Cameroun : Samuel Eto’o victime d’un terrible accident de la route

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L’état de la voiture laisse imaginer la violence du choc. Présent au Cameroun pour assister à un mariage, Samuel Eto’o a été victime, ce dimanche, d’un terrible accident de la route. Mais plus de peur que de mal pour l’ancien attaquant.

A bord d’un imposant 4X4, le meilleur buteur de l’histoire des Lions Indomptables est entré en collision avec un bus de transports en commun sur une route autour de Nkongsamba dans l’Ouest du pays. L’avant de son véhicule a été complétement pulvérisé. Et si Eto’o a été victime d’un traumatisme crânien, son état de santé semble rassurant dans l’attente d’examens complémentaires.

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«Victime d’un violent accident de la circulation au niveau de Nkongsamba, il y a quelques heures, alors qu’il rentrait de l’Ouest où il a pris part ce week-end à plusieurs festivités, le Meilleur buteur de l’histoire des Lions Indomptables que j’ai personnellement eu au téléphone, se porte bien. Dieu est Grand !», a indiqué, sur son compte Facebook, le journaliste sportif Martin Camus Mimb, connu pour être proche de l’ancien joueur, qui a mis un terme à sa carrière il y a un an après une dernière pige au Qatar.

Selon des médias locaux, le chauffeur responsable de l’accident aurait tenté de prendre la fuite avant d’être intercepté par des gendarmes et d’être auditionné. Des poursuites pourraient être ouvertes à son encontre pour activités dangereuses et non-assistance à personnes en danger. Mais Samuel Eto’o, également entendu, aurait demandé que les plaintes soient abandonnées en raison de l’absence de blessés.

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Avec CNEWS

Brazzaville – Circulation routière : un accident fait deux morts à Talangaï

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La tragédie s’est produite en fin de matinée du 26 mai, au niveau du Viaduc (entre le pont et le gymnase Nicole-Oba), occasionnant également plusieurs blessés dont un cas grave.

La tragédie s’est produite en fin de matinée du 26 mai, au niveau du Viaduc (entre le pont et le gymnase Nicole-Oba), occasionnant également plusieurs blessés dont un cas grave.

Il est 11 heures dépassées lorsqu’un bus de marque Hiace, en provenance du quartier Petit-chose, dans le sixième arrondissement de Brazzaville, finit sa course bien cabossé entre le pont du Viaduc (arrêt général) et le gymnase Nicole-Oba. D’après les témoins, le bus venait à peine de descendre du pont du Viaduc quand il a eu une crevaison. Roulant à vive allure, le chauffeur n’a pas pu maîtriser son volant. C’est ainsi que son véhicule est allé percuter le poteau électrique et le béton séparant les deux voies. A partir de ce choc violent, le bus a fait tonneau, occasionnant ainsi des morts, des évanouis et des blessés.

Selon des informations recueillies à l’hôpital de base de Talangaï, situé non loin du lieu de l’accident, il y aurait eu navette d’une ambulance entre cet hôpital et le Centre hospitalier universitaire de Brazzaville (CHU-B) pour tenter de sauver les cas graves, alors que d’autres blessés prenaient déjà les premiers soins.

S’agissant des statistiques, le directeur général de l’hôpital de base de Talangaï, Raphaël Issoïbeka, a indiqué qu’il y a eu vingt accidentés, parmi lesquels deux morts, dont le chauffeur, et un client à bord, puis trois cas envoyés au CHU-B.

Bruno Okokana

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Brazzaville : un accident sur la Corniche

Circulation routière : un accident sur la Corniche

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Circulation routière : un accident sur la Corniche
Un véhicule personnel a percuté, le matin du 23 avril, un passager à moto.

Un véhicule personnel a percuté, le matin du 23 avril, un passager à moto. Renversé sur la chaussée, ce dernier a été blessé à la tête comme en ont témoigné les flaques de sang remarquées sur le lieu de l’accident. La voiture a, quant à elle, terminé sa course, les quatre roues en l’air. Selon les témoignages, le conducteur n’a pas été touché et a lui-même conduit le blessé, dont la vie ne serait pas en danger, à l’hôpital. Aucun dommage non plus sur les installations publiques.

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Les mesures de sécurité routière méritent d’être renforcées tant par les usagers de la route que par la police. Le fait d’interdire la circulation des véhicules sur la Corniche, les week-ends (samedi et dimanche), est une mesure salvatrice pour les citoyens et touristes qui y passent leur temps à la contemplation du majestueux fleuve Congo. L’endroit est, d’ailleurs, devenu un haut lieu de sport de maintien chaque week-end.  

Rominique Makaya

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Congo : Un spectaculaire accident au péage de Kintélé fait 17 blessés

Le camion accidenté en train d'être déchargé, le 13 avril/Photo Adiac

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Le camion accidenté en train d'être déchargé, le 13 avril/Photo Adiac
Le camion accidenté en train d’être déchargé, le 13 avril/Photo Adiac

Dix-sept (17) blessés dont quelques-uns sont dans un état très critique, c’est le bilan de l’accident de la circulation qui est survenu ce vendredi matin au niveau du poste de péage de Kintélé.

Un véhicule de marque Renault, immatriculé 895 J 12, chargé de denrées alimentaires, serait en défaillance technique.

Selon des témoins, les freins du véhicule ont lâché peu avant le village Lifoula. Arrivé à Kintélé aux environs de 6 h, le chauffeur, ne parvenant plus à maîtriser son volant, a dérapé et rasé au passage tous les abris érigés au niveau du péage avant de faire deux fois tonneau à l’arrêt de bus situé devant un petit marché de fortune se trouvant à 50 m du poste de péage.

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Les victimes sont en majorité les passagers qui étaient à bord mais aussi quelques paisibles citoyens qui attendaient leurs bus. Elles ont été toutes admises en urgence à l’hôpital de référence de Talangaï.

Aucun décès n’a été enregistré.

Les mesures de sécurité et de précaution sur la route sont encore et toujours en vigueur.

Avec Germaine MAPANGA

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Congo – Fake-News : Le faux accident survenu à Oyo

Congo – Fake-News : Le faux accident survenu à Oyo

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Congo – Fake-News : Le faux accident survenu à Oyo
Aucune route menant à Oyo n’est carrossable et ne dispose d’un pont en planche de ce type que l’on trouve désormais de moins en moins au Congo.©DR

Une compilation d’images pour créer une nouvelle sensationnelle mettant en cause l’État congolais ou des personnalités politiques ciblées, la pratique a désormais cours et pour jeter le discrédit, à des fins de nuire, sans plus.

Prenant prétexte sur ce que « les routes congolaises seraient des mouroirs du fait des détournements de l’argent affecté à leur confection ou réhabilitation », des images d’un accident de la route survenue dans un pays voisin du Congo-Brazzaville, ont fait le tour des réseaux sociaux.

À la vérité, il va s’en dire que les propagateurs de ces fausses nouvelles qui n’ont de vraie que leur fausseté, ont une parfaite méconnaissance du terrain.

Aucune route menant à Oyo n’est carrossable et ne dispose d’un pont en planche de ce type que l’on trouve désormais de moins en moins au Congo.

D’autre part, dans le doute et dans le souci de donner à nos lecteurs une information vérifiée, les officiels que nous avons joint par téléphone à Oyo n’ont aucune connaissance d’un accident de ce type, à quelque endroit que ce soit, dans la contrée.

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Et puis, ces images montrant des grandes quantités de sacs de foufou répandus sur le lieu de l’accident, illustrent une grande production du produit. Ce qui n’est pas le cas dans le département de la Cuvette. Il est également à noter que le nombre de personnes ayant accouru sur le lieu de l’accident, renvoient à une campagne avec une population bien dense.

D’autre part, l’immatriculation du véhicule accidenté présente trois séries de chiffres à plusieurs multiples, alors qu’au Congo, les plaques minéralogiques sont d’un type bien différent.

Enfin, les cadavres des femmes contrastent d’avec le mode vestimentaire congolais qui veut que même lorsqu’elles ont un « collant », en dessous, les femmes portent un pagne pour des raisons de respect et de pudeur somme toute culturelles. Ce n’est pas le cas dans certains pays limitrophes du Congo.

La seule morale que l’on peut tirer de ces images, c’est celle de la prudence avec notamment cette surcharge pour des véhicules de marchandises qui le cas échéant, transportent également de nombreux voyageurs. Une pratique qui est aussi courante auprès des conducteurs congolais 

Bertrand BOUKAKA

Les Échos du Congo-Brazzaville 

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Congo – Circulation routière : Encore un accident grave sur la « route lourde » Pointe-Noire-Brazzaville

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Un accident de la route est survenu mercredi matin, entre un véhicule poids lourd et un autocar de la société « Océan du nord ». On déplore de nombreux blessés, dont certains dans un état critique.

L’accident a eu lieu après Dolisie, en allant vers Pointe-Noire, sur la pente abrupte de Masseka, à quelques kilomètres de Mvouti.

Selon les témoins, le conducteur du poids lourds aurait perdu le contrôle de son véhicule qui s’est encastré sur l’autocar venant en sens inverse.

Dans un ultime réflexe, le chauffeur de l’autocar a évité le choc frontal, en déportant in-extremis son bus vers la gauche. Celui-ci a tout de même été heurté à l’arrière.

 Certains voyageurs ont été gravement blessés. Ils ont été acheminés à Dolisie avec des moyens de fortune, faute de structures appropriées.

De plus en plus, la route Pointe-Noire-Brazzaville est le théâtre d’accidents aussi graves les uns que les autres.

Même si la responsabilité des chauffeurs est de tous temps engagée, il va s’en dire que la configuration de la route n’est pas moins mise en cause. La visibilité y est quasi nulle sur les virages serrés et en certains endroits, l’étroitesse de la chaussée n’est pas pour arranger les choses.

En négociant un virage, les véhicules avec remorques se mettent systématiquement en travers de la voie, ce qui est dangereux pour ceux venant en sens inverse.

Bertrand BOUKAKA

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Congo : plus de 14.000 accidents de la route en cinq ans

accident a Brazzaville

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Le Congo a enregistré 14.847 accidents de la circulation routière entre 2010 et 2015, a indiqué samedi à Brazzaville, le ministre en charge des transports, de l’aviation civile et de la marine marchande, Gilbert Mokoki.

Il a précisé que ce chiffre représentait une moyenne de 2.475 accidents par année. L’on estime à 1.827 le nombre de personnes qui ont péri dans ces accidents ; celui de blessés étant de 14.174 personnes.

« Le nombre de décès imputables aux accidents de la route peut être réduit. Dans le monde, de nombreux pays l’ont réussi par la concrétisation des politiques en la matière de leurs gouvernements respectifs d’une part, et le changement de comportements des usagers de la route, d’autre part », a déclaré M. Mokoki.

Les causes de ces accidents de la route au Congo sont entre autres, l’excès de vitesse, les dépassements dangereux, la conduite en état d’ivresse, la fatigue au volant, le refus de céder le passage et l’usage du téléphone au volant.

Le ministre des Transports a appelé les usagers de la route, ainsi que d’autres acteurs, à adopter des comportements responsables, afin de parvenir à la réduction du nombre et de la gravité des accidents de la route au Congo.

Il s’est exprimé dans le cadre de la journée africaine de la sécurité routière et de la journée mondiale de la solidarité avec les victimes de la route, célébrées le 20 novembre de chaque année.

Le gouvernement congolais vient de mettre au point un plan national de sécurité routière qui a récemment fait l’objet d’une validation. Ce plan est constitué d’une stratégie de sécurité routière comportant de grandes orientations.

Avec Xinhua

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Brazzaville : un accident cause de nombreuses victimes à Ngamakosso

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ccident cause de nombreuses victimes à Ngamakosso
Vingt et huit blessés graves et trois morts subites est le bilan provisoire d’un accident de circulation qui s’est produit, le 11 juin à Ngamakosso, dans la partie nord de Brazzaville| Ph acebook.com/joewashington.ebinacongo

Vingt et huit blessés graves et trois morts subites est le bilan provisoire d’un accident de circulation qui s’est produit, le 11 juin à Ngamakosso, dans la partie nord de Brazzaville.

À l’origine de cette collision : un véhicule remorque qui dans sa course cogne un minibus. Bilan : vingt-quatre blessés graves transférés au Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Brazzaville et quatre autres internés à l’hôpital de base de Talangaï. Jusqu’à vendredi, la cellule de communication du CHU-Brazzaville rassurait qu’il ne restait que neuf blessés graves hospitalisés dont deux admis au service de réanimation.

Selon les témoignages recueillis sur le lieu de l’accident, la remorque avait perdu son système de freinage hydraulique sur le versant de la colline. Elle a heurté sur le trottoir plusieurs passants avant de finir sa course dans une habitation située au numéro 20 sur la rue Ngola. Ici, d’autres dégâts sont signalés : une femme et ses quatre petits-fils qui ont perdu leurs pieds. D’après des sources hospitalières, parmi les vingt et huit blessés, dix-sept cas jugés moins graves ont été libérés.

« Depuis hier (jeudi), nous leur avons administré les premiers soins », a indiqué le directeur de l’hôpital de Talangaï, le docteur Jean-Louis Lengouango. Il a précisé par ailleurs que toutes les victimes sont prises en charge gratuitement alors que les corps des trois personnes décédées sont conservés à la morgue du CHU de Brazzaville.

« Tout le secteur était sur le pied de guerre ce jeudi soir », confie une dame visiblement sous le choc. Grâce à l’intervention des éléments du Poste de sécurité publique (PSP) de Ngamakosso, la foule a pu être maîtrisée. « Quand nous étions arrivés, on criait de partout. Nous étions obligés de veiller sur les lieux pour permettre aux services compétents de faire le constat », a indiqué un agent du PSP de Ngamakosso.

© Adiac-Congo

Un A320 s’est écrasé dans le sud de la France

Un A320 s'est écrasé dans le sud de la France

Un A320 s'est écrasé dans le sud de la France
Un A320 s’est écrasé dans le sud de la France

François Hollande a déclaré mardi que les conditions du crash d’un Airbus dans les Alpes françaises « laissent penser qu’il n’y aurait aucun survivant » parmi les 148 personnes à bord.

Lors d’une brève déclaration à l’Elysée, le chef de l’Etat a déclaré: « Les conditions de l’accident, qui ne sont pas encore élucidées, laissent penser qu’il n’y aurait aucun survivant », lors « de ce drame qui s’est produit en France », près de Barcelonnette (Alpes-de-Haute-Provence).

La société Airbus a déclaré pour sa part n’avoir « aucune information » à ce stade sur les circonstances de l’accident de l’A320 de Germanwings (Airbus)

Il s’agit d’un avion de la compagnie Germanwings, filiale de Lufthansa, qui devait assurer la liaison Barcelone-Düsseldorf.

Selon des informations de presse, l’appareil s’est écrasé à la hauteur du massif « des Trois Evêchés ».

Selon la direction de l’aviation civile, l’appareil transportait 148 personnes dont six membres d’équipage. Le vol s’est déclaré en état de détresse à 10H47 locales (09H47 GMT), à proximité de Barcelonnette.

Un hélicoptère de la gendarmerie a ensuite confirmé le crash, selon la DGAC.

Selon Manuel Valls, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve se rend sur place.

« Le ministre de l’Intérieur se rend immédiatement sur place et je viens de demander l’activation de la cellule interministérielle de crise », a déclaré Manuel Valls.

« Nous ne savons pas les raisons de ce crash, nous craignons évidement que les 142 à 150 passagers et personnels de navigation soient aujourd’hui décédés vu les conditions de ce crash », a poursuivi le Premier ministre.

Par l’AFP