Élection de Donald Trump : Charles Onana invite les Clinton à demander l’asile politique au Rwanda

[GARD align= »center »]

Humiliés, ridiculisés et battus, vont-ils enfin se décider à apprendre l’humilité ? Il s’agit bien des médias dits de masse. Ils ont effectivement déclaré la guerre à Donald Trump, l’ont insulté, maltraité et banni pour cause de « débilité » aggravée. Ils ont pris fait et cause pour sa rivale, Hillary Clinton, l’ont encensée, portée, célébrée et magnifiée, pour rien. Elle a échoué, elle a chuté, elle s’écroule à nouveau, presque définitivement. Cette fois, ce n’est pas pour un malaise car elle ne se relèvera plus. Et les cachets contre la pneumonie ne suffiront pas. 

Ses soutiens médiatiques sont hagards, ils se demandent ce qui a bien pu se passer. Ils se demandent où sont passés les Africains-Américains et les Hispaniques, sur qui comptait Hillary pour aller à la Maison Blanche. Pourtant, ils ont réquisitionnés des cars pour les ramasser devant des églises, comme du bétail, et les conduire directement devant les bureaux de vote, avec des sandwiches et du coca. Depuis qu’on les avait oubliés, on s’est souvenu brusquement qu’ils pouvaient servir, qu’ils étaient utiles, qu’ils pouvaient voter non pas pour le candidat de leur choix mais seulement pour les démocrates et pour Hillary. Il fallait fuir le monstre, le dangereux, la grand satan, bref le mal incarné, celui qui n’a jamais été ni gouverneur, ni sénateur ni secrétaire d’Etat mais que l’on désigne partout comme raciste, horrible, malfaisant et débile. 

[GARD align= »center »]

Aux yeux des médias Hillary n’a jamais été raciste, elle n’a jamais dit du mal de son « ami » de circonstance : le président sortant. Elle n’a jamais fait le moindre mal. Elle est dans « l’axe du bien » puisque même les Bush, partout bienfaisants, ont voté pour elle. Même la mamy Babara Bush a dit qu’elle ne sait pas « comment des femmes peuvent voter pour Trump ». Le coup de pouce de mamy n’a manifestement pas suffi. Des femmes ont quand-même voté pour le « sexiste » à moitié « débile ». Elles sont peut-être aussi « débiles » pour ne pas voir le talent de l’avocate Clinton. Mais combien de fois Hillary a-t-elle pris la parole pour s’indigner des bavures policières qui inondent les sites américains contre les Africains-Américains ? Combien de fois l’a-t-on vu défendre les injustices touchant des Africains-Américains condamnés à tort et qui encombrent depuis des années les couloirs de la mort ?  Certains Africains-Américains nous ont dit qu’ils en avaient marre de voter depuis plus 60 ans pour les démocrates sans jamais voir de changement dans leurs droits les plus élémentaires. Certains ont même avoué avoir voté pour Trump car ils étaient choqués par la propagande obscène des médias américains en faveur des Clinton. Ceux-là doivent aussi être des « débiles »…

LIRE LA SUITE SUR OEILDAFRIQUE

[GARD align= »center »]