Congo – Coronavirus : Pas de taxi pour un ressortissant chinois à Pointe-Noire

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Vue du boulevard du Général de Gaulle à Pointe-Noire au Congo ©DR

Un Chinois a été surpris sur une route du centre-ville de Pointe-Noire le matin du mercredi 18 mars 2020, par le mauvais comportement de certains chauffeurs de transport public. 

Un taxi passait, il a fait signe au chauffeur d’arrêter, mais celui-ci a poursuivi son chemin. Même demande et même refus quand est arrivé un autre taxi, puis un troisième et un quatrième. 

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Finalement, personne n’ayant accepté de l’embarquer, l’infortuné s’est décidé de faire le piéton jusqu’à sa destination. Comme quoi il nous faut bien sensibiliser sur le coronavirus Covid-19!

Avec LSA 

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Congo – Mayoko : L’or du village Lehala intéresse bien les chinois

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Illustration ©DR

Comme des masques qui tombent, on commence à comprendre l’engouement des Chinois pour le Congo-Brazzaville. Les fréquences de leur présence dans le département du Niari (sud) attestent de la ruée vers l’or comme en témoigne le lancement cette semaine des travaux de prospection, de recherche et d’exploitation des minerais du village Lehala, à 20 km de la ville de Mayoko, par la société Potamon-Gold Limited-Congo.

Le lancement des travaux a eu lieu au village Lehala en présence du représentant de la société chinoise, Alfred Martial Zabana et du secrétaire général de la sous-préfecture de Mayoko, Marcel Mbitsi.

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Dans la ville de Mayoko et ses environs, ils seraient près de mille, sur une population de plus de six mille habitants, à vivre de l’orpaillage.

Les autorités locales estiment qu’il existe plusieurs sites d’extraction artisanale dans la contrée, dont sont issues entre une et deux tonnes d’or chaque mois.

Avec Germaine MAPANGA / Les Echos du Congo Brazzaville

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Congo : Des chinois à la chasse aux mines d’or dans le Niari

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(photo d’illustration)

La soif d’or de la Chine, premier consommateur de la planète, ne s’apaise pas. Elle lorgne désormais les mines d’or du département du Niari (sud).

Au total 4 opérateurs sont depuis le début de cette semaine dans le Niari pour prospecter les sites de Bikongo, Ibabanga et Mpoukou du bassin de la Louessé.

Cette délégation chinoise est accompagnée de quelques experts du Ministère congolais des Mines.

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Dans le bassin de la Louessé, des indices d’or y existent depuis des millénaires, qui ont donné lieu jusque-là, à une simple exploitation artisanale.

Bertrand BOUKAKA

Les Echos du Congo Brazzaville

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Non, les Chinois ne mettent pas de plastique dans votre riz

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Selon la BBC et The Guardian, deux médias britanniques, du «riz en plastique» chinois aurait été trouvé au Nigeria. Les médias locaux dans ce pays parlent plutôt de riz fait avec des patates douces et de la résine. La BBC met même le mot «riz en plastique» entre guillemets, et affirme que des tests seront menés pour déterminer la nature du faux riz. Même avec ces nouvelles informations, le propos de l’article qui suit tient la route. 1) On parle de faux riz, mais pas de granules de plastique comme dans la vidéo. 2) Cette situation affecte le Nigeria et non le Canada. Il semble que la flambée de prix du riz au Nigeria a rendu profitable la création de faux riz – ce n’est pas le cas dans d’autres pays. 3) On ne peut pas détecter du faux riz en le faisant flotter; le vrai riz flotte parfois lui aussi, tel que démontré.

À en croire les réseaux sociaux, les compagnies alimentaires cherchent toujours à trouver de nouvelles manières de nous faire bouffer du plastique.

En plus d’une capture d’écran d’une publication Facebook (toujours une bonne source d’information) qui explique que des Chinois mettent du faux riz en plastique des le riz qu’ils vendent aux consommateurs, on voit une vidéo où on voit des hommes mettre du plastique dans une machine. À l’autre bout de la machine – horreur! – il en sort du riz! Comme dit la publication, «C’est grave, ces bandits vont nous tuer!»

Cette histoire n’a rien de nouveau. Le site Snopes a répertorié cette rumeur en 2011.

Et, heureusement, il n’y a absolument aucune raison de croire que ce soit vrai.

Commençons par la vidéo. La machine dans la vidéo ressemble en tous points à cette machine, qui sert à produire des granules de plastique recyclé:

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Un Chinois passe six ans dans un cybercafé

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Il s’appelle Li Meng. Il est Chinois. Et il vit depuis six ans dans un cybercafé.
Il s’appelle Li Meng. Il est Chinois. Et il vit depuis six ans dans un cybercafé.

Il s’appelle Li Meng. Il est Chinois. Et il vit depuis six ans dans un cybercafé.

L’histoire est rapportée par le Beijing Times, dont l’un des journalistes est allé à la rencontre de Li. Ce dernier a passé ces six dernières années dans un cybercafé de Changchun, dans le nord-est de la Chine, ne quittant son ordinateur que pour aller s’acheter à manger ou prendre une douche.

Le journaliste qui lui a rendu visite décrit sa rencontre avec cet Internet-addict: « Tout le temps que je lui parlais, son regard était verrouillé sur l’écran de son ordinateur. A côté de lui, un sac en plastique contenant son dîner. Il m’a alors expliqué qu’il avait un revenu mensuel de 322 dollars, dont 80 étaient versés au cybercafé tous les mois » en guise d’ »hébergement ».

Complètement décalé

Le journaliste décrit Li Meng comme « un jeune à lunettes qui n’a manifestement pas été dans un salon de coiffure depuis longtemps ».

Un client du cybercafé raconte: « Il vient généralement la nuit pour jouer en réseau, somnole pendant la journée et finit par dormir ici. De temps en temps, il est absent pour aller se laver. » Le gérant, lui, avait au début à peine remarqué Li Meng tant celui-ci fait preuve de discrétion.

Après avoir été relatée par le Beijing Times, cette histoire a été largement reprise dans les médias du pays. Car en Chine, même si cette durée de six ans est ici extrême, le phénomène des jeunes passant des nuits entières à jouer dans les cybercafés est monnaie courante. En attendant, sans prendre trop de risques, on peut affirmer que Li doit être devant son PC à l’heure qu’il est.

 HuffPost

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