Bouenza : Des échauffourées à Nkayi après une bavure policière

 [GARD align=« center »]

Interpellée par la gendarmerie, sur le port du masque, le 28 septembre, en fin d’après-midi, passée à tabac, puis libérée le même jour à vingt heures, Merveille Bazonzela, une jeune fille d’une vingtaine d’années d’âge est morte à son domicile à Nkayi, chef-lieu du département de la Bouenza.

Dans la matinée du 29 du même mois, la population s’est indignée en écoutant la nouvelle du décès. Des actes de vandalisme s’en sont suivis: pillage de quelques boutiques avant que la totalité de celles-ci ne ferment, tout comme d’autres établissements par mesure de prudence. Le commissariat de Muanato, premier arrondissement de la ville, a été incendié.

« La situation est maintenant sous contrôle », indiquent certaines personnes. La force publique s’est, en effet, employée à rétablir l’ordre dans la ville sucrière, dont l’atmosphère silencieuse ressemble à une ville morte. Pour l’heure, les jeunes de Nkayi ont résolu de ne plus jamais porter le masque.

 [GARD align=« center »]

En rappel, le 17 juin, le haut-commandement de la force publique et la supervision de l’opération ‘’Mobikisi’’, chargée de faire respecter les mesures barrières contre la Covid-19, interpellaient les éléments sur le terrain sur l’impérieux devoir de respecter les citoyens, c’est-à-dire de s’interdire de toute atteinte à leur intégrité physique et à leur dignité mais plutôt sensibiliser et conseiller le public de façon pédagogique.

Rominique Makaya 

 [GARD align=« center »]

Congo – Bouenza : le couvercle du téléphone portable utilisé comme cuillère

Bouenza : le couvercle du téléphone portable utilisé comme cuillère

[GARD align=« center »]

Bouenza : le couvercle du téléphone portable utilisé comme cuillère
Bouenza : le couvercle du téléphone portable utilisé comme cuillère

Le phénomène s’observe de plus en plus dans le département en général et dans le district de Madingou en particulier, où la partie qui recouvre la surface arrière du téléphone, sert à manger. Une pratique qui peut s’avérer dangereuse pour la santé, d’après certaines personnes. 

Selon des témoignages recueillis dans la commune urbaine de Bouansa, c’est depuis l’année dernière que le phénomène est constaté surtout dans les veillées mortuaires. «Quand il y a des veillées, les familles reçoivent beaucoup de gens. Devant l’insuffisance des couverts, ceux-ci ont souvent recours à d’autres moyens pour manger. Avant, on utilisait les feuilles de manguier ou de manioc, une pratique qu’on appelle ici le kisundi», a expliqué un jeune de la localité.

Mais à la place du kisundi, une pratique qu’on qualifierait de «bio», les gens ont trouvé, depuis un certain temps, un autre palliatif : le couvercle du téléphone portable comme cuillère, une pratique qui tend à se répandre dans le département de la Bouenza, particulièrement dans le district de Madingou. Un habitant de Bouansa a émis ses inquiétudes:

[GARD align=« center »]

«Cette pratique tend à devenir courante. Les gens préfèrent maintenant utiliser le couvercle de leur téléphone comme cuillère, je crains que cela leur cause de graves problèmes de santé à la longue». Il a aussi relevé l’entêtement de la population à recourir à cette pratique qu’il a qualifiée de dangereuse. «Je trouve cette méthode déplaisante. Quand on parle de ce que cela peut représenter comme danger à ceux qui l’utilisent, ils le prennent mal. Il faut les conscientiser par les médias. Peut-être qu’à partir de là, ils comprendront que cette pratique n’est pas bonne», a-t-il ajouté.

Interrogé sur la question, un médecin ayant requis l’anonymat a estimé qu’il y a lieu de s’inquiéter. «Le téléphone portable émet des ondes électromagnétiques. Les études ont démontré que le téléphone portable peut avoir des effets négatifs sur la santé de l’homme et causer des cancers, des tumeurs, des lésions et autres», a-t-il dit. Par ailleurs, le couvercle du téléphone, souvent fait en matière plastique, est directement en contact avec la batterie qui contient des éléments toxiques, donc il est dangereux pour la santé.

Lucie Prisca Condhet N’Zinga

[GARD align=« center »]

Industrie : bientôt l’inauguration de Dangote Cement Congo

[GARD align=« center »]

La cimenterie Dangote, au sud du Congo

Située à Mfila, un village du district de Yamba dans le département de la Bouenza, la cimenterie Dangote sera officiellement mise en service dans les tout prochains jours. Elle dispose d’une capacité de production installée de 1 500 000 tonnes par an.

Le projet d’un coût estimé à plus de 139 milliards de francs CFA devrait permettre, dans sa phase opérationnelle, de créer quelque 650 emplois directs et plusieurs autres indirects au profit des jeunes congolais. Depuis plusieurs mois, la production de l’usine inonde le marché local.

Dangote Cement Congo est une filiale du groupe éponyme appartenant à Aliko Dangote, homme d’affaires nigérian. Ce dernier possède plusieurs cimenteries en Afrique, notamment au Cameroun, au Mozambique, au Sénégal, en Afrique du Sud, en Ethiopie et en Zambie.

La cimenterie de Yamba a connu un retard consécutif aux travaux de construction du pont sur la rivière Niari? au niveau de l’axe routier Bouansa-Mouyondzi. L’ancien pont, d’une capacité de 25 tonnes, ne pouvait pas accueillir des engins de grand tonnage. Il a fallu attendre l’érection du nouvel ouvrage afin de faciliter l’acheminement des matériaux sur le site du chantier.  

Avec cette usine, la plus importante en terme de capacité de production, le Congo pourra devenir l’un des exportateurs du ciment en Afrique centrale. A côté de celle-ci, se greffent d’autres dont les produits couvrent partiellement les besoins nationaux estimés à environ 2 millions de tonnes par an.

[GARD align=« center »]

Il s’agit de la cimenterie de Hinda dans le Kouilou, inaugurée en 2016, dotée d’une production annuelle de 500 000 tonnes extensible à 1 000 000. Filiale de la société marocaine Ciment d’Afrique, elle représente un investissement de 35 milliards de francs CFA.

Il y a également l’usine Forspak (400 000 tonnes) à Dolisie, dans le Niari, et celle de la Société nouvelle des ciments du Congo à Loutété, dans la Bouenza, dont la production dépasserait actuellement 300 000 tonnes par an. Ces deux unités industrielles comptent plus de 550 employés congolais et chinois.

L’entrée en production de ces différentes usines a entraîné la baisse du prix du sac de ciment sur le marché national en général et à Brazzaville en particulier où il est passé de 13 000 francs CFA en 2012 à 4000 francs CFA en 2017.

Par ailleurs, une autre usine Diamond Cement, basée dans le Pool, sera mise en service dans les prochains mois. Elle viendra ainsi conforter la volonté des autorités congolaises de doter le pays de plusieurs industries de ciment et de réduire le coût des matériaux de construction.

Notons qu’entre 2004 et 2016, le gouvernement congolais a développé un vaste programme de construction des infrastructures de base qui a nécessité l’importation des quantités importantes de ciment.     

Christian Brice Elion
[GARD align=« center »]

Congo : Le chef d’état-major ordonne la levée des barrages dans le Pool et la Bouenza

 [GARD align=« center »]

Le Chef d’état-major général (CEMG) des Forces Armées Congolaises (FAC), le général de division Guy Blanchard Okoï.

Le général de division Guy Blanchard Okoî, chef d’état-major général des forces armées congolaises (FAC) a instruit et ordonné tout le commandement de la Force Publique, en particulier les responsables des éléments en poste sur l’axe routier YIE-Loutété, Brazzaville-Kinkala et Mindouli (dans les départements de la Bouenza et le Pool), de lever systématiquement et sans conditions tous les barrages qu’ils ont érigé tout le long de ces routes, afin de faciliter le transport et le déplacement des paisibles populations.

Le chef d’état-major général des forces armées congolaises a également fustigé le comportement anodin de certains éléments de la Force Publique qui procèdent au racket de cesser les pratiques de rançonner les usagers.

L’objectif est de tenter de débloquer la crise née de l’attaque présumée sur Brazzaville le 4 avril dernier, attaque attribuée par les autorités au pasteur révérend Ntoumi, toujours sous le coup d’un mandat d’arrêt.

Dans le département du Pool, il y a 85 000 déplacés régulièrement recensés par les Nations Unis.

 [GARD align=« center »]

Chaque jour ou presque, les congolais qui dénoncent une répression à huis clos dans plusieurs districts de cette région, se demandent à quand la fin de cette crise née, en 2016, au lendemain de la réélection du président Denis Sassou-Nguesso.

Une ligne de chemin fer coupée, des écoles fermées, des villages désertés, c’est le tableau d’une vie au ralenti que l’OCDH a dressé récemment dans son rapport.

Le département du Pool contient 13 districts. Il y a 6 districts qui sont en détresse, voire dans le chaos, selon le député de Kinkala, Brice-Parfait Kolélas.

L’armée congolaise qui est en mission dans ce département depuis plus d’un an affirme avoir bombardé ce qu’elle qualifie de «centres de commandement des terroristes » menés par l’ancien chef rebelle, le Pasteur Ntoumi.

Germaine Mapanga
Avec lesechos

[GARD align=« center »]

Congo – Miss indépendance 2016 : Emmanuelle Goma, la plus belle de la Bouenza

Miss indépendance 2016 : Emmanuelle Goma

[GARD align= »center »]

Agée de 20 ans, 1,70m pour 60 kg, mademoiselle Emmanuelle Goma, ressortissante du district de Mabombo, a été élue miss indépendance 2016 à l’issue d’un concours âprement disputé entre dix-huit candidates dans le majestueux chapitô dressé à l’entrée du stade omnisport de Madingou.

La soirée a été placée sous le patronage de la première dame du Congo, Antoinette Sassou N’Guesso, marraine de la municipalisation accélérée de ce département et marraine de l’événement, en présence de quelques membres du gouvernement et des nombreux invités. Elle a tenu toutes ses promesses tant dans sa qualité que de la manière dont elle a été organisée par le comité d’organisation de l’élection Miss indépendance présidé par Ferréol Constant Patrick Gassakys, président de l’association Lumières d’Afriques.

Comme à Ouesso dans la Sangha, cette soirée a connu des tirs des Feux d’artifices, ouvrant en même temps la célébration de ce qu’on appelait « Les trois glorieuses », c’est-à-dire les 13, 14 et 15 août.

Au total, dix-huit candidates toutes originaires du département de la Bouenza, choisies selon les critères définis par le comité d’organisation, présidé par Ferréol Constant Patrick Gassakys, président de l’association Lumières d’Afriques, ont pris part à cette élection.

À l’issue de ces cinq premiers passages, six candidates remplissant quelques critères définis par le comité d’organisation, présidé par Ferréol Constant Patrick Gassakys, président de l’association Lumières d’Afriques, dont la beauté physique a été retenue sur les dix-huit. Ainsi, la dernière partie de la compétition a tablé sur la beauté intellectuelle. C’est elle qui a arbitré les postulantes. Cette dure épreuve de s’exprimer librement et clairement devant le public a permis au finish au jury constitué de 7 membres et présidé par Michel Mongo, secrétaire général de la Fondation Congo assistance (FCA) de choisir la miss et les autres lauréates.

Résultats du concours

La dixième édition de l’élection Miss indépendance a donné les résultats suivants : miss indépendance 2016, mademoiselle Emmanuelle Goma, 20 ans, 1,70m pour 60 kg, élève en terminale A, à l’école Notre Dame de Rosaire, ressortissante du district de Mabombo ; première dauphine, Jeanne Alice Makaya, 19 ans, 1,82m, 54 kg, étudiante, ressortissante de Mouyondzi ;  deuxième dauphine, Paule Ndzouanda, 18 ans, 1,72m, 56kg, ressortissante du district de Yamba ; miss élégance, Godève Bouesso, 19 ans, ressortissante de Madingou ; miss charme, Jessy Mabiala, 24 ans, ressortissante de Mouyondzi ; miss fair-play, Denicia Moundongo, 18 ans, 1,68m, ressortissante de Loutété.

« C’est une heureuse surprise. Je ne m’attendais pas à ça. Je remercie le comité Miss indépendance et la marraine Antoinette Sassou N’Guesso. J’aimerais aider mes jeunes frères qui font le métier d’agriculture avec cœur, honneur et fierté et les encourager dans ce domaine », a déclaré la miss indépendance 2016 à l’issue de son sacre.

[GARD align= »center »]

Congo : Washington réitère son soutien à Brazzaville

Stephanie Sullivan et Sassou

[GARD align= »center »]

C’est à Madingou, dans le département de la Bouenza que les festivités du 56e anniversaire de l’indépendance de la République du Congo, ce lundi 15 août 2016, se sont déroulées. Une célébration qui a connu la participation de certains chefs d‘État africains.

Le président congolais, Denis Sassou Nguesso a été honoré lundi de la présence de ses pairs africains à la célébration du 56e anniversaire de l’indépendance de du Congo. En effet, les présidents Alpha Condé de la Guinée, Patrice Talon du Bénin, Obiang Nguema de la Guinée équatoriale, Faustin Touadéra de la République centrafricaine et Hage Geingob de la Namibie étaient présents aux côtés de Sassou Nguesso. Alassane Ouattara de la Côte d’ivoire s’était fait représenter par le président de l’Assemblée nationale Guillaume Soro.

A l’occasion de cette célébration, les Etats-Unis ont adressé un message à Denis Sassou Nguesso. Dans un courrier, le Département d‘État américain a exprimé les meilleurs vœux du président et du peuple américain à la République du Congo. Les États-Unis ont réaffirmé leur volonté « de continuer le partenariat avec le Congo dans la défense et la sécurité régionale, la protection de l’environnement ainsi que la santé et le bonheur de tous les Congolais ».

Indépendant de la France depuis 1960, la République du Congo a connu des années de guerre civile avant une stabilité.

L’année dernière, le projet d’une nouvelle Constitution permettant la suppression de la limite d‘âge et le nombre de mandats adopté par voie référendaire en octobre 2015, avait provoqué de nouvelles violences dans le pays. Des affrontements avaient eu lieu à la suite du référendum, ayant provoqué la mort d’opposants.

En mars 2016, Denis Sassou Nguesso a réussi à se faire réélire pour un troisième mandat. Une réélection contestée par les deux principaux regroupements de l’opposition, l’IDC-FROCAD qui voyaient plutôt les candidats Guy Parfait Kolelas et le général Mokoko au second tour.

[GARD align= »center »]

 

De nouvelles routes bitumées améliorent la vie des populations dans la Bouenza au Congo-Brazzaville

[GARD align= »center »]

Le Congo-Brazzaville fête ce lundi 15 août le 56e anniversaire de son indépendance. A cette occasion, le gouvernement a organisé les festivités à Madingou dans le sud où de nombreuses infrastructures ont été construites. Les populations apprécient ces ouvrages qui améliorent leurs conditions de vie.

Les populations de la Bouenza ont, dans leur majorité salué, ce désenclavement. Des infrastructures construites à l’occasion de la célébration tournante de la fête d’indépendance, et qui assurent aujourd’hui la fluidité des transports entre les différentes villes de la Bouenza et du reste du Congo.

Selon les usagers de la route, il ne faut plus que 5 heures de route pour, par exemple, rallier Mouyondzi, dans la Bouenza, à Pointe-Noire. « Avant, il fallait compter des jours, avec une route incertain », témoigne un dignitaire de Yamba.

Aujourd’hui, les villes de Nkayi et de Madingou ne sont plus rapprochées que d’un quart d’heure de route. Finies les tracasseries dues au mauvais état de la route. « Avec ma moto Djakarta, je ne fais que 28 minutes pour venir travailler à Madingou. Je vis à Nkayi avec ma famille. Les deux villes sont comme deux quartiers d’une grande agglomération », indique un agent des douanes.

Pour le préfet de la Bouenza, Célestin Tombet Kendet, les routes bitumées contribuent à améliorer des conditions de vie des populations de son département. Madingou, la capitale préfectorale, bénéficie de 27 kilomètres des voiries urbaines et une centaine de luminaires pour embellir et éclairer la ville. Les bâtiments officiels sont en cours de construction pour abriter les services administratifs.

Ces travaux ont coûté 90 milliards de francs CFA sur les 500 milliards prévus pour la municipalisation accélérée de la Bouenza. Le président Denis Sassou N’Guesso, inaugurant tous ces ouvrages, a reconnu les difficultés financières qui commandent à travailler par paliers. « La municipalisation est un processus, le travail va se poursuivre », a rassuré Jean Jacques Bouya, ministre en charge des grands travaux du Congo.

Beaucoup de choses restent à faire, indique l’évêque catholique de la Bouenza, Mgr Daniel Mizonzo. Pasteur en perpétuelle tournée dans le département, Mgr Mizonzo exhorte le gouvernement à poursuivre ces efforts de construction de routes, car beaucoup de localités sont encore enclavées.

La Bouenza est un département à vocation agricole. Le manioc, le foufou, l’arachide, l’igname le haricot ou la banane, poussent même sur du roc, affirment les agriculteurs, avec ironie. Avec la route, la commercialisation de ces produits agricoles est assurée. Les paysans se sont engagés à augmenter leur production.

© Voaafrique

[GARD align= »center »]

Congo : 450 milliards FCFA pour la municipalisation accélérée de la Bouenza

[GARD align= »center »]

Le président congolais, Dénis Sassou Nguesso, a lancé officiellement, mercredi à Madingou
Le président congolais, Dénis Sassou Nguesso, a lancé officiellement, mercredi à Madingou

Le président congolais, Dénis Sassou Nguesso, a lancé officiellement, mercredi à Madingou, chef-lieu du département de la Bouenza, au sud du pays, les travaux de la municipalisation accélérée dudit département, pour un coût prévu à 450 milliards de F CFA.

D’un coût prévisionnel pluriannuel de 450 milliards F CFA, les travaux à exécutés concernent premièrement, la réalisation à Madingou, des projets dits de premiers périmètre, indispensable pour les festivités de la fête nationale de l’indépendance, le 15 aout prochain.

Au nombre de ces projets, figure la construction et l’équipement du palais présidentiel, des villas d’hôtes et du boulevard devant abriter le défilé civile et militaire du 15 août ; l’installation d’un nouveau système d’adduction d’eau potable ; l’aménagement et le bitumage de 26 km des voiries urbaines.

La modernisation et l’extension du réseau électrique ; la construction des logements sociaux, d’une gare routière, d’un stade municipal et d’un marché moderne, sont autant d’autres projets qui seront réalisés au cours de ce processus.

Par ailleurs, les 11 sous-préfectures et les deux communautés urbaines de la Bouenza bénéficieront par la suite des infrastructures socio-économiques de développement comme écoles, collèges, dispensaires, marchés et commissariat de police.

Lancée en 2004, la municipalisation accélérée a pour objectif d’équiper et de moderniser les départements du pays afin de dynamiser leur économie et d’améliorer les conditions de vie des populations.

En dix ans (2004-2014), à titre indicatif, 200 km de voiries urbaines, 42 hôtels de préfecture, de sous-préfecture et de ville, et environ 35 autres bâtiments publics, 349 poste de transformations, 673 km de ligne moyenne tension, 746 km de lignes à basse tension, 13 usines d’eaux potables et 320 km de réseau d’eau ont été réalisés dans le cadre de cette politique.

[GARD align= »center »]