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La direction générale d’Ecair à Brazzaville essaye de minimiser la dernière décision de L’Agence sécurité navigation aérienne Afrique Madagascar (Asecna) de suspendre «à Ecair la fourniture des services de la navigation aérienne sur toutes les plates formes Asecna».
«Nous avons engagé des négociations avec le siège de l’Asecna», a révélé une source proche du dossier. Selon certaines indiscrétions, le cumul des montants dus par Ecair à l’Asecna avoisinerait les 800 millions de FCFA. De leur côté, l’Anac, Aerco, Bgfi Bank, hôtels, Snpc aviation, restaurants et autres prestataires de services lui réclameraient à la compagnie un peu plus le double. Pis encore, la dette salariale due aux employés varie entre 2 et 3 mois pour certains d’entre eux. Des passagers sont abandonnés entre Paris, Bamako, Douala et Pointe-Noire.
#Congo : @ECongoAirlines, les avions cloués au sol #Ecair https://t.co/0OZxkFfcJt pic.twitter.com/SsE1ZVkHFs
— ICIBRAZZA (@ICIBrazza) 22 octobre 2016
Le Congo comptait faire de Brazzaville le «Hub » de l’Afrique centrale dans le domaine du transport aérien. Mais, Ecair bat déjà de l’aile en quelles années d’existence.
Une image qui contraste sans doute avec le grand sourire de Beyina Moussa, directrice générale à la Une d’un grand magazine panafricain.
Une chose est certaine: Ecair souffre d’une mauvaise gestion. Et ce ne sont pas les 20 milliards de Fcfa obtenus auprès de la Banque de Développement des Etats de l’Afrique Centrale (BDEAC), à la suite des pressions politiques, qui vont lui permettre de minimiser ses coûts d’exploitation pour rentabiliser ses principales dessertes.
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