L’opposant et candidat à la dernière présidentielle en République du Congo devra se présenter en chambre d’accusation de la cour d’appel de Brazzaville, accusé pour atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat et détention illégale d’armes et de minutions de guerre.
Jean-Marie Michel Mokoko sera pour la première fois en audience publique devant un juge trois mois après son arrestation.
Plusieurs acteurs politiques du Congo, en détention à la maison d’arrêt, comparaitront également.
