se posent encore avec acquitté dans les marchés de la capitale malgré la présence de la société Averda.

© Vox Congo

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Congo : d’importants dégâts matériels dans l’incendie d’un lycée de Brazzaville

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Les pompiers à pied d’œuvre pour éteindre le feu, Crédit Photos Adiac
Les pompiers à pied d’œuvre pour éteindre le feu, Crédit Photos Adiac

Un énorme incendie s’est déclaré très tôt le 29 juin, dans le bâtiment de l’Unité de Coordination des projets, situé dans l’enceinte du lycée technique 1er mai de Brazzaville.

 Arrivés sur les lieux quelques minutes après le début de l’incendie, les sapeurs-pompiers ont réussi à maîtriser le feu, qui a causé des dégâts matériels très importants. Plusieurs ordinateurs ont été brulés dans les bureaux du secrétariat, de la comptabilité et dans celui des chargés d’étude, sans oublier d’autres documents importants.

Alertés très tôt, le directeur du cabinet du ministre de l’Enseignement technique et professionnelle, le directeur départemental, l’inspecteur général, les différentes directions centrales, générales, ainsi que les proviseurs des lycées tecniques industriel et commercial sont venus vite constater les dégâts. A l’heure du service, tout le personnel évoluant dans cette Unité venait, stupéfait constater tour à tour les dégâts causés par l’incendie. Pour le moment, l’origine du feu reste inconnu.

Selon le superviseur du centre, Félicien Ndzanga, l’incendie aurait débuté vers 6h00 du matin, avec un imposant panache de fumée qui se dégageait du brasier. Visiblement touché, Il a exprimé son chagrin en rappelant le rôle que joue cette unité de coordination des projets placée sous la tutelle du ministère de l’Enseignement technique et professionnel, de la formation qualifiante et de l’emploi.

Cette Unité, a-t-il dit, est chargée de mettre en exergue tous les projets dudit ministère, en collaboration avec les bailleurs de fonds, notamment, l’AFD, la BAD etc.

« Avec nos différents bailleurs de fonds, notamment l’Agence Française de Développement, nous avons beaucoup de projets en cours. Ce sont tous les projets concernant la refondation du système éducatif. Parmi ces projets, nous avons, à ce jour, le projet d’appui à la refondation du système de l’éducation de la formation. Le deuxième projet concerne l’action au développement des ressources humaines de la santé. Nous gérons ce projet ici, toujours avec le financement de l’Agence Française de Développement », a expliqué Félicien NDzanga.

Rappelons que le gouvernement de la République du Congo avait obtenu des fonds de l’Agence Française de Développement (AFD), afin de financer le Projet d’appui au développement des ressources humaines de la santé (PADRHS), Composante deux (2) du ministère de l’Enseignement technique, professionnel, de la formation qualifiante et de l’emploi.

 Yvette Reine Nzaba

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Congo – Incendie : trois enfants calcinés à Ewo

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Les habitations réduites en cendre (crédit-adiac)
Les habitations réduites en cendre (crédit-adiac)

Selon quelques témoins interrogés sur le lieu du drame, trois enfants de sexe masculin âgés respectivement de 5, 7 et 9 ans ont trouvé la mort dans la nuit du mercredi à jeudi 23 juin, à Ewo dans le département de la Cuvette- Ouest.

Le drame s’est produit suite à un incendie qui s’est déclenché à environ 22 heures. Les enfants auraient allumé une bougie en l’absence de leur mère biologique qui aurait passé la nuit hors du domicile.

 La  jeune  femme d’une vingtaine d’années, serait mère de quatre enfants d’après les explications des témoins. Le dernier enfant a eu la vie sauve parce que sa mère lui  aurait  confié à une de ces copines avant de sortir de la maison familiale.

La parcelle  dont l’incidie a été  déclarée abritait une auberge, un restaurant et des maisons d’habitation, entièrement  réduites en cendre. Les flamme de feu ont causé des dégâts matériels considérables, affirment les mêmes témoins.

Notons que le drame s’est produit dans la nuit où le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, Anatole Collinet Makosso est arrivé dans la ville pour lancer les épreuves du Brevet d’études du premier cycle (BEPC).

Ce dernier n’est pas resté incensible. Anatole Collinet Makosso s’est en effet rendu sur le lieu de la veillée où il a  encouragé la famille éprouvée en remettant une enveloppe financière dont le montant n’a pas été révélé.    

Lydie Gisèle Oko

Algérie: 18 migrants morts dans un incendie

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Photo d'illustration
Photo d’illustration|DR

Dix-huit migrants africains sont morts en Algérie dans un incendie qui s’est déclaré mardi avant l’aube dans un hangar qui leur sert de camp, a indiqué à l’AFP la Protection civile.

« L’incendie s’est déclaré à 03h00 (02H00 GMT), tuant 18 personnes et en blessant 43 autres à Ouargla (800 km au sud-est d’Alger) », a déclaré le colonel Farouk Achour, joint par téléphone.

On ignore encore l’origine du sinistre et les nationalités des victimes.

Il y avait plus de 600 personnes sur ce site, un hangar avec toutes les commodités mis à leur disposition par les autorités locales et aménagé par ces migrants, a expliqué le colonel Achour.

La protection civile est intervenue rapidement pour circonscrire l’incendie, probablement provoqué par un chauffage de fortune, les températures ayant fortement chuté ces derniers jours.

Une enquête a été ouverte par la police scientifique et la préfecture pour en déterminer les causes.

L’Algérie est devenue une destination privilégiée pour les migrants subsahariens, supplantant la Libye en proie au chaos. Cet afflux a donné lieu à une hausse des comportements racistes, y compris des articles de presse, dénoncés par des ONG.

Fin 2014, Alger a renvoyé dans leur pays environ 3.000 Nigériens après un accord avec Niamey.

Par l’AFP

 

Ghana : plus de 100 morts dans l’incendie d’une station-service à Accra

Au Ghana, près d'une centaine de personnes sont mortes dans l'incendie d'une station-service à Accra, le 3 juin 2015.

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Au Ghana, près d'une centaine de personnes sont mortes dans l'incendie d'une station-service à Accra, le 3 juin 2015.
Au Ghana, près d’une centaine de personnes sont mortes dans l’incendie d’une station-service à Accra, le 3 juin 2015.|RFI

Au moins 90 personnes ont péri mercredi soir dans l’incendie d’une station-service à Accra, la capitale du Ghana, a annoncé le porte-parole de la police nationale à l’AFP, estimant que le bilan pourrait encore s’alourdir.

« Pour le moment, le chiffre confirmé atteint environ 90 (morts) mais je sais que ce sera plus que cela. Les agences concernées sont en train de faire le décompte », a déclaré le porte-parole, Arthur Cephas.

Un précédent bilan donné jeudi par la police et la Croix-Rouge faisait état de plus de 70 victimes.

L’incendie a eu lieu mercredi soir à proximité du rond-point Kwame Nkrumah, dans le centre d’Accra. Il se serait déclenché dans une résidence à proximité puis se serait propagé à la station-service.

La grande majorité des victimes s’étaient réfugiées dans la station-service pour s’abriter de pluies torrentielles à l’origine d’importantes inondations dans la ville ces derniers jours.

Sur place, des dizaines de motos calcinées étaient visibles jeudi. L’incendie semble même s’être propagé à un bus plein de passagers stationné à proximité immédiate de la station-service, selon un journaliste de l’AFP.

Les pluies ayant fait déborder les égouts, la chaussée longeant la station-service Ghana Oil Company (GOIL) était entièrement inondée au moment des faits. Les passants avaient de l’eau jusqu’aux genoux quand l’incendie s’est propagé au niveau des pompes à essence qui ont explosé, a expliqué un témoin. Par ailleurs, certaines personnes seraient mortes noyées, en tentant de s’enfuir.

La déflagration a été entendue dans plusieurs quartiers de la capitale ghanéenne.

« Ces pertes humaines sont catastrophiques et presque sans précédent », a réagi, très ému, le président John Dramani Mahama, qui s’est rendu sur les lieux.

« De nombreuses personnes ont perdu la vie et je ne trouve pas mes mots », a-t-il poursuivi.

Par l’AFP