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Étiquette : Idriss Déby

CEMAC: Denis Sassou Nguesso et Ali Bongo Ondimba boycottent le sommet d’Idriss Déby à N’Djaména

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Idriss-Déby, Ali-Bongo et Denis Sassou Nguesso| ©DR

Sur convocation du Président Idriss Déby, Président en exercice de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), une session extraordinaire de la Conférence des Chefs d’État se tiendra le 31 octobre 2017 à N’Djaména, dans la capitale tchadienne.

La journée de ce lundi 30 octobre était réservée à l’arrivée et à l’installation des différentes délégations. Un diner sera également offert par le Président Déby à 20 heures.

Les travaux proprement dits s’ouvriront ce mardi 31 octobre 2017 à 10 h 30.

Compte tenu des enjeux très important de ce sommet qui se tient au moment où la santé économique de la sous-région d’Afrique centrale se dégrade au fil des jours, Idriss Déby, l’hôte du sommet et Président en exercice de la CEMAC, comptait avoir demain autour de la table des débats, tous les Chefs des six pays membres de la CEMAC. Mais, d’après le conseiller à la communication de la Présidence de la République du Tchad, seulement deux Chefs d’État sur les cinq attendus ce lundi 30 octobre 2017 soir ont répondu présents. Les présidents Paul Biya du Cameroun et Faustin Touadera de la Centrafrique sont arrivés ce lundi à N’Djamena.

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Le Premier ministre du Congo-Brazzaville, Monsieur Clément Mouamba représentera le Chef de l’État congolais Denis Sassou Nguesso et le Premier ministre du Gabon, Monsieur Emmanuel Ngondet Isosset, représentera le Chef de l’État gabonais, Ali Bongo Ondimba.

Le Conseil des ministres de l’Union économique de l’Afrique centrale (UEAC) s’est réuni en session extraordinaire le 29 octobre à N’Djamena. Ouvrant les travaux, le ministre tchadien de l’Économie et de la planification du développement, Nguéto Tiraïna Yambaye, a déclaré:«Le montant cumulé des arriérés de cotisations des six pays membres de la Cémac, vis-à-vis de leur organisation, entre 2009 à ce jour, s’élève à plus de 200 milliards FCFA ». Le financement de la Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale (Cémac) a toujours été un gros problème récurrent qui risque de porter atteinte à sa survie, ont fait remarquer des observateurs.

© TchadConvergence

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Franc CFA – Idriss Déby : « C’est à nous de gérer notre monnaie avec notre banque centrale »

Idriss Déby

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Les pays de la zone CFA vont-ils enfin avoir une souveraineté monétaire? C’est le souhait de plusieurs africains qui voient depuis quelques jours plusieurs autorités rejoindre leur position. Après le président de la Guinée Conakry, Alpha Condé, c’est le Tchadien Idriss Deby qui prend également exprime son souhait de voir les 14 pays de la zone CFA ne plus dépendre du Trésor français.

Peut-on être un pays souverain lorsque votre politique monétaire est décidée par un autre? La réponse ne souffre d’aucune difficulté. Pourtant, la zone CFA reste depuis les indépendances sous la direction de la France. D’aucuns pensent que pour rester à la tête d’un des pays de la zone, il faut savoir laisser dans les tiroirs certains dossiers. Et le Franc CFA en est un.

Bien que cela soit une affaire sensible, plusieurs présidents dont Alpha Condé de la Guinée et Idriss Deby du Tchad ont décidé de prendre le pari de réclamer la souveraineté monétaire du CFA et voir la France quitter les conseils d’administrations des banques centrales qui gèrent le franc CFA (BCEAO, BEAC, etc.). En effet, même en présence d’une majorité d’africains sans au moins 1 ou 2 voix de ces administrateurs français aucune décision ne peut être prise. « Un droit de veto qui confère à la France le contrôle total sur le franc CFA » selon le conférencier Nicolas Agbohou, auteur de l’ouvrage Le Franc CFA et l’Euro contre l’Afrique.

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Faute de soutien financier, Idriss Déby menace de se désengager de la lutte anti-terroriste

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Le chef de l’Etat tchadien, Idriss Déby Itno menace de prendre une décision de retrait ou de réduction l’effectif des soldats tchadiens à l’étranger si rien n’est pour aider financièrement son pays.

‘’Ces interventions coûtent cher au Tchad , un petit pays qui n’a pas de moyens, qui a connu d’énormes problèmes dans son histoire récente. Il est donc du devoir  de tous ceux qui ont plus de moyens de l’aider sur le plan militaire, matériel, logistique et financier’’, a dit le président Deby,  invité du magazine «Internationales» de RFI, Le Monde et TV5, diffusé ce dimanche.

«En dehors des renseignements, de temps en temps, et de formations, depuis notre intervention au Mali, au Cameroun, au Nigeria, au Niger, nous n’avons pas été soutenus sur le plan financier. Le Tchad a déboursé sur ses propres ressources plus de 300 milliards de francs CFA (plus de 457 millions d’euros) pour la lutte contre le terrorisme sans un soutien quelconque de l’extérieur. Jusqu’à aujourd’hui nous sommes seuls dans cette lutte», regrette le chef de l’Etat tchadien.

Et le président Déby d’ajouter : «nous sommes arrivés au bout de nos limites. Nous ne pouvons pas continuer à être partout, au Niger, au Nigeria, au Cameroun, au Mali et surveiller 1200 kilomètres de frontière avec la Libye. Tout cela coûte excessivement cher et si rien n’est fait, le Tchad sera malheureusement dans l’obligation de se retirer. L’idée est à l’étude mais nous estimons que l’année 2018 va être déterminante», lance-t-il.

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Idriss Déby pense que fin 2017 début 2018, si cette situation devait perdurer, le Tchad ne serait plus en mesure de garder autant de soldats à l’extérieur de son territoire.

«Progressivement, une partie de nos soldats devra alors regagner le pays», dit le chef de l’Etat tchadien.

A la question de savoir s’il est déçu par les Occidentaux, Idriss Déby répond en ces termes «je suis absolument certain que les Tchadiens sont déçus et estiment que le Tchad en a trop fait, et qu’il doit se retirer de ces théâtres là pour se protéger et éviter que la situation sociale ne se dégrade davantage».  

A la préoccupation des journalistes du magazine Internationales si Déby pense abandonner le projet de la force du G5 Sahel, il répond que «on ne peut pas avoir des forces dans le G5 Sahel et en même temps dans une autre mission sur le même théâtre.

Déby rappelle que, pour les chefs d’Etat de la région, le plus important ce sont les forces du G5. «Le Tchad ne peut pas avoir 1400 hommes au Mali dans la Mission des Nations unies et en même temps 2000 soldats dans le G5. Même si les financements arrivaient, il y a un choix à faire», note-il.

Le G5 Sahel est un cadre institutionnel de coordination et de suivi de la coopération régionale en matière de politiques de développement et de sécurité, créé en  2014 par cinq États du Sahel : Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad.

Avec APA

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VIDÉO – Idriss Déby accuse la France d’être intervenue au Tchad pour changer la Constitution

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“J’aurais souhaité m’arrêter en 2006 après mon second mandat. J’aurais alors cédé le pouvoir. Mais la guerre a éclaté. Des mercenaires ont attaqué N’Djamena. Et alors que je ne le voulais pas, la France est intervenue pour changer la Constitution. Il y a un constitutionnaliste dont je ne connais même pas le nom qui est venu ici. J’ai dit que je ne voulais pas changer la Constitution mais ils sont passés par leurs arcanes et ont changé la Constitution.“

Je dis qu’en tant que soldat j’avais donné ma parole de quitter le pouvoir en 2006 mais deux choses sont intervenues : la guerre et la France. (…) Maintenant, ce sont ceux-là même qui ont changé la Constitution qui me critiquent. (…) La guerre s’est arrêtée en mai 2008. La longévité dans ces fonctions n’est pas une bonne chose mais il ne faut pas non plus laisser le pays dans un désordre. Entre deux maux, il faut choisir le moindre. (…) Le jour où le peuple tchadien me dira de partir, je partirai, a expliqué le président dans un entretien à RFI, TV5 Monde, et le quotidien Le Monde.

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Tchad: un Français, se disant opposant à Idriss Déby, expulsé

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Le président tchadien Idriss Déby.
Le président tchadien Idriss Déby.

Un Français, Thomas Dietrich, se présentant comme opposant au régime tchadien, a été expulsé vers le Cameroun lundi matin, après avoir été arrêté la veille peu après son arrivée à N’Djamena, a constaté un journaliste de l’AFP.

M. Dietrich, placé dans un vol à destination de Douala, a assuré avoir été maltraité physiquement et s’être fait dérober de l’argent et son téléphone portable après son interpellation.

Il était arrivé samedi à N’Djamena. «Le visa lui avait été refusé depuis Paris, il est passé par Yaoundé pour l’obtenir. Il a été interpellé» dimanche matin, avait indiqué une source policière.

Son arrestation avait été confirmée par l’opposition sur les réseaux sociaux, selon lesquels le Français a été interpellé par l’Agence nationale de sécurité (ANS, services de renseignement).

Dans un message diffusé sur Facebook, Thomas Dietrich avait annoncé sa visite à N’Djamena et dénoncé «la dictature qui opprime» le Tchad, «les violations des droits de l’Homme» en se déclarant solidaire d’un «peuple qui crie famine».

Il est l’auteur d’un roman qui se déroule au Tchad, «Les enfants de Toumaï» publié en janvier 2016 chez Albin Michel.

Le chef de l’Etat Idriss Déby Itno, au pouvoir depuis 26 ans, s’est présenté le 10 avril à la présidentielle pour un 5e mandat de cinq ans, dont le résultat est attendu dans une semaine.

La société civile est interdite de manifestation, l’administration, les hôpitaux et les universités sont en grève. Le Tchad, producteur de pétrole, est classé parmi les cinq pays le plus pauvres au monde.

AFP

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Le Tchadien Idriss Déby nouveau président en exercice de l’Union Africaine

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Le président du Zimbawe Robert Mugabe (au centre) dans les bras de son homologue tchadien Idriss Déby lors du passage de témoin à la tête de l'Union africaine, le 30 janvier 2016 à Addis-Abeba. |© REUTERS/Tiksa Negeri
Le président du Zimbawe Robert Mugabe (au centre) dans les bras de son homologue tchadien Idriss Déby lors du passage de témoin à la tête de l’Union africaine, le 30 janvier 2016 à Addis-Abeba.
|© REUTERS/Tiksa Negeri

Le président tchadien Idriss Itno Déby, en pointe dans la lutte contre les groupes jihadistes en Afrique sub-saharienne, a été désigné nouveau président en exercice de l’Union africaine, samedi à Addis Abeba.

M. Déby, qui occupera la présidence tournante de l’organisation continentale pendant un an, succède au zimbabwéen Robert Mugabe, plus ancien chef d’Etat africain en exercice.

C’est le président Mugabe qui a annoncé la nomination de M. Deby, désigné par ses pairs, au terme d’un long discours prononcé quelques semaines après de nouvelles rumeurs sur son état de santé.

« Quelle que soit l’aide que vous me demandez, je serai là, jusqu’à ce que Dieu me dise de venir. A ce moment-là, je partirai rejoindre les autres. Mais tant que je serai en vie, je serai toujours combatif », a déclaré M. Mugabe, 91 ans, avant d’aller se rasseoir sous les applaudissements nourris de la salle plénière, le poing droit levé.

Chef de l’Etat tchadien depuis 1990, M. Déby est devenu un acteur incontournable en Afrique centrale, à la tête d’une armée aguerrie et désormais bien équipée.

Face à la menace des islamistes nigérians de Boko Haram, il fait intervenir ses troupes au Nigeria voisin début 2015 pour y libérer des localités occupées par les islamistes et initier une riposte militaire régionale contre Boko Haram face à l’inertie de l’armée nigériane.

N’Djamena a été en retour frappée par plusieurs attentats-suicides meurtriers revendiqués par Boko Haram.

« La montée du terrorisme dans le monde et particulièrement en Afrique impose que nous unissions nos forces. La solidarité face à ce phénomène ne doit pas se résumer à des mots », a déclaré M. Déby à la tribune de l’UA.

Né en 1952, M. Déby a accédé au pouvoir par les armes en 1990 en renversant son ancien mentor, le président Hissène Habré.

Le chef de guerre délaisse alors son treillis pour la politique et ouvre le pays au multipartisme. Elu en 1996 et réélu depuis, il est régulièrement critiqué par une opposition qui lui reproche des fraudes électorales, des violations des droits de l’homme et, malgré son entrée en 2003 dans le club des pays producteurs de pétrole, l’extrême pauvreté des Tchadiens.

Traditionnellement allié de la France, l’ancienne puissance coloniale, le Tchad avait aussi envoyé ses troupes combattre les islamistes dans le nord du Mali en 2013 au moment de l’intervention militaire française Serval.

Et c’est à N’Djamena qu’est basée l’opération militaire française Barkhane qui lutte contre les jihadistes dans le Sahel.

M. Déby devrait être désigné le 6 février candidat par son parti à la prochaine élection présidentielle prévue le 10 avril.

Par l’AFP

Centrafrique: le président Idriss Deby réclame la fin de la transition

Le président Idriss Déby Itno

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Le président Idriss Déby Itno
Le président Idriss Déby Itno

Le président tchadien Idriss Deby, très influent en Centrafrique, a estimé lundi que la transition en cours dans ce pays devait s’arrêter et des élections être organisées avant la fin 2015, après une flambée de violences à Bangui.

Nous regrettons ce qui est arrivé en RCA, a souligné Idriss Deby devant la presse à l’issue d’un entretien à Paris avec le président François Hollande en réaction aux violences qui ont embrasé la capitale centrafricaine fin septembre, faisant 61 morts et 300 blessés, selon un dernier bilan.

Nous avons avec le président François Hollande la même position en ce qui concerne la RCA : cette transition doit s’arrêter. Il faut (mieux) une mauvaise élection plus qu’une transition chancelante, a déclaré le président Deby, dans une critique implicite des autorités de transition en place depuis janvier 2014.

Que la communauté internationale trouve les moyens financiers nécessaires pour permettre à la transition de faire les élections avant la fin de l’année 2015, a-t-il insisté.

Cela ne suffit pas, il faut régler la question des hommes en armes. Parallèlement, il faut que la communauté internationale trouve le moyen pour déclencher le système DDR (démobilisation, désarment, réinsertion) pour permettre aux anti-balakas (milices animistes et chrétiennes) et ex-Séléka (ex-rébellion à dominante musulmane) qui sont armés et dans la nature de regagner le bercail.

Avec le président français, M. Deby a aussi abordé la question-clé de la situation économique et financière difficile que traverse le Tchad aujourd’hui.

Ces difficultés sont les conséquences directes de l’implication du Tchad dans les questions de sécurité de la sous-région, a-t-il estimé, sans préciser cependant quelles demandes de contrepartie N’Djamena avait formulées sur ce point.

Par l’AFP

L’Elysée veut confier la crise centrafricaine à Idriss Déby

François Hollande et Idriss Déby.

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François Hollande et Idriss Déby.
François Hollande et Idriss Déby.

En visite privée en France, le président tchadien Idriss Déby sera reçu lundi à l’Elysée par son homologue français François Hollande qui souhaite en faire le principal artisan de la résolution de la crise centrafricaine.

En froid avec le Congolais Denis Sassou N’guesso, actuel médiateur en Centrafrique, depuis qu’il annoncé le référendum pour modifier la Constitution puis briguer un troisième mandat, Hollande veut avoir comme interlocuteur privilégié sur ce dossier le président tchadien, ami personnel du ministre français de la Défense, Jean Yves Le Drian (CEEAC).

La remise en scelle du président tchadien devrait être accueilli avec soulagement par la présidente centrafricaine Catherine Samba-Panza qui entretient des rapports notoirement difficiles avec Denis Sassou N’guesso.

Celui-ci lui reproche surtout de n’avoir pas nommé son poulain Karim Meckassoua au poste de Premier ministre de transition après le départ de André Nzapayeke

(Mondafrique)

L’Europe est seule responsable du drame que vivent les migrants selon Idriss Deby

Le président Idriss Déby Itno

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Le président Idriss Déby Itno
Le président Idriss Déby Itno

Le chef de l’Etat tchadien qui est depuis lundi au Niger a estimé que l’Europe est seule responsable de la crise migratoire qui prévaut actuellement avec ses cortèges de morts et de tristesse.

Idriss Deby Itno dénonce la déstabilisation des pays africains et du Moyen-Orient et l’exploitation des matières premières du continent africain qui seraient les principales causes du départ massif des jeunes vers l’Europe.

« La pauvreté nourrit le terrorisme » l’Europe doit repenser sa politique vis à vis de l’Afrique estime le président Idriss Deby Itno qui trouve inacceptable que l’Europe refuse d’accueillir les réfugiés.

S’exprimant sur BBC Afrique, le dirigeant tchadien a indiqué que l’afflux des réfugiés du Moyen-Orient vers l’Europe conjugué à ce qui se passe depuis quelques années en Afrique au sud du Sahara doivent faire réfléchir les européens.

La gouvernance mondiale doit arrêter le désordre non pas par la mise en place de mur de barbelé mais par des actions concrètes de développement notamment en arrêtant de créer des désordres.

A en croire le chef de l’Etat tchadien ce sont des pays fragiles comme le Niger et le Tchad qui sont les premiers à en subir les conséquences.

(BBC)

VIDÉO – Idriss Déby Itno: « Ceux qui fabriquent les armes sont derrière Boko Haram »

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 » Boko Haram est soutenu, Boko Haram est financé, Boko Haram a reçu du matériel, y compris du matériel blindé sur le terrain. De qui ? Je ne le sais pas. »

« Comment pouvez-vous imaginer qu’une organisation terroriste arrive à conquérir aujourd’hui un tiers d’un grand pays comme le Nigeria avec une armée organisée, avec des blindés, avec des modes d’action qui ressemblent à ceux d’une armée régulière ? On ne fabrique pas de blindés au Nigeria, on ne fabrique pas d’armes. Donc, tout ça n’est pas tombé du ciel.

Daech ou Boko Haram sont loin, loin, loin de l’Islam. C’est pour moi inacceptable, et les musulmans ne doivent pas simplement regarder, observer et laisser faire. On les a laissé faire depuis longtemps et il est temps que les musulmans s’organisent eux aussi pour faire face à cette organisation terroriste qui n’a rien, rien, rien de musulmane. Ce ne sont pas des musulmans et nous devrions combattre ces gens, les musulmans doivent combattre ces gens. « 

© Euronews