[GARD align= »center »]

Le ministre Gilbert Mokoki présidant la séance de travail avec l'équipe de Transnet
Le ministre Gilbert Mokoki présidant la séance de travail avec l’équipe de Transnet

Après une étude de faisabilité menée récemment à Pointe-Noire et Brazzaville, les responsables de Transnet entendent rendre leur rapport fin juin, en attendant le début des travaux.   

Une séance de travail sur le sujet a réuni, le 18 juin dernier à Brazzaville, le ministre congolais des Transports, Gilbert Mokoki et la délégation sud-africaine conduite par son ambassadeur au Congo, Richard Baloyi. Pour le diplomate sud-africain, cette activité s’inscrit dans le cadre des relations d’amitié entre Brazzaville et Pretoria.      

Quant au responsable marketing de l’entreprise sud-africaine, Kholofelo Edgar Matsaka, le projet de réhabilitation du Chemin de fer Congo-océan (CFCO) s’inscrit dans le cadre d’un accord de partenariat qui existe entre la société Transnet et le ministère congolais des Transports.

« Nous avons, à cet effet, pris l’engagement de bien vouloir envoyer des experts pour venir sur place à Pointe-Noire regarder l’état dans lequel se trouvent les matériels afin de dresser une évaluation », a confié Kholofelo Edgar Matsaka au sortir d’une réunion de travail samedi avec le ministre Gilbert Mokoki.

L’ambition des parties congolaise et sud-africaine, explique le responsable de Transnet, est de faire en sorte que le transport ferroviaire soit efficient au Congo afin, dit-il, de faciliter la croissance économique du pays. « Avec le ministre, nous avons décidé que la délégation reparte d’abord pour l’Afrique du Sud déposer un rapport auprès des superviseurs, avant de dépêcher des techniciens d’ici à la fin du mois de juin », a annoncé Edgar Matsaka.

Fiacre Kombo

[GARD align= »center »]

 

Recommended Posts

No comment yet, add your voice below!


Add a Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *