Le Premier ministre, Clément Mouamba a décidé le 14 décembre à Brazzaville, devant les députés, lors de la séance des questions au gouvernement, d’abroger la note circulaire demandant aux parents de contribuer au financement de l’école.
« Pour l’instant, la note circulaire demandant aux parents de contribuer au financement de l’école est cassée. On y met une trêve en attendant d’organiser les détails conventionnels avec les parents », a déclaré Clément Mouamba devant les députés.
Le Chef du gouvernement a rappelé que, dans l’historique scolaire congolais, les parents ont toujours payé. Malheureusement dans le désordre. Il a, de ce fait notifié que ce texte avait l’avantage de repréciser les obligations de chaque partie prenante concernant le financement de l’école.
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« Il n y a aucune volonté du gouvernement d’harceler les parents d’élèves, étant donné que la gratuité de l’enseignement au Congo est considérée comme l’un des grands principes. Mais dans les faits, l’Etat tout seul ne peut pas tout financer », a expliqué Clément Mouamba.
Le premier ministre a réaffirmé la volonté du gouvernement de s’investir au fonctionnement de l’école congolaise, d’autant plus que près de 2.000 établissements de cycle primaire dénombrés dans tout le territoire du pays, sans compter les collèges et les lycées, ont besoin du soutien de l’Etat.
Au Congo comme partout ailleurs, la gent féminine est en proie à une multitude de violences. L’une des plus récurrentes du siècle présent reste le harcèlement sexuel en milieu scolaire. Ce phénomène qui sévit depuis longtemps dans les collèges, lycées et même à l’université reste dans l’ombre du silence, malgré le contrecoup qui en découle et qui influe négativement sur le résultat des apprenants.
Le harcèlement sexuel en milieu scolaire se définit communément comme le fait pour un enseignant d’utiliser son autorité en vue d’obtenir des rapports sexuels avec son ou ses élèves. En effet, ce dernier exerce surtout un contrôle important sur les filles à travers les notes de classe et les résultats des examens. Si la vision du gouvernement congolais est de favoriser l’instruction des filles, ces dernières perdent très tôt parfois le goût d’aller à l’école en raison des violences sexuelles dont elles sont victimes de la part de certains de leurs enseignants qui tirent souvent du plaisir à user de leur position pour solliciter une faveur sexuelle aux filles en situation de vulnérabilité.
Le harcèlement sexuel en milieu scolaire se manifeste par des messages, des ordres, des attaques verbales, des gestes obscènes ou encore par des tentatives d’attouchement, des compliments déplacés, des séductions agaçantes et tout ceci de façon répétée. Lorsqu’elles manifestent leur refus, les victimes récoltent souvent de mauvaises notes et sont régulièrement sanctionnées.
Toutefois, le fléau a des conséquences sur la victime et sur ses résultats. D’abord, la jeune fille perd peu à peu la joie d’aller à l’école. D’après les statistiques, beaucoup de filles, pour se libérer de ces enseignants à la libido insatiable, abandonnent très tôt les études. Celles qui résistent pendant longtemps sont parfois obligées de changer d’établissement à la recherche d’un cadre d’études pouvant leur permettre d’être à l’abri de ces prédateurs.
« Un professeur de mathématiques a commencé à me faire des avances. Je les ai repoussées… et il a fini par me coller une mauvaise note au premier devoir », se souvient Christie, qui se dit fière d’avoir « su résister ». Comme d’autres élèves, la jeune femme, aujourd’hui étudiante à l’Université Marien-Ngouabi, n’hésite pas à parler de « harcèlement sexuel » de la part des professeurs qui utiliseraient les notes comme moyen de pression pour obtenir les faveurs de certaines élèves. Une autre étudiante, sous couvert d’anonymat, raconte avoir changé de filière après avoir refusé les avances d’un professeur qui lui a « rendu la vie infernale ».
Manifestations et séquelles sur les victimes…
Le phénomène crée une psychose au niveau des filles qui éprouvent désormais de la peine à étudier convenablement. Les effets psychologiques peuvent inclure l’anxiété, la dépression, les troubles du sommeil, la perte d’appétit, l’incapacité de se concentrer, une estime de soi amoindrie, la perte d’intérêt à l’égard des activités régulières, l’isolement social et les sentiments de tristesse, de peur ou de honte. « Je restais souvent pensive en classe et à la maison, au point où j’avais même perdu l’envie d’apprendre. Ce monsieur m’a marquée. J’ai toujours tressailli en le voyant entrer dans la salle », nous a confié Keren, une ancienne élève d’un collège à Brazzaville.
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De l’autre côté, l’enseignant perd sa crédibilité et, du coup, sa matière n’est plus la bienvenue chez les apprenants. « Quel que soit votre âge ou rang, le jour où vous couchez avec votre élève, elle commencera par vous tutoyer. Car, désormais, il n’y aura plus de barrière entre vous », a clarifié un enseignant de français.
Interrogée à ce sujet, Bénédicte, élève en classe de 5e, raconte : « J’ai déjà entendu parler du harcèlement sexuel en milieu scolaire. C’est une pratique qui n’est pas bonne pour les filles car elles perdent 50% de leur chance de poursuivre des études et cela, durant toute leur vie ». Elle a cité l’exemple de l’une de ses camarades collégiennes. Selon Bénédicte, sa copine a connu un cas de harcèlement sexuel avec comme auteur, le directeur de ce collège. Il a commencé avec des avances que la fille a refusées. « Cela a été le début de tous ses problèmes dans cet établissement scolaire. Des rendez-vous sur rendez-vous donnés, des messages par personnes interposées, des enveloppes contenant de l’argent ne cessaient de lui parvenir et tout cela dans le seul but que mon amie succombe à ses avances. Après les travaux dirigés, le soir, il demandait à lui parler et ce, jusque tard pour des raisons toujours futiles. Ne sachant pas comment réagir, elle demanda conseil à ses amies de classe. Quand le directeur a su qu’elle en avait parlé à ses amies de classe, il a commencé à les faire payer. Et la fille a fini par céder », a-t-elle expliqué.
C’est horrible ! Quel type d’éducation prône-t-on désormais dans les établissements scolaires ? En dehors du fait que le harcèlement sexuel soit une violation flagrante des droits de la personne, il crée une psychose au niveau des victimes qui ploient généralement sous la pression et le poids de l’ignorance.
Alors que les témoignages et les plaintes pour harcèlement, agressions sexuelles et viols ne cessent de pleuvoir dans tous les milieux scolaires et socioprofessionnels, et que la parole continue à se libérer, une nouvelle affaire de ce genre vient une fois de plus noircir un tableau déjà bien sombre. Il s’agit d’un professeur de lycée qui vient d’engrosser une élève mineure de sa classe. Informés, le chef de l’établissement et les parents ont convoqué le professeur qui, malheureusement, aurait pris la fuite. Affaire à suivre…
Dans les cours de l’université, des lycées et collèges, le harcèlement sexuel alimente depuis des décennies la rumeur, sans faire scandale sur la place publique. Le problème est connu et a déjà fait l’objet d’articles dans la presse, dénonçant ces enseignants prédateurs. Au niveau du Congo, que prévoit la loi congolaise au sujet du harcèlement sexuel en milieu scolaire, ou contre toute personne occupant une position hiérarchique ?
Rentrée scolaire 2015-2016 : une reprise timide dans certains établissements de Brazzaville
Après trois mois de vacances, les élèves congolais sont appelés à renouer avec le chemin de l’école à compter de ce 2 octobre sur toute l’étendue du territoire national.
La rentrée scolaire 2017-2018 se déroule dans un contexte particulier marqué par des difficultés économiques et financières auxquelles le Congo fait face depuis quelques années. Afin de trouver des pistes et solutions pour l’aboutissement de l’année scolaire 2017-2018, les participants à la 19e session du conseil national de l’éducation préscolaire, de l’enseignement primaire et secondaire ont pris récemment trois recommandations. Il s’agit notamment de maintenir la gratuité scolaire ; faire participer la communauté éducative au financement de l’école ; créer un fonds de soutien à l’éducation.
Le financement de l’école dans son volet emploi accuse d’énormes difficultés à cause du non-versement des crédits alloués et des fonds de la gratuité depuis deux ans. Cette rupture de financement a engendré, entre autres conséquences immédiates, le surendettement des écoles au plan administratif, la non-réalisation des activités prévues dans les plans d’action, la démotivation du personnel bénévole, des prestataires et du personnel de service. « Un financement alternatif est nécessaire pour le salut de l’école congolaise. Le schéma de financement de l’école où l’Etat ne sera plus le seul pourvoyeur mais sera également soutenu par les parents d’élèves », soulignait un exposant.
Les promoteurs des écoles privées dos au mur ?
Invité à développer la communication sur la contribution des promoteurs des écoles privées, lors du conseil national, le président de la Convention nationale des promoteurs des écoles privées du Congo (Conapepco), Clobert Ibinda, a indiqué que l’école privée avait sa place. Elle est, a-t-il expliqué, un partenaire incontournable, le 4e Objectif du développement durable ne peut être atteint sans l’école privée qui joue un rôle très important pour la formation des enfants du Congo, au même titre que les écoles publiques. Les promoteurs des écoles éprouvent, a-t-il poursuivi, quelques difficultés (l’attente des agréments, le non-respect de la carte scolaire, la concurrence déloyale, le bradage des frais d’écolage, le départ des enseignants formés évoluant dans les écoles privées vers le secteur public.
« Laisser nous former nos propres enseignants, l’année scolaire 2016-2017 a posé d’énormes problèmes au niveau de l’école privée. Les services d’impôts n’arrivent pas à trouver une base juridique pour imposer à l’école privée. Pendant cette période de récession économique, les effectifs scolaires vont diminuer à l’école privée et augmenter à l’école publique », a dénoncé Clobert Ibinda.
S’impliquer totalement dans la réussite de la rentrée scolaire
Soucieux de l’avenir de l’école congolaise en cette période difficile, le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, a invité la communauté éducative à s’impliquer totalement dans la réussite de la rentrée scolaire 2017-2018. D’après Anatole Collinet Makosso, les conclusions de la 19e session sont des mécanismes innovants de financement de l’école. Il appelait également les parents d’élèves et les collectivités locales (élus locaux) à appuyer l’Etat dans le cadre du financement additionnel.
FC Barça ouvre sa première école au Maroc |Image d’archive
Le grand club espagnol, FC Barça, a inauguré jeudi sa première école internationale dans le Royaume, une structure qui va reproduire la méthodologie d’entraînement de ce grand club connu de par le monde.
Implantée à à Casablanca, cette école a été inaugurée en présence du Directeur Général de FCB Escola Maroc en présence de grands noms de FC Barcelone Escola International.
L’école prévoit un programme annuel qui permettra aux joueurs âgés de 4 à 16 ans de perfectionner leurs connaissances techniques et tactiques du football. Il se déroule sur 40 semaines divisées en 2 modules de 20 semaines. Au cours de chaque semaine, le joueur apprend de nouvelles situations de jeu à travers un thème précis.
Le nombre de places étant limité à 12 joueurs par groupe ; FCB Escola Maroc met en place des journées de recrutement pour permettre l’accès au plus grand nombre de jeunes.
FCB Escola est aujourd’hui présente à travers 15 Pays formant ainsi plus de 3000 joueurs chaque année selon les principes d’entrainement du grand club, le Barça.
La méthodologie de formation du FC Barcelone a été l’exemple de l’enseignement, le développement, l’excellence et la réussite des joueurs pour tous les clubs de football durant les 20 dernières années.
Les diplômés des écoles professionnelles menacent ; crédit photo Adiac
Dans une déclaration rendue publique le 25 avril à Brazzaville, au cours d’une assemblée générale, tenue à l’Ecole normale supérieure (ENS), la Coordination des diplômés des écoles professionnelles de l’enseignement (CDEPE) exige le recrutement de quelque 13 690 finalistes
La plateforme regroupe en son sein les diplômés des Ecoles normales des instituteurs, de l’ENS, du Collège technique d’enseignement féminin, de l’Institut national de la jeunesse et des sports, de l’Institut supérieur d’éducation physique et sportive. Il s’agit, selon les responsables de la CDEPE, des promotions allant de 1998 à 2014. « Nous exigeons le recrutement de tous les diplômés, soit 13 690, avant le 5 mai 2015, date annoncée par les déclarations précédentes, pour que nos affectations soient effectives avant septembre 2015 », ont-ils réclamé.
Ils exigent également du gouvernement, l’annulation dès cette année de tous les concours directs ou internes d’entrée en ces écoles professionnelles de l’enseignement jusqu’au recrutement du dernier des diplômés. La CDEPE demande que les quotas d’admission aux concours soient désormais établis par les ministères en charge des recrutements (Fonction publique et réforme de l’Etat ; Economie, des finances, du portefeuille public, du plan et de l’intégration), en prévision des postes budgétaires à libérer et non aux ministères en charge de la formation. Pour ces finalistes, les quotas doivent être établis en rapport avec des spécificités professionnelles pour éviter de léser les ayants droit.
« Le cas contraire nous contraindra à des manifestations et cortèges à l’endroit des ministères de l’Economie et des finances, de la Fonction publique, et de l’Enseignement primaire et secondaire, conformément à l’article 16 de la Charte des droits et libertés du 29 mai 1991, issue de la Conférence nationale souveraine. Nos manifestations ne cesseront que si le dernier des diplômés est recruté et affecté », ont-ils menacé, espérant sur l’implication du chef de l’Etat ainsi que du gouvernement.
Rappelons que le problème de recrutement à la Fonction publique se pose avec acuité ces derniers temps. Des dossiers sont bloqués à certains endroits. Des finalistes et décisionnaires de certaines administrations publiques ne cessent de faire de l’agitation au niveau des services du ministère des Finances ou de la Fonction publique. Pour un secteur comme l’éducation, les pouvoirs publics devraient tout faire pour résoudre le problème de recrutement car, actuellement le déficit en personnel enseignant se fait sentir un peu partout. Rien que pour le ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, le déficit est estimé à plus de 15 000 enseignants.
Baptisé Mafouta-Sébastien, le tout premier lycée du huitième arrondissement de Brazzaville a été ouvert le 2 décembre par le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’alphabétisation, Hellot Matson Mampouya.
Il s’agit d’un bâtiment R+1, composé de dix salles de classes dont cinq au rez-de chaussé et cinq autres à l’étage. Ce bâtiment d’une capacité d’accueil de 500 élèves à raison de cinquante par classe, accueille dès ce mercredi les élèves de classes de Seconde et de Première. Ceux des classes terminales débuteront les cours au deuxième trimestre. Le financement de ce lycée dont le coût qui n’a pas été communiqué provient de l’État congolais. Les travaux de construction ont été réalisés par la société MBTP pour une durée de trois mois.
D’après le ministre Hellot Matson Mampouya, ce lycée sera inauguré prochainement après la finition des travaux. La construction de cet établissement vient de régler beaucoup d’obstacles dont celui du transport en commun des élèves de cet arrondissement Madibou vers le lycée Pierre-Savorgnan de Brazza. Il a émis le souhait que cet établissement forme les élites de demain et soit classé parmi les meilleurs en ce qui concerne les résultats scolaires.
Notons que l’ouverture du lycée Mafouta-Sébastien a été également l’occasion pour le ministre de visiter les locaux administratifs, les logements du directeur de l’école primaire et du proviseur du lycée construit dans ce même site du Lycée. Il est doté d’une salle multi-médias bien équipés en ordinateurs connecté à Internet et une bibliothèque en construction. L’outil informatique facilitera les recherches des élèves et servira à l’initiation aux techniques de l’information et de la communication. À côté de celui-ci, l’on trouve un centre prescolaire et une école primaire fonctionelle.
Au terme de la cérémonie, une élève en classe de la Terminale D, à Pierre-Savorgnan de Brazza vivant à Nganga-Lingolo n’a pas caché sa satisfaction : « Je me souciais pour mes études parce qu’il fallait se réveiller tôt pour arriver à Pierre Savorgnan de Brazza. Que le seigneur bénisse le Président de la République et le ministre d’avoir pensé à nous. Cet établissement sera honoré et nous veillerons contre tous les actes de vandalisme pour garder la confiance de nos autorités qui pourraient nourrir d’autres ambitions en faveur de cet établissement ». Une autre a regretté les enseignements de son établissement d’origine Pierre-Savorgnan de Brazza : «J’espère que nous ne serons pas déçus pour les matières scientifiques avec les enseignants qui seront affectés ici à Mafouta-Sébastien».
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