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En termes d’infrastructures, c’est le plus important aéroport de la zone d’Afrique centrale. Un peu plus 1 million de passagers y transite, mais les services semblent ne pas plaire aux usagers.
«Malheureusement, l’offre de services au sol laisse encore à désirer», à l’aéroport international Maya -Maya de Brazzaville, se plaint le Représentant d’une importante compagnie aérienne. Air France a dû annuler son vol pour manque de kérosène. L’appareil a passé la nuit dans la capitale congolaise pour attendre que les autorités aéroportuaires camerounaises lui donnent l’autorisation de se ravitailler en kérosène à l’aéroport Yaoundé -Nsimalem.
La compagnie Royal Air Maroc a été confrontée à la même difficulté. La conséquence directe, c’est que le transporteur est contraint de supporter les frais de stationnement. Il convient de noter le toucher du tarmac coûte 600.0000 francs Cfa à chaque compagnie qui desserte Brazzaville où Pointe-Noire. A cela il faut y adjoindre les frais de stationnement et autres taxes connexes, que l’on dit plus élevés que dans les principaux aéroports de la sous région.
Une boutique à louer à l’aéroport international Maya-Maya coûte 3 millions de francs Cfa par mois, contre moins d’un million à Libreville, Malabo, Douala et Yaoundé.
Qui plus est, l’aspect sécuritaire est, aux dires des fins limiers de l’aviation civile, «une affaire d’amateurs». Le ministre congolais des Transports est appelé à rendre plus compétitif une plate forme aéroportuaire appelée à devenir le «Hub» de l’Afrique centrale.
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