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Eni-Congo
©DR

La République du Congo a mis un terme aux accords commerciaux le liant, depuis novembre 2010, à la société pétrolière Eni-Congo. Cette décision permet au gouvernement congolais d’économiser 171 000 barils par mois. 

Une lettre conjointement signée par les ministres des hydrocarbures, Jean-Marc Thystère Tchicaya et des Finances et du budget, Calixte Nganongo notifie à Eni-Congo, en des termes très clairs, le terme de ces accords : « l’échéance prévue pour la récupération totale des investissements [d’Eni-Congo] est arrivée à son terme depuis le 20 janvier 2019, avec un dernier prélèvement d’une quantité 141760 barils ».

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Selon cette lettre datée du 24 avril 2019, les prélèvements mensuels qui s’élèvent à 171 000 barils s’inscrivaient dans le cadre du suivi de la récupération des coûts d’investissements liés à la construction par Eni-Congo de la CEC et tous les projets intégrés sur les droits à huile de l’Etat congolais.

Le gouvernement congolais enjoint ainsi Eni-Congo à « ne plus prélever les 171 000 barils qui servaient mensuellement au remboursement des CAPEX préfinancés ».

La même lettre annonce un audit des CAPEX et de prélèvements y relatifs, dans un délai raisonnable, par les services des deux ministères. 

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