Moqué pour avoir fait sa demande en mariage au KFC, les plus grandes marques lui offrent un mariage grandiose

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Moqué pour avoir fait sa demande en mariage au KFC, les plus grandes marques lui offrent un mariage grandiose

Il n’avait pas les moyens de surprendre sa dulcinée avec une demande en mariage originale, alors il a décidé de la faire avec son con coeur, lors d’une sortie au KFC, à côté des frites et de son verre de coca posés sur la table.

La scène, filmée par des clients de la chaîne de restauration en Afrique du Sud a été postée sur les réseaux sociaux. Dans la vidéo, on voit l’homme s’agenouiller pour faire sa demande. Le couple est entouré par des clients qui réagissent avec enthousiasme.

KFC Afrique du Sud l’a ensuite republiée sur son Twitter, demandant aux internautes de l’aider à identifier le couple.

«S’il vous plaît, aidez-nous à trouver ce beau couple», a déclaré le compte Twitter jeudi. « Si vous avez une piste contactez-nous en MP, il pourrait y avoir une bonne surprise en plus pour vous aussi… Nous aimons l’amour. »

Et en quelques heures, le couple a été identifié par KFC comme étant Hector et Nonhlanhla.

L’internaute, qui a posté la vidéo originale, a déclaré que les réactions envers la demande en mariage du couple, devenue virale, étaient touchantes.

Mais de nombreux internautes se sont moqués en commentaires sur les sociaux « N’importe quoi. Qui fait une demande en mariage au KFC … Ils sont si pauvres que ça mdr » a-t-on pu lire. Mais beaucoup de réactions étaient positives.

« Les meilleurs moments de la vie ne doivent pas forcément coûter chers! C’est tellement beau tout ça » a déclaré une internaute. « C’est pour ça que nous ne trouvons pas le bonheur, nous nous focalisons trop sur des choses matérielles » a écrit un autre.

KFC a décidé de sponsoriser leur mariage et les cadeaux des plus grandes marque ont suivi.

« Ces destinations de lune de miel ont l’air bien loin. Quelqu’un doit les y conduire. On s’occupe de tout« , a tweeté le compte Audi officiel en Afrique du Sud.

Alors qu’il n’avait même pas les moyens d’offrir à sa chérie une sortie dans un restaurant chic pour faire sa demande en mariage, Hector et Nonhlanhla auront un mariage grandiose sponsorisé par les plus grands marques en Afrique du Sud. KFC, Audi, Total, Puma, Huawei … comme vous pouvez le voir ci-dessous.

« Je ne travaille pas, donc je n’avais pas assez d’argent pour donner à ma femme Nonhlanhla un mariage et un bijou digne de ce nom, mais je tenais à faire un petit quelque chose « , a déclaré Hector aux médias locaux.

« Merci l’Afrique du Sud. Votre gentillesse nous a vraiment touché. Nous n’aurions jamais imaginé que notre histoire d’amour aurait touché un si grand nombre d’entre vous« , a-t-il rajouté.

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Xénophobie contre les Subsahariens en Afrique du Sud : la responsabilité engagée de Nelson Mandela et de l’ANC, selon Patrick Mbeko

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Des Sud-Africains en colère pillent des magasins qui appartiendraient à des ressortissants étrangers dans la banlieue de Johannesburg, le 2 septembre 2019. © AFP

Les images des Africains (Congolais, Camerounais, Nigérians, etc.) brutalisés, dépouillés de leurs biens et tués en Afrique du sud choquent. Ce pays est devenu une zone de non droit pour des millions d’Africains; un pays où la xénophobie contre les Subsahariens est magnifiée à tous les niveaux de la société. Qui l’aurait-cru ? Qui aurait cru un jour que les habitants de ce pays se seraient attaqués à leurs « frères » africains, ceux-là mêmes qui ont lutté à leur côté, mobilisant des moyens colossaux pour venir à bout du régime ultra-raciste de l’Apartheid ? Qui aurait cru que des Africains seraient martyrisés un jour dans une Afrique du sud dirigée par des Noirs ?

La colère dispute l’émotion et la stupéfaction. Il y en a qui regrettent, à tort ou à raison, d’avoir soutenu la lutte anti-Apartheid, proposant de boycotter les entreprises et les produits sud-africains; d’autres estiment qu’il faut tout simplement rendre la pareille en expulsant les Sud-africains chez eux. Les Nigérians menacent et de son côté le Président congolais, Félix Tshisekedi, a décidé d’annuler sa participation au forum mondial qui se tiendra prochainement à Cape Town. Une décision à saluer.

Qu’à cela ne tienne, une analyse froide de la situation s’impose afin de comprendre pourquoi les Sud-africains [noirs] attaquent et veulent se débarrasser de leurs compatriotes africains. D’autant que le phénomène n’est pas nouveau dans le pays.

Plusieurs raisons sont avancées pour expliquer les tragiques événements des derniers jours. La police sud-africaine parle d’éléments criminels, d’actes spontanés, de gens qui profitent du chaos pour piller et brutaliser les subsahariens, mais différentes organisations de la société civile évoquent des attaques planifiées, ciblant les étrangers. On parle d’actes de violence xénophobe motivés par un sentiment de ras-le-bol des Sud-africains ne supportant plus de se « faire piquer » leurs boulots. Un argument farfelu, mais bon…

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Une chose est certaine en tout cas : les actes de violence xénophobe auxquels l’on assiste depuis quelques jours ont un rapport direct avec l’extrême pauvreté dans laquelle baigne la population noire sud-africaine. Une pauvreté qui s’accentue au jour le jour, au point de faire dire à certains observateurs que la situation des Noirs aujourd’hui est pire que celle à l’époque de l’Apartheid. À qui la faute ? 

Aux capitalistes noirs de l’ANC qui dirigent la « nouvelle Afrique du Sud » depuis 1994, à commencer par feu Nelson Mandela. Ils ont pris des décisions qui ont hypothéqué l’avenir de leur peuple. Décisions qui résultent des concessions que Mandela a faites aux tenants du pouvoir économique sud-africain à sa sortie de prison.

En outre, on ne peut pas comprendre la misère dans laquelle baignent les Noirs sud-africains, si l’on n’examine pas à froid les concessions faites par Mandela à ses anciens oppresseurs. Ces concessions n’expliquent pas tout, mais permettent tout de même de comprendre la suite des événements en Afrique du sud post-apartheid. Elles permettent aussi et surtout de comprendre la bienveillance de l’Occident à l’égard de Madiba.

L’enjeu à l’époque était de taille. C’était toute l’Afrique australe qui était aux prises avec les mêmes problèmes socio-politiques et économiques. L’Afrique du sud devait servir de pays test, et tout s’est bien passé grâce à Mandela.
Avait-il accepté de jouer le jeu par pur pragmatisme ? Je ne saurais le dire. Mais une chose est certaine : avant l’Apartheid égale après apartheid, avec quelques ajustements aux plans politique et économique, histoire de laisser quelques Noirs diriger et profiter du système.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que Nelson Mandela a joué le rôle qu’on attendait de lui. Beaucoup d’Africains ont du mal à l’accepter, mais les faits sont là. Le regard complaisant que certains Africains portent sur Mandela s’explique par le fait qu’ils n’arrivent toujours pas à dissocier le Mandela combattant de la liberté du Mandela président. Or celui à qui les hyènes occidentales ont rendu hommage en décembre 2013 — après avoir sauvagement assassiné Mouammar Kadhafi quelques années plus tôt — sourire «sardonique» en coin, ce n’était pas « Mandela le combattant », mais bien « Mandela le Président », l’homme des concessions et de la fausse réconciliation en Afrique du Sud.

Ce Mandela là comme ses successeurs ont travaillé pour l’émergence d’une bourgeoisie noire en lieu et place de privilégier le bien-être commun de la communauté noire. Résultat : la population noire, analphabète et désœuvrée, est devenue une bombe à retardement pour le pays arc-en-ciel. La misère a fait de beaucoup de « Sudaf » des brutes, des animaux sauvages prêts à tout pour assouvir leur haine de la vie. Les tenants du pouvoir économique blancs étant « intouchables » et jalousement protégés par le pouvoir politique nègre, il s’avère donc commode de faire porter l’odieux au subsaharien qui se débrouille pour donner un sens à sa vie.

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En 2012 déjà, j’écrivais que « Mandela a fait de son pays une bombe à retardement. Espérons qu’elle n’aura pas à exploser d’ici là. » Autant dire qu’une partie de la bombe a explosé, faisant de nombreuses victimes innocentes parmi les populations d’Afrique subsaharienne.

Ce qui surprend depuis le début de cette folie, c’est le silence proprement imbécile de la classe dirigeante africaine et de la plupart des mouvements soi-disant « panafricains » prompts à faire la leçon à la France, le bouc-émissaire commode, et à tout l’Occident, alors qu’ils sont d’une hypocrisie remarquable quand le mal vient des profondeurs du continent noir.

L’Afrique est avant tout malade de ses propres enfants et les sauvages sud-africains le démontrent assez brillamment…

Par Patrick Mbeko

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Attaques xénophobes en Afrique du sud : les nigérians activent la riposte

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Suite aux attaques contre des ressortissants nigérians en Afrique du Sud, des jeunes nigérians ont tenté de se venger en s’en prenant aux commerces sud-africains à Lagos dont Shoprite et d’autres entreprises.

Suite aux attaques contre des ressortissants nigérians en Afrique du Sud, des jeunes nigérians ont tenté de se venger en s’en prenant aux commerces sud-africains à Lagos dont Shoprite et d’autres entreprises.

Le porte-parole de la police, Bala Elkana, a déclaré que la police avait renforcé la sécurité, ajoutant qu’il n’y avait pas lieu de s’alarmer, rapporte le site d’information The Punch. Il a déclaré que «les attaques contre Shoprite et d’autres entreprises appartenant à des Sud-Africains ont rencontré une vive résistance. Nous avons renforcé la sécurité partout. Il n’y a aucune raison de s’alarmer ».

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Tandis que certains manifestants ont assiégé le centre commercial Ikeja, une foule a allumé des feux de joie à l’entrée de Shoprite à Lekki. Des vidéos en ligne ont également montré quatre fourgonnettes de patrouille de police au centre commercial d’Osapa à Londres alors qu’une foule tentait de pénétrer dans le centre commercial. L’indignation a eu lieu à la suite de meurtres de Nigérians en Afrique du Sud. Les différentes autorités des pays s’activent pour tenter de mettre fin à cette vague de violence.

Avec Beninwebtv

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Afrique du Sud : quelle crédibilité pour le pasteur Alph Lukau après avoir reconnu son vrai-faux miracle de résurrection ?

le pasteur Alph Lukau

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le pasteur Alph Lukau
Afrique du Sud : quelle crédibilité pour le pasteur Alph Lukau après avoir reconnu son vrai-faux miracle de résurrection ?

Vraisemblablement gêné par les railleries des médias après avoir prétendu ressusciter un mort, le pasteur congolais (Kinshasa) Alph Lukau a reconnu en fin de semaine que la personne dans le cercueil n‘était pas morte. Et que diront ses fidèles et les observateurs ?

Lors d’un culte en direct sur Facebook, le pasteur Alph Lukau patron du conglomérat d‘églises dénommé « Alleluia Ministries » basé en Afrique du Sud semblait ressusciter une personne morte.

Un “miracle” frénétiquement applaudi par des « Amen » et des « Alléluia » par les quelque 70 000 fidèles des Alleluia Ministries qui croyaient ainsi vivre le même miracle que celui réalisé par Jésus-Christ sur Lazare il y a plus de 2 000 ans, comme le décrit la bible.

Mais, pour des observateurs, fussent-ils chrétiens, Alph Lukau n’est pas Jésus-Christ et le jeune Elliot Masango n’est pas Lazare. Le pasteur a donc été vivement raillé sur les réseaux sociaux aussi bien par les médias que par les internautes.

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Des deals « spirituels » ?

Gêné, « l’homme de Dieu » a présenté ses excuses aux internautes tout en reconnaissant que la personne dans le cercueil n‘était pas morte. « Avant d’entrer dans les locaux de l‘église, le cercueil a commencé à trembler, ce qui signifie que la personne était en vie », a reconnu Alph Lukau lors d’une interview accordée en fin de semaine à Thabiso Tema, un journaliste sud-africain.

« Nous sommes la maison de Dieu et je ne suis qu’un pasteur servant dans la maison du Seigneur. Je pense qu’ils ont amené la personne à l‘église parce qu’ils croyaient que Dieu avait la capacité de ressusciter la personne, mais notre frère était toujours en vie avant même d‘être amené à l‘église et nous nous excusons de ne pas avoir dit la vérité », a ajouté le pasteur. 

Et d’après de nombreux médias, Elliot Masanga qui serait un Tanzanien aurait lui aussi reconnu qu’il n‘était pas décédé. Les mêmes sources indiquent que le jeune miraculé et le pasteur auraient été convoqués par le conseil sud-africain des églises.

Dès lors que diront les fidèles d’Alph Lukau suite à cet aveu ? Au nom de la foi et du pardon, ce pasteur pourrait certainement bénéficier de la clémence de ses ouailles. Toutefois, grâce à ce “vrai-faux miracle”, des observateurs pourraient davantage réfléchir sur des “deals spirituels” qui se montent dans des églises dites de réveil pour attirer davantage de fidèles. Lesquels fidèles qui, en dépit de multiples scandales continuent de croire à ces pasteurs. 

© Africanews

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Folie sur Twitter autour d’un pasteur auteur d’une « résurrection » en Afrique du Sud

La "résurrection" du pasteur Alph Lukau, de l'Eglise protestante Alleluia Ministries International, le 24 février 2019. (Twitter/Alph Lukau)

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La "résurrection" du pasteur Alph Lukau, de l'Eglise protestante Alleluia Ministries International, le 24 février 2019. (Twitter/Alph Lukau)
La « résurrection » du pasteur Alph Lukau, de l’Eglise protestante Alleluia Ministries International, le 24 février 2019. (Twitter/Alph Lukau)

Un pasteur congolais qui prétendait avoir ressuscité un mort dans une vidéo postée sur Twitter a cartonné sur les médias sociaux où son « miracle » a été beaucoup vu mais aussi abondamment moqué par les internautes.

Une vidéo du pasteur Alph Lukau, de l’Eglise protestante Alleluia Ministries International, apparue ce week-end sur l’internet y est rapidement devenue virale.

On y voit le religieux apposant les mains sur le corps d’un homme censé être mort, vêtu d’un costume blanc et couché dans un cercueil et qui s’anime soudainement et saute sur ses pieds.

En quelques heures, le hashtag #ResurrectionChallenge faisait rage sur Twitter alors que les utilisateurs affichaient des images ironiques de leurs propres « résurrections » aux cotés de captures d’écran du prétendu miracle du pasteur Lukau.

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Un internaute, Just Jusca, s’est ainsi filmé l’air surpris, assis dans sa baignoire, sous la légende « mon alarme vient de me ressusciter pour me réveiller ».

Le « miracle » accompli par le pasteur a aussi provoqué la critique des pompes funèbres contactées pour assurer les funérailles du « mort ».

« En tant que Kings and Queens Funeral Services, nous aimerions prendre nos distances par rapport à la prétendue résurrection », a écrit la société dans un communiqué qui dit avoir décidé d’intenter une action en justice « pour cette atteinte malveillante à notre image. »

L’Eglise Allelulia Ministries International a aussi pris ses distances, déclarant aux médias qu' »il ne s’agissait pas d’un miracle de résurrection ». Elle n’a pas voulu réagir aux critiques l’accusant de tromper ses fidèles.

Avec AFP 

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Zoom sur les pays qui ont félicité le président Tshisekedi

Félix Tshisekedi

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Félix Tshisekedi
Félix-Antoine Tshilombo Tshisekedi

Les Etats-Unis d’Amérique, dont l’ambassadeur accrédité à Kinshasa, Mike Hammer, a été reçu mardi par Félix-Antoine Tshilombo Tshisekedi, ainsi que la République du Congo figurent parmi les pays qui ont adressé mercredi des messages de félicitations au nouveau chef de l’Etat de la République Démocratique Congo qui prête serment ce jeudi au Palais de la Nation. 

L’Algérie a également fait de même, allongeant ainsi une liste comprenant déjà le Burundi, l’Afrique du Sud, l’Angola, la Chine, la Russie, la Tanzanie, le Kenya et le Mozambique, la France, en plus de l’Union européenne et de l’Union africaine.

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S’agissant de la cérémonie de passation de pouvoirs jeudi, le programme prévoit notamment une prestation de serment du nouveau président devant la Cour constitutionnelle, la remise des symboles du pouvoir au président élu par son prédécesseur et par la Cour constitutionnelle ainsi que le discours du président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Le président sortant, Joseph Kabila Kabange devait adresser son dernier message à la Nation mercredi soir.

Avec APA

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Le nouveau président sud-africain voyage en classe économique

Le nouveau président sud-africain voyage en classe économique

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Le nouveau président sud-africain voyage en classe économique
Le nouveau président sud-africain voyage en classe économique

Deux mois après avoir été investi comme troisième président de l’Afrique du Sud post-Apartheid, le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, continue de faire les choux gras de la presse de son pays pour de bonnes raisons.

Ce vendredi, les cameras avaient été braquées sur lui lorsqu’il a été aperçu en classe économique à bord d’un vol commercial à destination de Durban et en provenance de Johannesburg. L’homme d’affaires devenu politicien et président a autorisé les passagers qui voyageaient avec lui à prendre des photos avec lui. Selon son porte-parole, M. Khusela Diko, le nouveau président sud-africain a toujours privilégié les moyens de transport les plus pratiques, les plus commodes et les moins coûteux pour le contribuable sud-africain.

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Le mois dernier, M. Ramaphosa avait fait montre de sa touche personnelle lorsqu’il avait initié une marche avec la participation du public en plein jour à travers les bidonvilles de Cape Town. Habillé d’un survêtement noir avec l’effigie de l’ANC, son parti, et une casquette à l’effigie de Nelson Mandela, il se tenait ainsi à la tête d’une importante foule de gens ordinaires se promenant à travers les rues de Gugulethu jusqu’à la localité d’Athlone, une distance d’environ six kilomètres.

Ce qui constitue une grande rupture et une innovation par rapport à son prédécesseur dont la garde rapprochée, plus connue sous le nom de « Brigade bleu-clair » rendait souvent mécontents les habitants de Cape Town qui ne pouvaient plus supporter les perturbations causées dans la circulation par les éléments de Zuma, à tel point que Mme Helen, dignitaire de la localité, avait fait passer une loi pour interdire les convois de la « Brigade bleu-clair » sauf dans des cas d’urgence.

Avec PANA

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Afrique du Sud : Un résident congolais chauffeur de taxi, assassiné à Cape Town

De nationalité congolaise, Christ était chauffeur de taxi Uber dans la ville de Cape Town en Afrique du Sud
De nationalité congolaise, Christ était chauffeur de taxi Uber dans la ville de Cape Town en Afrique du Sud
De nationalité congolaise, Christ était chauffeur de taxi Uber dans la ville de Cape Town en Afrique du Sud

De nationalité congolaise, Christ était chauffeur de taxi Uber dans la ville de Cape Town en Afrique du Sud. Il y a été assassiné par arme à feu.

Une exécution en règle, c’est ce dont a été victime ce congolais résidant en Afrique du Sud. L’homme qui venait de déposer son client dans un quartier résidentiel a été pris sous les tirs croisés de ses assaillants, des inconnus sortis de nulle part, dimanche soir.

Sur son corps criblé, au moins sept impacts de balles ont été relevés. C’est dire l’acharnement de ses meurtriers, bien décidés d’en finir avec lui.

Ce crime odieux serait l’œuvre des chauffeurs sud-africains qui contestent Uber depuis son arrivée dans ce pays et qui plus est, avec un étranger au volant.

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Cette exécution n’est pas la première du genre. Depuis quelques temps, des chauffeurs Uber sont victimes de menaces mort de la part de certains chauffeurs de taxi Sud-africains. Ceux-ci dénoncent une concurrence qu’ils jugent déloyale et défavorable à leur activité.

Dans de moments de véritable vendetta, ces chauffeurs saccagent ou brûlent les voitures des usagers de Uber. Ce déchaînement de violence va jusqu’à donner la mort, surtout lorsque le chauffeur Uber est reconnu comme étant un étranger.

En Afrique du sud, des faits de xénophobie sont de plus en plus notés avec parfois des violences débouchant sur des meurtres.

Les noirs sud-africains accusent les étrangers venus d’autres pays africains de leur « voler » le peu de travail auquel il peuvent prétendre, sur un marché où celui-ci se fait rare.

Bertrand BOUKAKA

Les Échos du Congo-Brazzaville

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Afrique du Sud: la justice estime que Zuma peut être poursuivi pour corruption

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Le président Jacob Zuma

La justice sud-africaine a rouvert vendredi la voie à un éventuel procès pour corruption contre le président Jacob Zuma dans une affaire de ventes d’armes qui tient le pays en haleine depuis une bonne dizaine d’années.

Dans un jugement lu à l’audience par le juge Eric Leach, la Cour suprême d’appel de Bloemfontein (centre) a rejeté un appel du chef de l’Etat contre la décision de relancer contre lui 783 inculpations de corruption, fraude fiscale et extorsion de fonds dans le cadre de ce dossier.

Très attendue, cette décision renvoie la balle dans le camp du parquet général sud-africain, qui doit désormais décider de relancer ou non le dossier et, éventuellement, de renvoyer Jacob Zuma devant un tribunal.

L’actuel chef de l’Etat est accusé d’avoir touché, alors qu’il était vice-président, des pots-de-vin pour un contrat d’armement de 4,2 milliards d’euros signé en 1999 par l’Afrique du Sud avec plusieurs entreprises européennes, dont la française Thales.

Il avait alors été formellement inculpé, mais ces poursuites avaient été abandonnées en 2009 au motif qu’elles avaient été, selon le parquet général, motivées politiquement.

M. Zuma était alors engagé dans une furieuse bataille politique avec le président de l’époque, Thabo Mbeki.

Limogé de son poste de vice-président en 2005 à cause de son inculpation, M. Zuma avait pris sa revanche en accédant en 2007 à la direction du Congrès national africain (ANC, au pouvoir), puis en écartant M. Mbeki de la tête du pays un an plus tard.

Depuis 2009, le principal parti d’opposition, l’Alliance démocratique (DA), essayait d’obtenir la réouverture du dossier.

Il a enfin obtenu satisfaction en 2016, lorsqu’un tribunal de Pretoria a jugé « irrationnel » l’abandon des poursuites engagées contre M. Zuma. Mais le parquet général et le président Zuma ont fait appel de cette décision.

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– « Revers significatif » –

« Les appels sont rejetés », a décidé vendredi la Cour suprême d’appel. « Les raisons avancées pour interrompre les poursuites (…) ne résistent pas à l’examen », a justifié le juge Leach en lisant les conclusions du jugement.

Lors d’une audience devant la Cour suprême d’appel en septembre, les avocats du chef de l’Etat avaient créé la surprise ont renonçant d’eux-mêmes à obtenir l’abandon des poursuites contre leur client. « Je ne défends pas » cette position, avait alors lâché à la barre l’un d’eux, Kemp J. Kemp, en réponse à la question d’un juge.

Le jugement de vendredi constitue « un revers significatif » pour le président Zuma, déjà affaibli par une série de scandales qui perturbent la fin de son règne, a commenté à l’AFP l’expert en droit constitutionnel Lawson Naidoo.

« Le rejet de son appel renvoie le dossier entre les mains du parquet général », a ajouté M. Naidoo.

Le président « peut désormais saisir la Cour constitutionnelle », la plus haute instance judiciaire du pays, « mais il semble qu’il n’ait pas de raison juridique pour le faire depuis que ses avocats ont concédé que la décision d’abandonner les poursuites était irrationnelle », a estimé l’expert.

Chef de l’Etat depuis 2009, M. Zuma doit quitter le pouvoir au terme de son deuxième et dernier mandat à l’issue des élections générales prévues en 2019.

Son parti, l’ANC, doit choisir en décembre celui ou celle qui lui succèdera à sa tête et, en cas de victoire du parti en 2019, à celle du pays.

Selon les analystes, la décision de la Cour de Bloemfontein devrait peser sur ce choix, qui divise l’ANC.

Dans cette course, M. Zuma soutient son ex-épouse Nkosazana Dlamini-Zuma avec l’objectif, disent ses détracteurs, qu’elle lui garantisse son immunité judiciaire. Son principal adversaire est l’actuel vice-président Cyril Ramaphosa.

Jusqu’à présent, M. Zuma a toujours réussi à passer au travers des mailles de la justice. A une exception près. L’an dernier, il a été contraint de rembourser une partie des travaux de « sécurité » financés par l’Etat dans sa résidence privée.

Par l’AFP

Afrique du Sud: « Fatigué de manger de la chair humaine », un homme se rend à la police

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Un homme soupçonné de cannibalisme s’est rendu de lui-même à la police sud-africaine, expliquant être «fatigué de manger de la chair humaine».
 
Les mots de cet homme font froid dans le dos. Le «Mirror» rapporte qu’un Sud-Africain connu comme un «guérisseur», s’est rendu à la police, expliquant être «fatigué de manger de la chair humaine». Il avait en sa possession les parties d’un corps humain – une jambe et une main – qu’il a remis aux enquêteurs.
 
L’homme est soupçonné d’avoir violé, tué et mangé une femme avec d’autres personnes. Après avoir avoué son crime, il a conduit les autorités sur les lieux du meurtre, dans la ville d’Estcourt, où les restes du cadavre ont été retrouvés. Deux autres hommes ont été arrêtés pour le meurtre, un quatrième est poursuivi pour possession de restes humains. Les suspects sont âgés de 22, 29, 31 et 32 ans.
 
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« Quand la police a fait ses recherches, elle a découvert 8 oreilles »
 
D’après un membre du conseil local, Mthembeni Majola, il pourrait y avoir d’autres corps. «Cela ne peut pas être le seul», a-t-il déploré. «Quand la police a fait ses recherches, elle a découvert 8 oreilles. Cela veut dire qu’il y en a beaucoup d’autres», a-t-il ajouté.
 
«Les trois suspects auraient tué cette femme avant de découper son corps. Ils auraient ensuite consommé sa chair alors que d’autres parties de son cadavre auraient été partagées avec le quatrième homme à Amangwe», a expliqué le porte-parole de la police en conférence de presse. Un autre porte-parole a précisé que le crime se serait produit vendredi dernier, le jour où le principal suspect s’est rendu au commissariat.
 
 
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