France : Le congolais qui voulait  » kidnapper  » et  » torturer » Macron a été arrêté par les forces de l’ordre

Emmanuel Macron

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Emmanuel Macron
Emmanuel Macron (Photo by BENOIT TESSIER / POOL / AFP)

Un Congolais de 40 ans a menacé de kidnapper et torturer Emmanuel Macron car ce dernier l’aurait « envoûté ».

C’est un message pour le moins étrange qu’a reçu le président de la République française vendredi soir, comme le rapporte La Montagne. Un Congolais de 40 ans habitant Clermont-Ferrand lui a en effet envoyé un courrier faisant part de son intention de le « kidnapper » et de le « torturer ».

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Si l’on aurait pu penser qu’il s’agit d’une nouvelle protestation contre la réforme des retraites qui suscite le débat en France, la raison avancée est bien plus surprenante. L’homme de 40 ans affirme en effet qu’Emmanuel Macron l’aurait « envoûté ».

Recherché par les forces de l’ordre, le Congolais était dans un premier temps introuvable. Jusqu’à ce qu’il appelle samedi matin le commissariat en faisant une nouvelle fois part de ses intentions. Ce qui a permis aux policiers d’arrêter le quadragénaire à son domicile. Tenant des propos incohérents, il a été placé dans un hôpital psychiatrique.

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Congo – Diplomatie : Le Maroc instaure un visa pour les congolais ?

Le passeport congolais

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Le passeport congolais
Un passeport ordinaire congolais ©ICIBRAZZA

Le gouvernement a imposé à compter du 1er novembre, des restrictions de voyage aux ressortissants du Mali, de Guinée-Conakry et du Congo-Brazzaville actuellement exemptés de visa pour entrer en territoire marocain, comme le confirment des sources diplomatiques à Rabat, cités par l’agence EFE .

Ces pays sont parmi les nationalités les plus courantes des migrants qui entrent illégalement en Espagne, bien que des sources déclarent qu’il ne s’agit que d’ « une mesure expérimentale ».

A partir de demain, les voyageurs de ces pays doivent demander une « autorisation de voyage électronique » et le faire avec un minimum de 96 heures avant de se déplacer en utilisant un formulaire téléchargé d’un portail internet : www.acces-maroc.ma.

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La compagnie aérienne Royal Air Maroc, leader du transport aérien en Afrique de l’Ouest, a déjà commencé à mettre en garde ses clients en Afrique subsaharienne de cette nouvelle mesure par une lettre qui les informe de la nouvelle réglementation.

La lettre de RAM précise que les voyageurs de ces pays « doivent obligatoirement soumettre leurs autorisations à l’aéroport au moment du départ (de leurs pays) et à leur arrivée au Maroc ».

L’« Autorisation de voyage électronique » est une formalité que les pays qui reçoivent beaucoup de voyageurs utilisent (comme les États-Unis et le Canada) pour ceux des pays soumis à visa.

Des sources diplomatiques ont expliqué que les voyageurs de ces trois pays en vertu de la nouvelle autorisation doivent indiquer sur le formulaire le but spécifique de leur voyage (affaires, éducation, tourisme, etc.), le tout afin de « permettre une fluidité à l’étape de la frontière ».

Le fait est que les Congolais, les Maliens et les Guinéens font partie des nationalités africaines les plus présentes parmi les migrants qui entrent illégalement sur le territoire espagnol et que le Maroc est leur porte d’entrée vers l’Espagne, soit à bord d’embarcations, soit en forçant le passage des clôtures frontalières avec les enclaves de Ceuta et Melilla, précise EFE.

Avec Le Desk

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Maroc : Pour gagner l’Europe, des congolais vivent dans la forêt

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Maroc : Pour gagner l’Europe, des congolais vivent dans la forêt (Photo d'illustration)
Maroc : Pour gagner l’Europe, des congolais vivent dans la forêt (Photo d’illustration)

Dans les forêts marocaines proches des enclaves espagnoles, des nombreux congolais y campent en attendant l’occasion de gagner l’Europe. Ils y restent parfois des mois. Les nombreux écueils ne font rien pour les dissuader de sortir !

Les deux pieds plâtrés, Pablo avance péniblement en s’appuyant sur ses béquilles. ‘’Je me suis cassé les deux jambes en tentant d’entrer en Espagne’’, explique-t-il, le visage traversé par un rictus de dépit. Mi septembre, ce jeune congolais de 19 ans était parmi les migrants africains qui, a deux reprises, ont lancé des assauts contre le grillage qui sépare le Maroc a l’enclave espagnole de Melila.

Avant de se casser les jambes, Pablo vivait dans la forêt de Finnidec, a 5o km de la ville de Tanger à 300 kilomètres de Rabat, capitale marocaine. ‘’Quand nous entrons dans la forêt, c’est pour participer à des attaques’’, renseigne t-il. Attaque qui signifie ‘’passage en force’’ dans le jargon des migrants : opération au cours de laquelle des migrants, en plusieurs groupes et armés d’outils, foncent sur le grillage frontalier de Melilla ou débarquent sur la rive marocaine pour gagner Ceuta à la nage.

Lorsque les migrants rentrent dans la forêt, c’est avec l’idée de se retrouver très vite de l’autre cote de la Méditerranée. Mais, très souvent, c’est la désillusion qui les attends reconnait Lubaki, un autre congolais. ‘’J’ai mis plus de dix mois dans la forêt, mais je n’ai pas réussi à pénétrer dans l’enclave espagnole’’. Comme Lubaki, ils sont nombreux des congolais, hommes, femmes et enfants qui attendent longtemps dans la brousse sans franchir le territoire espagnol, surveillé jours et nuits par des gardes armés jusqu’aux dents.

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Rien ne les arrête !

Malgré les naufrages et leurs lots de drames, les brimades tous genres, les accidents qu’occasionne l’escalade du grillage frontalier ou encore les agressions, les candidats a l’immigration n’en ont cure de vivre comme des sauvages. ‘’Ils ne vivent pas dans la foret parce qu’ils le veulent, soutient Cheick Mohamed Sylla, membre d’une organisation de défense des droits des migrants, mais par crainte des tracasseries policières car ils sont généralement en situation irrégulière au Maroc’’.

‘’Vivre en ville avec les rafles de police, les rackets du voisinage et surtout les agressions comporte beaucoup des risques’’, renchérit Aimée, une congolaise qui vit a Fès après huit mois passés dans la forêt de Nador sans réussir une attaque. ‘’Je suis sortie juste pour venir me soigner mais, dés que possible, j y retourne’’. Comme Aimée, des nombreux congolais vivent reclus dans ces forêts faute d’alternative dans leur pays..

Misère et conflits armés aux bancs des accusés

La majorité de ces congolais justifie ce choix par la misère. ‘’Chez nous au Congo-Kinshasa, les gens vivotent. C’est difficile de trouver un travail bien rémunéré et la vie y est dure’’, déplore Romain, un ado qui a bravé les dangers pour venir au Maroc. Lino, un ancien enseignant du secondaire est tout aussi défaitiste. ‘’Travaillant a Kinshasa, je ne gagnais que 20 dollars par mois. Un salaire qui ne me permettait pas de m’acheter un pantalon dans une boutique‘’. Alors il est parti!

Les conflits sont aussi l’autre raison qui explique le désespoir de certains congolais ‘’maquisards’’. ‘’J’ai été violée en 2009 lorsque la ville de Rutsuru est tombée aux mains de rebelles. Dégoutée, j’ai pris la route sans trop y réfléchir’’, affirme Preciose, originaire du Nord-Kivu. Sans lendemains prometteurs, ces congolais n’entendent aucunement rentrer chez eux sans avoir forcé le destin. Car voir l’Europe et mourir est désormais leur devise.

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Encadré

Le Royaume s’active!

Pour humaniser la condition de vie des migrants subsahariens au Maroc, le roi Mohamed VI a, début septembre, donné des injonctions fermes au gouvernement marocain pour faire cesser les refoulements et autres tracasseries auxquelles les migrants africains sont confrontés. Par ailleurs, à la suite du rapport du CNDH, conseil national des Droits de l’Homme, le souverain chérifien a ordonné la régularisation de certaines catégories des migrants sans papier. Finis les refoulements intempestifs, les rafles et d’autres violences.

Depuis lors, l’heure est à la solidarité. Au BRA, bureau des refugiés et apatrides, on s’attelle pour délivrer des cartes aux refugiés afin de leur garantir des droits. ‘’Nous saluons vivement ces mesures et remercions sa majesté le roi du Maroc pour sa magnanimité’’, déclare Marcel Amiyeto, secrétaire général de l’ODTI, Organisation démocratique des travailleurs immigrés, syndicat des immigrés. Par ailleurs, du 8 au 9 octobre dernier, le ministère de la Santé, en collaboration avec Onusida, a organisé un atelier de réflexion sur la promotion de la santé des populations migrantes. Ca bouge !

Avec OEILDAFRIQUE

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Fatigué de l’Afrique :Visa en poche,un congolais se rend à l’aéroport à 10h pour un vol prévu à 22h

l’aéroport international Maya -Maya de Brazzaville

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l’aéroport international Maya -Maya de Brazzaville
L’aéroport international Maya -Maya de Brazzaville|©DR

Il faut vraiment être fatigué de son pays pour afficher un tel comportement. Un jeune Congolais qui a pu obtenir un visa d’Italie s’est présenté à l’aéroport de Maya Maya à 10 heures du matin alors que son vol décollait à 22 heures. Il a justifié ce comportement par peur de rater son vol et de continuer à vivre dans un pays sans avenir qu’est le Congo.

Comment peut-on arriver à détester son propre pays à ce point ? Chancel O, un jeune Congolais ayant obtenu au consulat d’Italie à Brazzaville un visa pour se rendre dans ce pays, a étonné plus d’un membre de sa famille et ses proches en se rendant à Maya Maya tôt le matin pour un vol prévu le soir.

« Je ne veux pas de surprise et rater mon vol… Au Congo de Sassou actuellement, tout est possible, donc je préfère être sur place et attendre mon vol, et peu importe la durée de l’attente.Car si j’ai attendu des années, ce ne sont pas des heures qui vont m’empêcher de le faire » confiait-il à sa petite amie à ses côtés.

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Pour Chancel O quitter le Congo était une sorte de délivrance que le visa Italien lui a donnée. Il se vantait déjà de vivre dans un pays où il n’aurait plus jamais des problèmes d’eau, d’électricité, d’internet, de nutrition, bref d’épanouissement dans un meilleur cadre de vie.

Dans son quartier à Ouenzé sur la rue Itoumbi, la majorité des jeunes rêveraient être à la place de Chancel O, quand ils imaginent leur avenir totalement hypothéqué et surtout leurs conditions d’épanouissement inhumaines.

Ses parents vivant en Italie ont pesé de tout leur poids pour leur fils les rejoigne après que celui-ci chaque fois s’est plaint de la vie au Congo.

Même les policiers en poste à Maya Maya ont rigolé en apprenant l’histoire de Chancel O. « Petit, oza na raison na yo, Congo oyo eza lisusu mboka té, gazé na yo chez mindelé » lui a lancé un sergent-chef, alors qu’un sous lieutenant ajoutait « Pétit, ata ba yinaka mboka, pressé ya ko tika yango boyé »

C’est un peu vers 22 heures que l’Airbus A 340 de la compagnie Air France a décollé de Maya Maya en direction de Mfilou avec à son bord Chancel O qui se réjouissait enfin d’avoir dit au revoir au Congo. Petite bible du nouveau testament à la main, Chancel O n’a même pas perdu son temps à contempler à travers le hublot pour la dernière fois la beauté des délestages de Brazzaville.

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France : Un congolais renonce à la dot, sa fiancée s’est achetée une parcelle à 15000 euros à Brazzaville

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©DR

Après trois ans de relation et vie de couple ponctuée par la naissance d’une fille âgée aujourd’hui de deux ans, un homme originaire de Brazzaville, a été obligé de programmer un voyage au Congo où il comptait aller s’acquitter de la dot auprès de sa belle-famille. Sa liste de dot atteignait 10.000 euros et avait enchaîné plusieurs boulots en France pour les réunir sous la pression de sa fiancée qui exigeait d’être honorée.

Selon Sacer Info qui rapporte les faits, la fiancée qui a vécu toute sa vie à Bacongo dans le deuxième arrondissement de Brazzaville exigeait d’être honorée. Au quartier Mbimi de Bacongo, la famille s’était concertée avant de faire parvenir au fiancé via sa famille la liste de la dot évaluée à plus de 6.500.000 frs (10000 euros).

Malgré tout l’amour que le fiancé donnait à Claudine M, cette dernière ne le trouvait pas suffisant jusqu’au point de menacer de quitter le foyer conjugal si la dot ne se faisait pas dans les délais qu’elle avait donné.

Fabrice dit Fabolo pour ses intimes qui est lui originaire du plateau des 15 ans s’était plié en quatre pour réunir les 10000 euros, sans compter qu’il devrait à lui seul supporter les frais des billets d’avion de sa fiancée et sa fille.

Claudine M qui pourtant travaillait à temps partiel jurait d’être au rouge, et ne pouvoir l’aider. Mais un coup de fil venant de Brazzaville va tout bousculer. L’interlocuteur au bout du fil de l’autre côté de Brazzaville n’avait pas su garder sa langue. Il a livré au fiancé le secret jalousement gardé de Claudine M.

Dans la conversation, Fabolo va apprendre que sa fiancée qui jurait être au rouge venait de s’acheter une parcelle à Diata d’une valeur de 15000 euros (10.000.000 frs). Celui qui livrait ce secret n’était entre autre que l’oncle de Claudine qui s’était occupé de l’achat dudit terrain. Un achat effectué à deux semaines de leur arrivée.

Très remonté et se sentant un peu exploité par sa fiancée qui du reste en gardant ce secret prouvait le peu de confiance qu’elle avait en son homme, Fabolo après consultation avec sa famille a décidé de l’annulation du voyage et de la dot.

Il a préféré envoyer son argent à sa famille afin d’acquérir aussi une parcelle. Malgré tout le bruit et les menaces de sa fiancée, Fabolo est resté sur sa décision, estimant même que la séparation lui viendrait bien.

Claudine M sans gêne aucun a quand même trouvé des prétextes pour se défendre et n’a pas toujours quitté son fiancé pour le moment.

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Devrait-on encore payer la dot au Congo ?

La question vaut son pesant d’or, tant la pratique s’est répandue comme une traînée de poudre depuis longtemps au Congo où cette pratique est incontournable dans l’organisation d’un mariage. Dans la société africaine et particulièrement congolaise, sans la dot le mariage n’aurait pas de valeur car il constituerait l’atout majeur pour honorer la famille de la fiancée.

Au fil des années, la pratique de la dot a connu plusieurs revirements selon les traditions et coutumes. Rien ne dit qu’il faut payer une dot pour valider l’union entre deux personnes. Nous pouvons donner des présents sans contraintes, sans liste préalable et sans que la belle famille ne s’attende déjà à recevoir quelque chose pour les honorer. Cela doit se faire librement et sans contrainte de la part du futur marié.

Pourquoi aujourd’hui au Congo la dot est devenue une affaire de famille ? Pourquoi ce caractère commercial aux allures de ventes de nos mères, filles, sœurs, cousines et tantes ? Veut-on nous faire croire que les femmes congolaises seraient supérieures au reste de la junte féminine mondiale au point de les acheter ?

Aujourd’hui, plusieurs personnes n’arrivent pas à contracter les liens sacrés du mariage au Congo-Brazzaville à cause de la dot, d’autres brisent leurs fiançailles parce que le jeune homme n’a pas pu fournir tout ce que les parents ont exigé dans la liste.

Certaines sommes de cette dot atteignent même les 5 à 6 millions de nos francs. C’est dommage, quand on sait que Dieu nous a donné cette bénédiction gratuitement. Personne ne lui a donné quoi que ce soit en retour.

Au lieu d’aider les jeunes fiancés à construire leur avenir, la dot, serait soit disant une manière d’honorer la belle famille et de prouver aux parents que l’on aime sa future épouse. Drôle de manière quand on sait que le véritable amour est immatériel.

Nous reconnaissons le mariage familial, il faut bien comprendre notre logique. Nous ne disons pas que le mariage au niveau de la famille ne doit pas être célébré au détriment de la Mairie ou de « l’église », loin de là. Le mariage familial est le plus important aux yeux de Dieu, car c’est au père de marier sa fille. Mais étant donné que ce dernier ne procure aucune garantie et ne donne pas lieu aux actes d’état civil, la loi ne reconnaît donc juste que le mariage à l’état civil, et ce n’est pas un péché d’aller se marier à la Mairie. D’ailleurs, ce n’est que deux papiers à signer : l’acte de mariage et le livret de famille.

Alors nous réfutons cette autre forme de l’esclavagisme autour de cette pratique. Nous refusons la vente de la femme au Congo, et nous pensons que les autorités compétentes devraient simplement encadrer cette tradition par une loi pour éviter de déformer le vrai sens même de la dot et son caractère originel.

D’ailleurs, la définition du Petit Larousse 2004, corrobore ce que nous soutenons. Il définit la dot comme étant : « Biens qu’une femme apporte en se mariant. Biens donnés par un tiers et par contrat de mariage à l’un ou à l’autre des époux ». Cette définition est très claire, ce n’est donc pas le patrimoine du nouveau ménage qui doit être soustrait, mais plutôt les biens des deux familles qui doivent apporter assistance au nouveau couple afin de les aider à démarrer une nouvelle vie.

La dot est une pratique qui remonte à l’Antiquité, particulièrement au Moyen-Orient où l’on observe déjà chez les Israélites, une sorte de compensation quand une fille juive était violée. Car « connaître » une fille juive avant le mariage était un signe de déshonneur non seulement pour la fille mais également pour toute la famille. Aller en mariage tout en étant vierge était un précepte très important dans la société israélienne.

La dot devrait donc servir en notre langage actuel, de dédommagement moral en vue de réparer le préjudice causé, c’est-à-dire, du viol. On peut avoir un exemple dans la bible Genèse 34 où l’histoire, nous enseigne que Dina, fille de Jacob fut violée par Sichem. Malgré le fait que le jeune homme ai voulu payer la dot, cela ne pu calmer la colère de ses frères. Ces derniers tuèrent toute sa famille et refusèrent de recevoir la dot car ils considéraient cet acte impropre.

Cette tradition mérite d’être perpétuée certes, mais elle doit être encadrée juridiquement.

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Un congolais a été condamné à 7 ans de prison pour avoir transmis le VIH à 3 femmes

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Un réfugié congolais a été condamné à sept ans de prison et risque la déportation pour avoir eu des relations sexuelles non protégées avec une dizaine de femmes entre 2007 et 2015. Trois d’entre elles ont contracté le VIH.

En effet, Jean-Claude Tshibamba Muntu, 55 ans, a appris qu’il était séropositif en 2001. Malgré son état, il rencontrait des femmes sur des sites de rencontre ou dans des bars et avait des relations sexuelles non protégées avec elles.

«Il leur disait qu’il était clean et qu’il était abstinent depuis un certain temps», raconte la procureure de la Couronne Me Ann Marie Prince.

Tshibamba Muntu a plaidé coupable mercredi à neuf accusations d’agressions sexuelles et il a été condamné à sept ans de pénitencier.

Une douzaine de plaintes

 Au fil des ans, il a eu des relations avec des femmes d’un peu partout en province, mais principalement dans la région de Québec, au Centre-du-Québec et en Estrie.

Une femme de Victoriaville a finalement dévoilé au grand jour le stratagème. En visitant le profil Facebook de l’accusé, elle a appris qu’il avait déjà une autre conjointe.

Lorsque cette dernière l’a informée qu’il était porteur du VIH, elle a porté plainte. Pas moins de 12 autres femmes ont également porté plainte par la suite contre l’homme.

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« Protégez-vous! »

Deux des victimes de Jean-Claude Tshibamba Muntu ont accepté d’accorder une entrevue au Journal sous le couvert de l’anonymat.

Elles ont décrit leur agresseur comme un homme intense qui savait plaire aux femmes. Ces femmes sont littéralement tombées dans le panneau de leur charmeur.

«Je l’ai rencontré dans un bar lors d’une rare sortie avec ma fille. C’était un homme intense qui avait réussi à me faire sentir comme si j’étais la plus belle. Comme je ne suis pas de la génération des condoms, nous avions eu des relations sans. Ça ne m’a même pas effleuré l’esprit qu’il puisse avoir cette maladie», explique une victime de la région de Québec.

Cette dernière souhaite donner un précieux conseil aux gens qui ont des relations sexuelles avec des partenaires qu’elles connaissent peu.

«Protégez-vous! Ce n’est pas écrit dans leur front qu’ils sont malades. Depuis ce temps, je meurs à petit feu, je dois prendre des médicaments qui affectent mon foie, mon cœur et mes reins. Je vis sur du temps emprunté», ajoute-t-elle, précisant qu’elle doit maintenant limiter ses contacts avec ses enfants et petits-enfants lorsqu’ils sont enrhumés.

Renié par ses proches

Père de quatre enfants, Tshibamba Muntu s’est réfugié au Canada en 1989 après que son père a été assassiné au Congo pour des raisons politiques.

Depuis sa mise en accusation, la majorité de ses proches lui ont tourné le dos.

En plus de sa peine de prison, il est inscrit au registre des délinquants dangereux à perpétuité.

© Journaldemontreal

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Paris : en pleine rue, des Congolais se donnent en spectacle pour 100 euros

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Un couple formé par deux congolais de Brazzaville s’est violemment disputé à la gare de Villeneuve St Georges attirant l’attention des voyageurs. Les échanges de parole en langue vernaculaire Lari portait sur le récent paiement par la Caf de l’allocation pour la rentrée scolaire.

Les deux Congolais venaient de descendre du RER D en direction de Melun et attendaient la correspondance pour Grigny où se trouve leur domicile. Les femmes d’origine africaine sont souvent accusées de s’accaparer l’argent versé par la Caisse d’Allocations Familiales (Caf ) au profit de leurs enfants. C’est le cas de certaines Congolaises qui détournent l’argent à des fins personnelles.

Selon des témoins, les deux Congolais en question ont commencé leur dispute depuis la Gare du Nord. L’homme n’a pas apprécié que sa femme refuse de lui remettre 100 euros pour passer quelques moments avec ses amis dans un restaurant congolais bien connu du 10eme.

Furieux, l’homme a rappelé, en langue Lari, à sa femme de nombreux transferts de cet argent de la Caf à sa famille au pays. Un reproche que celle-ci a mal pris et s’est lancée dans diverses injures contre son mari, traité parfois de paresseux et soûlard.

Un vieux Congolais a tenté une médiation pour faire revenir à la raison le couple qui a quatre enfants. La Caf verse comme allocation de rentrée scolaire 363 euros par enfant âgé entre 6 et 10 ans, 383 euros entre 11 et 14 ans. L’homme a menacé de brûler ou vendre tout nouveau vêtement que sa femme s’achèterait avec cet argent.

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FRANCE : UN CONGOLAIS ORIGINAIRE DE POINTE NOIRE, ABATTU D’UNE BALLE EN PLEINE TÊTE À PARIS

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Une balle de 7.65 reçue à l’arrière du crâne. Pratiquée ce lundi matin, l’autopsie du jeune homme de 18 ans abattu vendredi après-midi au Petit-Colombes confirme qu’un unique projectile l’a atteint à la tête. Si c’est l’arrière du crâne qui a été touché, c’est parce que la victime courait pour échapper à ses poursuivants, deux ou trois jeunes hommes selon le scénario que reconstitue le Service départemental de police judiciaire (SDPJ 92) en recoupant les témoignages. Trois jours après ce qui a tout l’air d’un règlement de comptes, les enquêteurs s’interrogent sur la cible visée.

Ce garçon de 18 ans était-il vraiment celui que le ou les tireur(s) voulaient éliminer ? Originaire de Pointe-Noire au Congo, et non de Pointe-à-Pitre en Guadeloupe comme nous l’avons écrit par erreur dans notre édition de lundi, la victime demeurait à Angers (Maine-et-Loire), n’était plus scolarisée et cherchait du travail, selon certains témoignages recueillis par la police. C’est pour cette raison que le jeune homme aurait gagné la région parisienne où il venait d’arriver. Il était hébergé par un copain dans le Val-de-Marne. Et jusqu’à présent, rien n’explique pourquoi il s’est retrouvé à Colombes, dans le quartier des Cotes-d’Auty où le business du shit engendre la guerre de territoires et ses règlements de compte.

 © Leparisien

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Au Maroc, un Congolais « puni » pour avoir tenu la main de sa copine au Tram

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Attention, se tenir par la main dans un tramway au mois de ramadan n’est guère tolérable. La preuve en images et c’est un Congolais qui en a fait les frais.Un ressortissant congolais a été obligé ce mercredi de payer une amende pour avoir tenu par la main sa copine marocaine en plein jour dans un tramway. Le procès verbal ne mentionne pas si c’est Casablanca ou Rabat qui a été le thêatre de cette mascarade.

Dans la case observations du procès verbal, le contrôleur a mentionne, un « outrage aux bonnes moeurs, et non respect de la loi » Incroyable mais vrai…

 © h24info

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