Le Président Denis Sassou N'guesso

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Le dossier des Biens Mal Acquis (BMA) revient au devant de la scène après le procès de Theodorin Obiang Nguema (Vice président de la Guinée Equatoriale) et la mise en examen de Edgard Nguesso (neveu de DSN) par la justice française.

Comme d’habitude, la réaction de la présidence congolaise ne s’est pas fait attendre. C’est Jean-Bapriste Ondaye, Secrétaire général de la présidence congolaise qui est monté au créneau pour dénoncer “la campagne médiatique orchestrée à l’échelle internationale, contre le président de la république Denis Sassou Nguesso et sa famille dans l’affaire dite des “Biens Mal Acquis…”. Jean Baptiste Ondaye rappelle aussi la plainte de Denis Sassou-Nguesso contre Transparency international déposée en 2015 à Paris “pour tentative d’escroquerie au jugement”. La présidence congolaise conteste aussi la constitution en tant que “partie civile” de la section française de l’ONG Transparency dans l’affaire des BMA, tout en faisant “pleinement confiance en la justice française” pour dire le droit en sa faveur.

Ce communiqué de la présidence congolaise publié le 15 juillet vient conclure une semaine chargée dans le dossier des BMA en France.

Théodorin Obaing Nguema a été condamné par la justice française mercredi 12 juillet à trois ans de prison et la confiscation de ses possessions dans l’hexagone portant sur 150 millions d’euros. La famille Nguesso de son côté a été informée de la mise en examen le 11 juillet de M. Edgard Nguesso pour «blanchiment de détournement de fonds publics».

Avec Ziana TV

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