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Dimanche dernier, dans un lieu de culte à Ounzé, un quartier de la ville de Brazzaville, se tenait la messe dominicale, mais les choses vont vite tourner au vinaigre, quand le pasteur Gerard Oko va se rendre compte que, les offrandes avait seulement donné 15 000 Francs.
Très vite, notre «homme de Dieu » va entrer dans une vive colère, accusant les fidèles de son église de réveil d’être habités par « un esprit de pauvreté », arguant même, que, c’est un sacrilège que le culte du dimanche ne puisse rapporter que la modeste somme de 15 000 Francs.
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Gerard Oko va poursuivre son sermon devant toute l’assistance en déclarant, « Dieu n’aime pas la pauvreté, tout l’argent de ce monde lui appartient et le plus normal est de le lui reverser chaque dimanche. »
Mais certains fidèles raconteront plus tard que le pasteur avait pour projet d’envoyer sa fille faire des études au Maroc, et espérait ainsi financer les frais de scolarité nécessaires pour une telle initiative. Hélas, la quête du dimanche l’a traumatisé.
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3 Comments
Puisqu’il pense que dieu ou Jésus sont ses sauveurs,il n’a qu’à leurs demander de remplir ses poches. Il faut être masochiste ou complètement zinzin pour croire que cet homme est un homme de dieu,pour moi c’est un escroc qui profite du désarroi du
Peuple congolais qui n’a plus à la bouche dieu ou Jésus.
Quelle ironie,notre beau pays qui a tout pour être un paradis sur terre en est réduit à quémander. C’est une responsabilité collective.Une question à laquelle nous devons tous un jour nous poser:aimons nous notre pays?
Quand je vois ce nous en avons fait,j’en doute (la religion est l’opium du peuple)
Merci pour votre réponse pertinente. Si l’un d’eux entend ce genre de discours , il dira que tu es devenu fou ou tu n’es plus croyant. Nous , africains on attend à ce que Dieu lui même descende pour résoudre nos problèmes et construire le continent africain pour nous accompagnés de ses anges célestes. Merci.
Ça aussi, c’est un article??. Les faits sont mal présentés, aucune consistance dans le texte. On croirait la rédaction d’un petit lycéen sur un fait vécu. Pfff.
J’AI perdu mon temps.