Congo – Musique : Caprice Dicon, un artiste bourlingueur

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Caprice Dicon. Peu de personnes le connaissent, malgré ses nombreuses aventures. Pourtant, depuis près de 20 ans, ce Congolais est présent dans la scène musicale.

C’est en 1998 que Caprice Dicon commence à jouer la rumba dans un groupe nommé Melo Music. Ensuite, il a côtoyé d’autres groupes en compagnie de Panama Fu Kilawu. En 2001, le Congolais lance son groupe Classe Music dont les  répétitions se passent à Pointe-Noire. Apres la mort de son père, Caprice Dicon rejoint Brazzaville. Et au cours des funérailles de son papa, il assure la guitare. C’est à cet instant qu’il entame la préparation de l’album Kimanissa Mpaka. De là, il enregistre un titre au studio Ebenezer à Brazza.

En 2003 Dicon revient à Pointe-Noire où il commence apprendre la Mao (musique assistée a l’ordinateur) dans un studio de la place. Il y  reste pendant 3 ans puis il rachète et devient propriétaire du studio. Il assure l’enregistrement des groupes de la place et plusieurs artistes de tout genre de musique, comme TH musica, Achille Mouebo…

Il sort son premier album “Plus ou Moins” en novembre 2008 qui fait de lui lauréat “Tam-Tam d’or” en février 2009. Il gagne le prix du meilleur clip et de la meilleure chanson 1000 watt.

Deux ans après il sort un second opus intitulé “Niveau par Niveau », produit en France. Ce qui lui permet de remporter le prix “Tchikounda” en 2010  dans la catégorie meilleur chant et meilleur clip. En 2016, Caprice Dicon fait la connaissance de “”Hethymologie production” et noue de bonnes relations d’amitiés. Il fait de cette personne son manager et ensemble, ils préparent le nouveau opus « Plugins » dont la sortie est prévue début juin 2017.

 

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Lutte contre le terrorisme: un présumé djihadiste congolais arrêté en Allemagne

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L’Italie a aidé l’Allemagne à démanteler une cellule « radicalisée » basée à Berlin et composée de 11 membres dont certains étaient en contact avec Anis Amri, l’auteur présumé de l’attentat contre le marché de Noël de Berlin, a annoncé la police italienne.

Les enquêteurs « ont réussi à identifier 11 membres de la +cellule salafiste+ (…). Il s’agissait d’un groupe hétérogène, formé de militants résidant en Allemagne, âgés de 20 à 30 ans, avec un parcours identique de radicalisation », a expliqué la police dans un communiqué.

Les deux hommes sont soupçonnés de « participation (…) à l’association terroriste internationale » Etat islamique (EI) et de « financement des activités » d’EI à travers des collectes d’argent en Allemagne.
Ils ont été arrêtés début décembre lors d’un banal contrôle d’identité, qui a révélé que les autorités allemandes avaient signalé Soufiane Amri comme « sujet potentiellement dangereux ». Ils attendaient alors un ferry pour la Grèce, retardé par une grève, vraisemblablement pour gagner la Syrie via la Turquie.

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Le jeune Marocain a été expulsé vers l’Allemagne, tandis que le Congolais, qui n’avait pas de titre de séjour, a été placé dans un centre de rétention.
Dans les semaines qui ont suivi, les enquêteurs italiens ont pu établir que l’auteur présumé de l’attentat de Berlin, Anis Amri, faisait partie des contacts de Soufiane Amri, même si les deux hommes n’avaient pas de lien de parenté.

Après avoir mené leur enquête à partir des éléments fournis par la police italienne, les forces de l’ordre allemandes ont arrêté Soufiane Amri et d’autres membres du groupe le 31 janvier.
Ce vendredi, le ministère italien de l’Intérieur a en outre annoncé l’expulsion de deux hommes soupçonnés de sympathies terroristes, un Tunisien considéré comme « proche des milieux de l’extrémisme islamique » et un Egyptien qui avaient salué l’attentat de Berlin en décembre. Cette attaque au camion avait fait 12 morts et des dizaines de blessés.

Au total, l’Italie a expulsé 38 personnes pour ces motifs depuis le début de l’année, a précisé le ministère.

Par l’AFP

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Congo: un oléoduc de 1200 km pour le transport des produits pétroliers

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La Société Nationale des Pétroles du Congo (SNPC) projette de construire à court terme un oléoduc de 1200 km de long en trois ans avec le concours des partenaires au développement du Congo, afin de rendre les produits pétroliers disponibles à travers tout le pays, annonce une source digne de foi.

 Cette infrastructure partira de Pointe-Noire en passant par Brazzaville pour Ouesso, chef-lieu du département de la Sangha situé dans le nord du pays, a déclaré le 26 avril à Brazzaville, le Directeur Développement Aval Pétrolier à la SNPC, M. Norbert Mabiala, au cours de la clôture de la 3ème Conférence Internationale et Exposition sur les Hydrocarbures au Congo (CIEHC).

Cet oléoduc qui va rendre disponibles les produits pétroliers sur tout le territoire congolais et mettre fin à leur convoyage via certains pays comme la République Démocratique du Congo (RDC), va aussi renforcer la capacité de transit du Congo, grâce à sa situation géographique, selon la SNPC.

Le Congo fait partie des cinq premiers pays producteurs de pétrole en Afrique. La CORAF, principale raffinerie du Congo, comble à peine 35% des besoins locaux en matière des produits pétroliers, indique-t-on.

(ACI)

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Afrique: le Congo Brazzaville parmi les 16 pays les plus sécurisés

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Quinze pays africains dont le Congo Brazzaville se trouvent dans la catégorie des pays «à faible risque» sécuritaire, souligne le Cabinet conseil britannique Control Risks dans son rapport  «édition 2017 » publié récemment sur la carte annuelle des risques sécuritaires et politiques qui pèsent sur les entreprises et les personnes à travers le monde.

Il s’agit de Botswana, de la Namibie, du Congo-Brazzaville, du Gabon, du Bénin, du Ghana, de la Guinée, du Sénégal, du Malawi, du Cap-Vert, les Seychelles, du Sao Tomé & Principe, de la Maurice, de la Guinée Équatoriale, et du Maroc.

Publié au début du mois d’avril et cité par une source bien informée, ce rapport souligne que les investisseurs internationaux peuvent, en toute sécurité, s’installer dans ces six pays pour faire des affaires, y créer des filiales ou envoyer leurs représentants pour obtenir de nouveaux marchés sans que la sécurité de leurs employés ou leurs intérêts ne soient menacés.

Sept pays africains présentent un risque politique faible à savoir le Maroc, le Sénégal, le Cap-Vert, les Seychelles, l’Iles Maurice, le Botswana et la Namibie. Trois pays seulement présentent un risque politique extrême notamment la Somalie, la Centrafrique et le Burundi, précise la source.

Selon ce rapport, aucun pays africain ne figure dans la catégorie des pays présentant un risque sécuritaire insignifiant.

La mesure des risques sécuritaires se base sur huit indicateurs à savoir le vol, l’enlèvement, la destruction des biens, l’extorsion, la fraude, la perte de contrôle de la gestion, le vol d’information et l’expropriation.

La mesure des risques politiques se base, quant à elle, sur sept critères qui sont l’insécurité juridique, l’exposition à la corruption, la nationalisation, l’expropriation, les réglementations défavorables, les atteintes à la réputation et les sanctions internationales.

(ACI)

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