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Les Etats-Unis ont annoncé jeudi avoir sanctionné le lieutenant général François Olenga, chef de la « Maison militaire » du président Joseph Kabila, à qui ils reprochent de « contribuer aux entraves dans le processus démocratique ».

Selon Washington, cet ancien chef d’état-major général des Forces armées de la RDC (FARDC) « aurait également harcelé les opposants politiques, procédé à des arrestations et exécutions arbitraires en empêchant l’action des observateurs de l’ONU ».

En conséquence, « les probables avoirs du général François Olenga aux Etats-Unis sont gelés, son complexe touristique Safari Beach (situé à l’Est de la capitale congolaise) est également ciblé », rapporte l’administration américaine dans un communiqué.

Fin décembre 2016, neuf hauts responsables de l’appareil sécuritaire congolais avaient déjà été sanctionnés par Bruxelles et Washington, accusés de violences ou d’entrave à l’élection présidentielle censée se tenir en décembre 2016. 


Le 28 septembre 2016, l’administration américaine avait annoncé des sanctions financières contre les généraux Gabriel Amisi Kumba et John Numbi, respectivement commandant de la première zone de défense de 
l’armée congolaise et ancien chef de la police nationale congolaise.

Au mois de juin de l’année dernière, l’administration américaine avait annoncé des sanctions financières contre le chef de la police de Kinshasa, général Célestin Kanyama, pour sa « responsabilité dans des violences et des disparitions dans la capitale de la République démocratique du Congo ». 


Lundi 29 mai dernier, c’est l’Union européenne qui a annoncé des sanctions similaires, pour les mêmes motifs, contre 9 officiels congolais. 


Par l’APA

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