Congo : Une évasion digne d’un film hollywoodien au commissariat central de Police de Mossendjo

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Photo d’illustration| ©DR

Boris Mouhilou-Ndolo alias Zepekeni c’est son nom. Hier après-midi, il a réussi à s’évader au commissariat central de Police de Mossendjo dans le département du Niari (sud), sous les regards impuissants des policiers.

Une course-poursuite commence entre le fuyard et la police. Des tirs nourris retentissent dans la ville. Craignant une balle perdue, les policiers laissent finalement Boris Mouhilou-Ndolo alias Zepekeni se fondre tranquillement dans la nature.

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La police de Mossendjo a lancé un avis de recherche à son encontre.

Boris Mouhilou-Ndolo alias Zepekeni était placé en garde à vue pour des faits de grand banditisme, notamment le vol d’une moto.

Germaine Mapanga
Avec lesechos

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Congo : une tentative d’évasion de prisonniers fait trois morts à Brazzaville

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Des tirs à l’arme automatique ont été entendus jeudi dans l’après-midi à Brazzaville, capitale de la République du Congo.

Selon des sources concordantes, un gendarme, un prisonnier et un passant auraient trouvé la mort, suite à une tentative d’évasion de prisonniers à la Maison d’arrêt centrale de Brazzaville.

D’après les premières informations recueillies sur place, un prisonnier a profité d’une récréation accordée à plusieurs d’entre eux vers 15 heures (heure locale) pour assommer d’un coup de pierre un gendarme commis à la garde des lieux, avant de s’emparer de son arme et se mettre à tirer à balles réelles.

Le mouvement a été aussitôt suivi par ses collègues qui auraient à leur tour pris des armes au poste de police puis tenter de libérer le reste des prisonniers. Les forces de sécurité sont intervenues très vite, mettant en déroute les insurgés dont un serait tué sur place et d’autres repris. Une troisième personne, un visiteur, affirment des témoins, aurait été tuée par une balle perdue.

La situation a été maîtrisée quelques instants après par les forces de l’ordre. Vers 16 heures, les forces de sécurité étaient visibles avec leurs engins devant la Maison d’arrêt. Non loin de là, au Palais de justice de Brazzaville, on annonçait une communication du procureur de la République en vue d’édifier l’opinion sur ce qui venait de se passer.

Dans une brève communication devant la presse ce soir, le procureur de la République près du tribunal de grande instance de Brazzaville, André Oko Gakala, a confirmé le bilan de trois morts, ajoutant que quatre autres personnes, dont trois parmi les prisonniers en cavale, étaient blessées.

La maison d’arrêt centrale de Brazzaville, construite pour accueillir 150 pensionnaires, est surpeuplée, avec plus de 800 prisonniers. Nombreux de ces détenus sont des militaires et ex-miliciens arrêtés lors de nombreuses opérations menées par la force publique courant cette année.

Avec Xinhua

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Congo : évasion de dix détenus à la maison d’arrêt de Djambala

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Des sources biens informées ont rapporté, le 13 décembre à notre rédaction de Brazzaville, que les braconniers Samuel Pembele et Abbo Hamadou  se sont évadés de la maison d’arrêt de Djambala et ont été rapidement rattrapés.

La même source indique que l’évasion de ces deux délinquants fauniques et autres s’était produite dans la nuit du 09 au 10 décembre 2016 aux environs de minuit.

Les deux braconniers, Samuel Pembele et Abbo Hamadou, écroués au préalable à la maison d’arrêt de Ouesso, étaient transférés à la maison d’arrêt de Djambala pour des raisons de décongestion afin de purger leurs peines.

Les braconniers prévenus ont été condamnés à des peines d’emprisonnement ferme de cinq ans à chacun pour des faits liés au braconnage des éléphants et de  détention illégale d’armes et munitions de guerre. 

Il est à noter que parmi les huit détenus évadés de la maison d’arrêt de Djambala, trois d’entre eux ont été retrouvés.

Fortuné Ibara
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Congo : évasion d’une cinquantaine de prisonniers à Ouesso

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Image d’archive| DR
Image d’archive| DR

Une cinquantaine de personnes détenues à la Maison d’arrêt de Ouesso, dans le département de la Sangha, sont en cavale depuis le 5 juin, a-t-on appris de sources concordantes.

Les 53 prisonniers auraient profité, d’après notre source, du manque d’attention des éléments chargés de la sécurité de la Maison d’arrêt en raison du match de football qui se jouait dans cette ville entre Étoile de la localité et Étoile de Brazzaville.

De nombreux témoignages, quasi concordants indiquent que trois d’entre les fugitifs, étaient détenus pour des faits d’enlèvement, de crimes rituels appelé « phénomène kata-kata« .

Le grand contingent de ces évadés est composé de trafiquants d’ ivoire et autres catégories de braconniers.

Selon les mêmes sources, aucune évasion n’est signalée au sein des détenus transférés de Brazzaville pour y purger leurs peines après que le tribunal avait rendu le verdict.

Sur les conditions de cette évasion, un témoin indexe l’état vétuste des structures pénitentiaires au Congo et l’insuffisance des mesures de sécurité à Ouesso.

(Xinhua)