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L’Union africaine (UA) et la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC) ont annoncé l’envoi d’observateurs à Brazzaville, pour observer les élections présidentielles au Congo.
La délégation de la CEEAC, conduite par le chef de l’unité d’appui électoral, Pierre Siméon Athomo-Ndong, est arrivée à Brazzaville le 10 mars pour travailler jusqu’au 23 du même mois.
L’Organisation internationale de la Francophonie, a, quant à elle, dépêché à Brazzaville, une mission conduite par l’ancien président de la transition au Burkina Faso, Michel Kafando qui, du 12 au 16 mars, tentera de « promouvoir un climat politique apaisé dans la perspective de l’élection présidentielle du 20 mars 2016 », indique un communiqué de l’organisation.
La question des observateurs de la prochaine élection présidentielle au Congo est devenue un des points saillants de l’actualité politique dans ce pays d’Afrique centrale, après l’annonce faite par l’Union européenne, le 19 février, de ne pas envoyer d’observateurs à cette élection.
Dans un communiqué, l’UE estimait que « les réformes introduites par la loi électorale du 23 janvier au Congo apparaissent limitées et insuffisantes » au regard des recommandations faites par une mission européenne d’observation lors d’élections antérieures.
Suite à une mission à Bruxelles du ministre congolais des Affaires étrangères, les Européens ont affirmé que les représentations diplomatiques des Etats membres de l’UE accréditées au Congo vont assurer cette mission d’observation de la prochaine présidentielle.
« Qu’ils soient venus de France, des Pays-Bas, de l’Allemagne ou de l’Amérique, où que l’on ait pris des ambassadeurs en poste à Brazzaville ou à Kinshasa pour venir observer, il s’agit d’une mission d’observation », laissait entendre Henri Bouka, le président de la CNEI, au sortir d’une rencontre avec des diplomates occidentaux.
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1 Comment
que dieu benisse le congo pour que ça se passe très bien