Un seul candidat libérien a été admis au baccalauréat 2016 des pays anglophones d’Afrique de l’Ouest sur un total de 42.000.
Armstrong Gbessagee, 18 ans, fréquentait l’école J.J. Roberts United Methodist, un établissement situé dans la capitale, Monrovia,
« Peu importe où vous êtes, nous ne sommes pas moins intelligents que nos autres camarades de l’Afrique de l’Ouest. J’espère que d’autres voient en cela, une motivation. », a affirmé le nouveau bachelier.
Ces examens ont eu lieu au Ghana, au Nigeria, en Sierra Leone, au Libéria et en Gambie pour évaluer les niveaux des élèves.
Selon les résultats publiés par le Conseil d’Examen d’Afrique de l’Ouest (WAEC), en 2013, presque tous les 25.000 candidats libériens ont échoué le test d’admission à l’Université du Libéria, l’une des deux universités publiques du pays.
La présidente Ellen Johnson Sirleaf a réagi, considérant le système éducatif libérien de « gâchis ».
©BBC

Boureima Midjiri Togo
18 octobre 2016 at 18 06 49 104910
Ce dernier merite une consideration de l’Etat Liberien pour sa brillante participation
Boureima Midjiri Togo
18 octobre 2016 at 18 06 51 105110
Je suis très ravi de cet acte
JDM
21 novembre 2016 at 17 05 51 115111
Se comparer au Libéria est très irresponsable lorsqu’on sait par ou est passé ce pays, finalement il arrivera un jour ou nous banaliserons le crime et la répression est se comparant aux regimes les plus répressifs et criminels du monde comme celui de Botha, Hitler, Assad, Sans oublier les dégâts causés par l’esclavage et la colonisation. Le Congo ne peut se permettre de se comparer aux autres pays d’Afrique, car il fut une référence de l’éducation en Afrique, et à ce que je sache, le Libéria ne le fut jamais
JDM
18 octobre 2016 at 21 09 47 104710
Quelle manière de faire du veritable ridicule ? Comment peut -on insensible et inconscient de comparer le système éducatif Libérien et la Sierra Leone à celui du Nigeria ou du Ghana ? Nous n’avons pas encore oublié la période sombre traversée par des deux pays , la guerre, les enfants soldats, les crimes, les épidémies qui ont dévastés sont encore très predents dans la mémoire des habitants des deux pays, alors de quoi parlons ? Pensons nous que ce qui se fait actuellement dans la région se règlement après la répression ? Il faudra y mettre des gros moyens pour éviter que le traumatisme et séquelles ne déstabilisent les populations.