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La semaine en cours est marquée par un important événement à caractère économique. Il s’agit de l’annonce, pour la énième fois, de la construction du barrage hydroélectrique de Sounda, sur le fleuve Kouilou.
Une entreprise publique chinoise, s’est dite capable de commencer les travaux avec ses propres capitaux. Son directeur général a été reçu par le président Denis Sassou Nguesso, qui est décidé lui aussi à réaliser le vieux projet du premier président du Congo, l’abbé Fulbert Youlou, et que le président Pascal Lissouba a tenté de relancer en 1997 avec l’aide de partenaires sud-africains. Ce barrage devrait combler intégralement, et même au-delà, les besoins du pays en électricité et mettre fin aux délestages récurrents.
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Mais, il y a un débat d’experts qui doit démontrer s’il est nécessaire que le Congo s’endette de nouveau pour une telle réalisation. «Pendant les années de l’embellie économique, c’est dans l’euphorie que se sont faites les grandes réalisations qui ont conduit à un endettement excessif. Aujourd’hui, les mêmes causes risquent de produire les mêmes effets», a fait remarquer un expert, sous couvert de l’anonymat.
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