« Je vous demande de vous lever pour barrer la route à l’arbitraire ! Je vous demande de réclamer votre vote confisqué et volé. Cette victoire est la vôtre ! » Ces mots d’appel à la révolte sont ceux du général Jean-Marie Michel Mokoko, candidat à la présidentielle au Congo-Brazzaville du 20 mars, arrivé en troisième position selon un décompte officiel qu’il conteste.
« Il est temps de cesser d’avoir peur », ajoute-t-il en citant la Conférence nationale souveraine, en 1991, qui avait contraint Denis Sassou-Nguesso à quitter le pouvoir et ouvert la voie au multipartisme. Cet épisode s’était terminé par la reconquête du pouvoir par les armes par M. Sassou-Nguesso en 1997.

l'assassin de ngouabi
24 mars 2016 at 16 04 40 03403
que la France ne vienne plus nous parler a propos de bien mal acquis ou des disparus du beach tot ou tard parceque là le peuple s’en procuré l’occasion de conduire ce criminel en prison et comme d’habitude c’est l’élysées qui tripote encore mon pays tout comme en 97.