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Le 15 octobre, le chef de l’État assurait qu' »aux États-Unis, une présidente serait élue ». Encore un couac et une « pensée magique » sans lendemain !
Parfois, mieux vaut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant d’émettre un pronostic. Surtout quand on est président de la République et que l’on s’exprime devant des caméras. « Il y a des élections qui vont se produire aux États-Unis, une présidente va être élue », prédisait François Hollande le 15 octobre dernier, lors d’un discours sur l’Europe prononcé à Paris dans le cadre d’une conférence. À peine a-t-il prononcé cette phrase qu’il est interrompu par une salve d’applaudissements. Visiblement content de son effet, le chef de l’État prend quelques secondes avant d’enchaîner…
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Anticipant un résultat qu’il pensait certain, le chef de l’État voulait mettre en garde son auditoire sur les nouvelles relations qui s’établiront entre les États-Unis et le Vieux Continent. « Au-delà de ce qu’elle peut représenter, de ses convictions, sachez bien qu’il ne faut plus attendre des États-Unis (…) la défense du territoire européen, les États-Unis vont demander aux Européens de se défendre par eux-mêmes », a-t-il ajouté au terme de cette conférence « Europa » en défendant l’idée d’une défense européenne.
Quelques heures après la défaite cinglante de l’ancienne First Lady, ces images prêtent à sourire… Il faut décidément se méfier des sondages, de ses propres intuitions, des « experts » et des sortants toujours plus impopulaires aux yeux de leurs électeurs… Une conclusion que François Hollande devrait méditer avant de se lancer dans la campagne présidentielle française…
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