[GARD align= »center »]

Quelques jours seulement après la présentation d’un groupe de malfaiteurs à la presse, les services de police de la ville viennent à nouveau de présenter le  vendredi 27 novembre à la presse au siège du commissariat central de la police, d'autres présumés hors la loi arrêtés dans quelques quartiers de la ville océane.
Quelques jours seulement après la présentation d’un groupe de malfaiteurs à la presse, les services de police de la ville viennent à nouveau de présenter le vendredi 27 novembre à la presse au siège du commissariat central de la police, d’autres présumés hors la loi arrêtés dans quelques quartiers de la ville océane.

Quelques jours seulement après la présentation d’un groupe de malfaiteurs à la presse, les services de police de la ville viennent à nouveau de présenter le  vendredi 27 novembre à la presse au siège du commissariat central de la police, d’autres présumés hors la loi arrêtés dans quelques quartiers de la ville océane.

« La machette n’est pas une canne de luxe, elle est une arme blanche dont la mauvaise utilisation peut entrainer des victimes graves,  les bandits arrêtés en flagrant délit répondront de leurs actes conformément à la loi. Il s’agit des jeunes personnes qui opèrent avec des  machettes, bouteilles, couteaux et autres dans des groupes criminels et  des voleurs appelés Koulouna ,  Bébé noir, Bébé zoa  et autres » , a indiqué le colonel Constant Ayouka porte- parole de la police à Pointe-Noire et au Kouilou.

Selon lui, Ces derniers sont saisis  dans les cas de  flagrance  par la police en possession de plusieurs armes blanches. Ils sont interpellés dans différents quartiers par la police à l’occasion de ses diverses patrouilles à travers l’ensemble de la ville. « Conformément à leurs agissements les jeunes bandits entrainent de nombreux victimes dans certains quartiers périphériques de Pointe-Noire notamment MPaka, Patra, Tchali, quartier cullotte, Mongo- mpoukou », a renchéri le porte-parole de la police de Pointe- Noire et du Kouilou. 

 L’orateur invite une fois de plus la population de Pointe-Noire à  un devoir républicain et citoyen afin   de mieux collaborer avec les services de police en dénoncant les éventuels fauteurs de troubles à l’ordre public à travers les quartiers de la ville.

En effet, interrogés  par la presse sur le mobile de leur arrestation, Kimba Rolland et Rodrigue alias « kokobara » ont affirmé appartenir à des groupes criminels appelés Bébé zoa et Bana ya quartier Culotte.

S’exprimant pour sa part sur  la question et les résultats  apportés depuis  l’opération de sécurisation de la ville « Araignée II » il y a quelques jours, le directeur départemental de la police au Kouilou et à Pointe-Noire, le colonel de police Serge Pépin Itoua-Poto a réaffirmé la détermination et l’engagement de la police à protéger les personnes et  leurs biens à Pointe-Noire et au Kouilou. « La police ne laissera jamais les populations elles mêmes s’occuper des criminels et des bandits dans les quartiers, les services de police prendront chaque jours le dessus sur les hors la loi et les fauteurs de trouble », a-t-il signifié.

Séverin Ibara

____________________________________________________________________

LIRE AUSSI Pointe-Noire : six malfaiteurs présentés à la presse

Recommended Posts

1 Comment

  1. Très cher,
    Etre journaliste c’est être détenteur d’un grand pouvoir,le journaliste est là pour informer et décrié les abus de la société ,la police pour faire respecter la loi.Sommes nous dans un état de droit ? Oui , donc vous journaliste I.S êtes comme ces présumes bandits tous vous aviez violés la loi.Eux en terrorisant et vous en publiant des images à découvert des citoyens présumés même si flagrant délit il y’a.Attendez qu’ils soient condamnés pour le faire c’est ce que dit la loi.


Add a Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *