Gabon : la première dame, Sylvia Bongo, s’exprime pour la première fois depuis l’hospitalisation du président Ali Bongo

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©DR

Elle s’était astreinte au silence depuis l’hospitalisation de son époux le 24 octobre dernier à Riyad en Arabie Saoudite. Par un tweet diffusé ce matin, la première dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba, s’est exprimée pour la première fois depuis cet événement.

« Un grand merci pour vos nombreuses prières et messages de soutien. Le Président Ali bongo Ondimba et moi-même sommes particulièrement touchés par toutes ces marques d’affection », a tweeté ce matin Mme Bongo, que l’on sait très assidue sur ce réseau social. Son message est accompagné d’une photo évocatrice, montrant les mains enlacées du président et de la première dame.

Le timing de ce tweet n’est probablement pas anodin. En effet, depuis le début de la semaine, de nombreuses sources, à la fois médicales et diplomatiques, ont indiqué que « ces derniers jours, l’état de santé du président gabonais s'(était) très nettement amélioré. »

Avec LaLibreville

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Congo : l’Arabie saoudite prête à investir dans le pétrole et l’agriculture

Le président congolais Denis Sassou-Nguesso, en visite en Arabie saoudite, et le roi d'Arabie saoudite Salman Bin Abdelaziz Al Saoud

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Le président congolais Denis Sassou-Nguesso, en visite en Arabie saoudite, et le roi d'Arabie saoudite Salman Bin Abdelaziz Al Saoud
Le président congolais Denis Sassou-Nguesso, en visite en Arabie saoudite, et le roi d’Arabie saoudite Salman Bin Abdelaziz Al Saoud

Le président congolais Denis Sassou-Nguesso, en visite en Arabie saoudite, et le roi d’Arabie saoudite Salman Bin Abdelaziz Al Saoud, ont exprimé lundi leurs voeux de renforcer les relations de coopération entre les deux pays, notamment dans les domaines du pétrole et de l’agriculture, a-t-on appris de source présidentielle.

Les deux hommes d’Etat ont exprimé leur volonté de consolider la coopération bilatérale, notamment en œuvrant ensemble dans les domaines commercial, pétrolier et agricole, selon la même source.

Les deux parties ont également discuté de l’aide que l’Arabie Saoudite pourrait apporter au Congo à travers le Fonds saoudien de développement, qui finance par ailleurs divers projets à travers le monde.

Observateur au sein de l’Organisation des pays producteurs et exportateurs du pétrole (OPEP), le Congo tente de diversifier ses partenaires dans le domaine du pétrole en mettant en place une stratégie globale d’ouverture aux Etats du golfe.

Le président congolais est arrivé dimanche en Arabie saoudite pour une visite de 72 heures.

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Congo – Arabie Saoudite : Adel al-Joubeir chez Denis Sassou N’Guesso

Adel al-Joubeir, émissaire du roi Salman a été reçu par le président congolais Denis Sassou Nguesso, le 8 janvier à Brazzaville.

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Adel al-Joubeir, émissaire du roi Salman a été reçu par le président congolais Denis Sassou Nguesso, le 8 janvier à Brazzaville.
Adel al-Joubeir, émissaire du roi Salman a été reçu par le président congolais Denis Sassou Nguesso, le 8 janvier à Brazzaville.

Adel al-Joubeir, émissaire du roi Salman a été reçu par le président congolais Denis Sassou Nguesso, le 8 janvier à Brazzaville. Les questions d’intérêt commun, la lutte contre le terrorisme en Afrique, la situation en Libye ont été au centre de l’entretien que le président congolais a eu avec le ministre des Affaires étrangères de l’Arabie Saoudite.

Le chef de la diplomatie saoudienne s’est réjoui des « bonnes perspectives » qui marquent la coopération bilatérale entre les deux pays, soulignant que le Congo et l’Arabie Saoudite peuvent œuvrer ensemble dans le secteur pétrolier et « accroître des investissements dans le domaine du commerce » au bénéfice des deux États.

Les deux parties ont en également passé en revue plusieurs questions d’ordre régional et international. « Nous avons évoqué beaucoup de sujets, notamment en ce qui concerne la politique, la sécurité et la stabilité », a déclaré Adel Ben Ahmed al-Joubeir, à l’issue d’une longue entrevue avec le président de la République. 

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« Nous avons convenu de trouver des solutions en ce qui concerne la lutte contre le terrorisme, qui est maintenant une menace pour le Sahel, mais aussi pour l’Afrique en général », a-t-il affirmé.

À ce sujet, Adel Ben Ahmed al-Joubeir a indiqué que l’’Arabie saoudite travaille conjointement avec les États-Unis, la France et l’Allemagne « pour trouver des solutions dans la zone du Sahel ».

Le chef de la diplomatie saoudienne a estimé que « la solution à ces différents problèmes passe aussi par la stabilisation de la situation en Libye ». 

« Nous avons émis le souhait de réunir nos envoyés spéciaux – celui du Congo, de l’Europe et de notre pays – afin de conjuguer des efforts pour trouver une solution » à la crise libyenne de manière à ce que ce pays puisse renouer à une vie normale et dispose d’un gouvernement « stable» après les prochaines élections. 

Bertrand BOUKAKA

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Arabie saoudite : des coups de fouet pour les femmes qui consultent le téléphone de leur mari

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image d’archive|DR
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Les Saoudiennes qui regardent dans le téléphone de leur mari sans les prévenir risqueront désormais des coups de fouet, une peine de prison ou une amende.

 Des coups de fouet pour avoir mis le nez dans le téléphone de son mari. C’est la peine qui guette désormais les Saoudiennes. Une nouvelle loi a été publiée, prévoyant de sanctionner les femmes qui consultent le téléphone de leur mari sans l’avertir, ou sans son consentement. 

La loi prévoit des coups de fouet, une peine de prison ou une amende. En revanche, la loi permet à un mari de consulter le téléphone de son épouse sans lui demander son accord. Une législation qui s’inscrit dans un vaste programme de réformes sociales, le programme de sécurité de la famille, mis en place par le roi Salman. 

Pas de voiture pour les femmes

La nouvelle disposition a soulevé de nombreuses protestations…émises uniquement par des femmes. En Arabie saoudite où prévaut une interprétation très stricte de la charia, les femmes ont fort peu de droits. 

Elles ne peuvent ainsi pas sortir de leur domicile sans être accompagnée d’un homme, ni conduire une voiture.