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Humiliés, ridiculisés et battus, vont-ils enfin se décider à apprendre l’humilité ? Il s’agit bien des médias dits de masse. Ils ont effectivement déclaré la guerre à Donald Trump, l’ont insulté, maltraité et banni pour cause de « débilité » aggravée. Ils ont pris fait et cause pour sa rivale, Hillary Clinton, l’ont encensée, portée, célébrée et magnifiée, pour rien. Elle a échoué, elle a chuté, elle s’écroule à nouveau, presque définitivement. Cette fois, ce n’est pas pour un malaise car elle ne se relèvera plus. Et les cachets contre la pneumonie ne suffiront pas.
Ses soutiens médiatiques sont hagards, ils se demandent ce qui a bien pu se passer. Ils se demandent où sont passés les Africains-Américains et les Hispaniques, sur qui comptait Hillary pour aller à la Maison Blanche. Pourtant, ils ont réquisitionnés des cars pour les ramasser devant des églises, comme du bétail, et les conduire directement devant les bureaux de vote, avec des sandwiches et du coca. Depuis qu’on les avait oubliés, on s’est souvenu brusquement qu’ils pouvaient servir, qu’ils étaient utiles, qu’ils pouvaient voter non pas pour le candidat de leur choix mais seulement pour les démocrates et pour Hillary. Il fallait fuir le monstre, le dangereux, la grand satan, bref le mal incarné, celui qui n’a jamais été ni gouverneur, ni sénateur ni secrétaire d’Etat mais que l’on désigne partout comme raciste, horrible, malfaisant et débile.
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