D’après le ministre Mabiala, le référendum demandé par Sassou n’est pas un «coup d’Etat constitutionnel»

Le ministre des affaires foncières et du domaine publique, M. Pierre Mabiala

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Le ministre des affaires foncières et du domaine publique, M. Pierre Mabiala
Le ministre des affaires foncières et du domaine publique, M. Pierre Mabiala

Le ministre des affaires foncières et du domaine publique, M. Pierre Mabiala, a appelé le 29 septembre à Dolisie, dans le Niari, les Congolais à voter «OUI» au référendum pour changer la Constitution du 20 janvier 2002, afin d’épargner le pays de toutes situations malheureuses au cas où le pouvoir présidentiel en 2016 pourrait basculer à l’opposition minoritaire au Parlement.

S’exprimant au cours d’une conférence de presse, M. Mabiala a déclaré cette situation de cohabitation rendra impossible le vote par le Parlement du budget que présentera le Président issu de l’opposition pour faire fonctionner les institutions de la République et assurer le bien-être des Congolais, précisant que «cela pourra plonger le pays dans le chaos».

D’après le ministre Mabiala, le référendum demandé par le Président de la République, M. Denis Sassou-N’guesso n’est pas un «coup d’Etat constitutionnel» comme l’a déclaré l’opposition puisqu’il a reçu l’avis favorable des Cours constitutionnelle et Suprême et des participants au dialogue de Sibiti avant d’appeler les Congolais au référendum.

«Consulter le peuple pour lui permettre d’exercer sa souveraineté sur un sujet qui fait l’objet de controverse n’est pas un coup d’Etat constitutionnel», a-t-il indiqué, ajoutant que le changement de la Constitution rentre dans le cadre de la promesse républicaine de modernisation du pays.

S’agissant d’un supposé troisième mandat que le Président Sassou-N’guesso pourrait briguer, le ministre Mabiala a affirmé que ce dernier n’a jamais dit au peuple congolais qu’il veut changer la Constitution du 20 janvier 2002 pour avoir un troisième mandat. Seulement, a-t-il dit, si l’on vote «OUI» au référendum, le Congo sera dans une nouvelle République et les compteurs seront à zéro, donnant ainsi la possibilité au Président Sassou-N’guesso de se présenter à l’élection présidentielle de 2016.
Le ministre a fustigé le comportement des partis politiques de l’opposition qui appellent au boycott de la révision des listes électorales, violant ainsi l’article 55 de cette même Constitution qu’ils prétendent défendre.

Concernant la communauté internationale qui a souhaité que les constitutions ne soient plus changées en Afrique à la fin du nombre de mandats autorisés, afin de se représenter de nouveau, il a souligné que le Congo est un pays souverain et cette souveraineté ne peut être marchandée.

«Ce n’est pas le Président Sassou-N’guesso qui a voulu du changement de la Constitution, mais plutôt le peuple congolais en commençant par les cadres et sages du Niari à Dolisie», a-t-il signifié.

Dans son discours introductif, le ministre Mabiala a rappelé au public venu très nombreux au cours de cette conférence de presse aux allures de meeting, la démarche suivie par le Président de la République, avant d’appeler ses compatriotes au référendum qui est un moyen d’expression directe du suffrage universel libre, égal et secret.

Il a aussi expliqué ce qu’est la souveraineté du peuple et le référendum constitutionnel, tout en donnant des exemples d’autres pays qui ont procédé de même pour changer leur Constitution.

ACI

Pointe-Noire Rentrée scolaire : les élèves ne se sont pas présentés le premier jour

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Archive: une salle de classe
Archive: une salle de classe

La rentrée scolaire a démarré ce jeudi 1er octobre sur toute l’étendue du territoire national. À Pointe-Noire, le constat a été désolant, les enseignants ont honoré leur part de responsabilité, alors que les élèves ont quant à eux, été les grands absents du jour.

La rentrée scolaire a été décevante ce jeudi 1er octobre dans la ville océane, avec des salles de classe vides et des cours d’école désertes. Cette situation a tendance à se répéter chaque année, le premier jour de la rentrée des classes, où les élèves se comptent du bout des doigts.

Après trois mois de repos, les élèves ont encore du mal à quitter leurs lits pour retrouver le chemin de l’école. Prévue pour ce jeudi 1er octobre, la rentrée des classes a été, une fois de plus, décevante, dans la majorité des écoles de Pointe-Noire.

En effet, les élèves ont une fois de plus joué aux capricieux en restant tranquillement à la maison, tandis que les enseignants ont répondu présents à ce rendez-vous annuel pour marquer le début de l’année scolaire 2015-2016.

Par exemple, à l’école Lien Athanase Dambou, située dans le premier arrondissement Lumumba, sur 409 élèves attendus, aucun élève n’a été reçu. Même scénario du côté de l’école de la Révolution, située également dans le même arrondissement où, sur 490 élèves, à peine 12 élèves se sont présentés.

Rappelons que même si les élèves ne se sont pas présentés en masse dans leurs écoles respectives, en ce premier jour de la rentrée scolaire, cela n’a pas empêché, les personnels enseignant et administratif de démarrer l’année scolaire. Une chose est aussi certaine, nombreuses sont les écoles privées de la ville qui ont programmé la date du lundi 5 octobre comme celle de la rentrée des classes, d’où perturbation au niveau de la date arrêtée par l’Etat.

Hugues Prosper Mabonzo

Burkina: Fin de parcours pour le général putschiste Gilbert Diendéré

Gilbert Diendéré

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Gilbert Diendéré
Gilbert Diendéré, l’ex-chef d’état-major de Blaise Compaoré à la tête des putschistes

Le général putschiste Gilbert Diendéré a été remis aux autorités de la Transition, a-t-on appris de source officielle. Il se trouvait à l’ambassade du Vatican au Burkina Faso. Il avait assuré, dès mercredi, avoir l’intention de se mettre à la disposition de la justice. Selon certaines sources, il négociait des garanties de sécurité pour lui et sa famille.

RDC – Lambert Mende : « Vous Croyez que le créateur peut avoir peur de sa créature »

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Le ministre de la Communication et Médias, Lambert Mende Omalanga, a déclaré mercredi sur le compte Twitter du ministère que la démission de Moïse Katumbi du Parti pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) n’a rien d’étonnant.

« La démission de M. Moïse Katumbi n’a rien d’étonnant dans la mesure où il avait multiplié ces derniers mois des déclarations hostiles et calomnieuses à l’encontre du Président Joseph Kabila et de la Majorité qui l’avait porté à la tête du Katanga en 2006 », a affirmé le ministre Mende, membre du bureau politique de la Majorité présidentielle (MP) et porte-parole du gouvernement, en réaction à la démission de l’ancien gouverneur du Katanga.

« Ses accusations au sujet d’une prétendue volonté du pouvoir de violer la constitution relèvent d’une affabulation motivée par le souci de complaire à des milieux impérialistes qui n’acceptent pas la diversification des partenariats extérieurs pour le développement de la RDC entreprise par Joseph Kabila », a ajouté le ministre.

Selon Lambert Mende, autorité morale de la Convention des Congolais Unis (CCU) parti membre de la Majorité présidentielle, « certains partenaires traditionnels du pays, nostalgiques d’un Congo toujours soumis à leur bon vouloir, ont suscité la dissidence du groupe dit G7 auquel Katumbi est intimement lié et dont les membres ne reculent devant aucune félonie pour empêcher le régime de Kabila de réussir le pari de l’émergence ».

Ancien gouverneur du Katanga (sud-est de la RDC) démembré en quatre nouvelles provinces, Moïse Katumbi Chapwe avait annoncé mardi qu’il démissionnait du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), membre de la Majorité présidentielle. L’annonce de sa décision intervient au lendemain de la dissidence, de la MP, d’un groupe de partis politiques dits « G7 », auquel Katumbi parait intimement lié, rappelle-t-on.

ACP

RDC- Katumbi : «Si vous parlez de trahison parce qu’on veut respecter la constitution, je suis désolé»

l'ancien gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, lors d'une interview, le 2 juin 2015 à Lubumbashi, en RDC|AFP

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Le gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, lors d'une interview, le 2 juin 2015 à Lubumbashi, en RDC|AFP
Le gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, lors d’une interview, le 2 juin 2015 à Lubumbashi, en RDC|AFP

« J’ai déposé en bonne et due forme parce que je suis entré au PPRD, parce que le PPRD qui était mon parti, prônait la démocratie. Et quand je vois là où nous sommes en train de partir, je me suis dit: je dois quitter le PPRD. Pour les autres qui disent que Moïse Katumbi vient de trahir, je suis désolé parce que quand on dit la vérité, peut-être que c’est ça la trahison. Moi je considère les gens qui ne veulent pas écouter, les gens qui voudront dans notre pays changer la constitution, les gens qui voudront à tout prix que nous ne puissions pas avoir des élections en 2016, les gens qui veulent nommer les commissaires spéciaux, c’est ça la trahison. Mais si vous regardez, depuis que je suis venu au pouvoir j’ai dit je vais respecter les textes, je vais respecter la constitution. Si vous parlez de trahison parce qu’on veut respecter la constitution, je suis désolé. 

Vous savez, moi j’étais en Zambie avec le président Ciluba, il y avait des gens qui voulaient que le président Ciluba puisse briguer un troisième mandant. J’étais là en Zambie, j’étais un grand opérateur économique, parmi les premiers opérateurs économiques en Zambie. En ce moment-là, je préfinançais la Gecamines et le magasin du peuple. Le président Ciluba m’a demandé conseil, il voulait savoir s’il pouvait « glisser » ou avoir un troisième mandat. Je suis allé lui dire que la population pour le moment ne veut pas que vous puissiez continuer. La population veut que vous soyez le père de la démocratie. Mais il a eu des ministres qui lui ont dit de forcer. À la fin, Ciluba a perdu sa crédibilité. Ces mêmes ministres qui disaient aux autres qu’ils avaient trahis, sont venus travailler avec Mwanawassa. On le voit aussi, le général Mahele qu’on a tué dans notre pays parce qu’il avait dit la vérité à Mobutu. On l’avait tué et traité de traitre. Les mêmes gens qui ont tué le général Mahele dans notre pays travaillent avec nous. Quand on parle de trahison, je ne suis pas d’accord.

Avant la mort du président Ciluba, il est venu me voir avec son épouse pour me dire merci. Il m’a dit: Moïse, j’étais très fâché contre toi mais je sais que tu es une personne qui m’aimait beaucoup parce que tu m’avais dit la vérité. Les autres protégaient leurs fauteuils. Il y avait même des gens qui étaient chassés du pouvoir du côté de Ciluba qui voulaient rentrer. Pour avoir un poste, ils disaient: les autres ont trahi. Moïse a trahi quand il vous a donné ce petit conseil. Or, je n’étais pas un politicien, c’était un conseil. C’est ce que je ne voudrais pas dans notre pays qu’on amène au président Kabila. C’est un jeune président qui est venu travailler pour pacifier le pays, ramener la démocratie. Le père de la démocratie. L’histoire va rester dans notre pays. Je ne voudrais pas que les mêmes gens puissent dire : Ah, nous on disait au président Kabila de ne pas glisser, de ne pas avoir le troisième mandat, d’être souple. Et je ne voudrais pas à la fin que ces mêmes gens puissent changer et dire: le président Kabila n’écoutait pas. La vérité est têtue« .

Rwanda: la France n’a plus d’ambassadeur à Kigali

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Le président français et le président rwandais se saluent lors d'un sommet à Bruxelles en avril 2014.
Le président français et le président rwandais se saluent lors d’un sommet à Bruxelles en avril 2014.

Il y aura donc bien une vacance du poste d’ambassadeur de France au Rwanda. Cela fait cinq mois que la France a proposé au gouvernement rwandais la nomination du diplomate français Fred Constant au poste d’ambassadeur à Kigali mais pour l’instant, les autorités rwandaises n’ont pas donné suite à cette demande d’agrément. Après trois ans en poste, Michel Flesch a donc quitté ses fonctions mercredi 30 septembre sans effectuer de passation de pouvoir.

Cinq mois, un délai « conforme à la procédure habituelle » et qui « n’a rien d’anormal », assure le Quai d’Orsay. « Nous sommes attachés à une coopération bilatérale constructive et tournée vers l’avenir avec le Rwanda », poursuit Paris.

Mais selon une source diplomatique française, au contraire, « un tel délai n’est pas neutre ». «Est-ce le signe d’un désintérêt ou d’une crispation ?, s’interroge cet officiel. Je crains que ce soit plutôt le signe d’un délitement supplémentaire des relations entre les deux pays. »

Contactées par RFI, les autorités rwandaises n’ont pas réagi. Une source diplomatique rwandaise se contente d’expliquer qu’il n’y a pas de problème particulier avec le candidat français. L’officiel proposé par Paris est un ancien ambassadeur délégué à la coopération régionale dans la zone Antilles – Guyane. Une autre source rwandaise estime que ce délai reflète l’état des relations entre les deux pays. « On ne peut pas dire que la France soit un partenaire privilégié », ironise-t-elle.

Lors d’un discours à l’occasion du 14 juillet, l’ambassadeur de France à Kigali avait reconnu que les relations les deux pays n’étaient « pas bonnes » et avait appelé de ses vœux à leur amélioration. Michel Flesch avait conclu en souhaitant à son successeur de connaître « plus de succès » que lui. Après une période de rapprochement, les relations entre la France et le Rwanda sont à nouveau au plus bas après que, l’année dernière, Paul Kagame a accusé Paris de participation directe dans le génocide de 1994.

Par RFI

La montée du terrorisme en Afrique inquiète le président Ali Bongo Ondimba

Le président gabonais Ali Bongo Ondimba

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Le président gabonais Ali Bongo Ondimba
Le président gabonais Ali Bongo Ondimba

Le président gabonais Ali Bongo Ondimba s’est inquiété de la montée de la menace terroriste en Afrique et a appelé la communauté internationale à renforcer son action contre des bailleurs de fonds de groupes tels que Boko Haram et Al-Chabaab, selon un communiqué de la direction de la communication présidentielle gabonaise parvenu à APA mercredi.

Rejetant dos à dos les groupes terroristes tels que Boko Haram en Afrique de l’ouest et Al-Chabaab dans l’est du continent, Ali Bongo Ondimba a, dans un discours prononcé lundi dernier, à l’Assemblée générale des Nations unies, exprimé son inquiétude face à la menace terroriste qui « ne cesse de s’amplifier ».Il a appelé la communauté internationale à redoubler d’efforts dans la lutte contre le terrorisme, notamment en s’attaquant aux bailleurs de fonds, qui alimentent ce phénomène, et en renforçant « la surveillance des circuits financiers » par lesquels transitent ces fonds.

Pour plus d’efficacité dans la lutte contre le terrorisme ainsi que pour mieux relever les autres défis mondiaux, le chef de l’État gabonais a également préconisé la réforme du Conseil de sécurité de l’ONU et la démocratisation de son fonctionnement.

Il a demandé une meilleure représentation des différentes régions du monde au sein de cette instance ainsi qu’une réforme du droit de véto pour en rationaliser l’exercice.

Le président gabonais s’est aussi inquiété des retards enregistrés dans les négociations préalables à la tenue du sommet sur le climat prévu à Paris (France) en décembre prochain.

Selon lui, le processus est encore loin du consensus nécessaire à la conclusion d’un accord global dans la capitale française.

Enfin, le chef de l’État gabonais a salué l’adoption, par l’Assemblée générale, à l’initiative du Gabon, d’une résolution sur le trafic des espèces sauvages.

Cette résolution traduit, selon lui, la volonté commune des pays d’origine, de transit et de destination, de venir à bout de ce fléau.

Par l’APA

Foot – Ldc : la Juve et le Real font carton plein, MU se relance

Cristiano Ronaldo

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Cristiano Ronaldo
Cristiano Ronaldo

Le Paris Saint-Germain de Serge Aurier et le Real Madrid de Cristiano Ronaldo ont tous deux remporté respectivement leur deuxième match de Ligue des champions, à l’extérieur. Les Red Devils ont gagné un match important chez eux contre Wolfsburg (2-1), alors que cette partie était bien mal engagée avec un but précoce des Allemands. Benfica a créé la sensation en s’imposant sur la pelouse de l’Atletico 2 à 1.

Les Tops:

Cristiano Ronaldo a inscrit les 500e et 501 buts de sa carrière professionnelle, clubs et sélection nationale confondus, mercredi soir en Ligue des champions avec le Real Madrid sur la pelouse de Malmö. CR7 a inscrit désormais 323 buts sous le maillot madrilène, toutes compétitions confondues, et égale la légende du Real Madrid, Raul, auteur de 323 buts toutes compétitions confondues sous les couleurs du club Merengue. Mais ce ne fut pas un grand Real face à Malmö malgré son doublé. Après avoir étrillé il y a quinze jours (4-0) le Shakhtar Donetsk, les Madrilènes se sont vite rendus maîtres du jeu sur la pelouse des champions de Suède mais sans trop d’éclat.

Le Parisens Serge Aurier s’est illustré avec le Paris Saint-Germain pour son premier match en Ligue des champions. Résultat : un but et une passe décisive ! Le PSG a battu le Chakhtior Donetsk 3-0. « Le coach nous a tous félicités. On a pas fait une bonne seconde mi-temps mais on a été costauds. On était venus chercher un résultat, c’est chose faite. On a su se rendre ce match piège facile », a raconté Serge Aurier à l’issue de la rencontre.

Pour sa première titularisation en Champions League, Bilal Kisa a marqué d’une frappe flottante le premier but de la soirée pour Galatasaray sur la pelouse d’Astana au Kazakstan. Mais Galatasaray s’est fait rejoindre dans les dernières minutes avec un but contre son camp signé Lionel Carole. Astana arrache son premier point !

La Juventus a enregistré une deuxième victoire en deux matches de Ligue des Champions. Une match gagnant mérité pour les Turinois face à une équipe de Séville loin de son meilleur niveau.

Manchester United, porté par un Mata buteur et passeur, a dominé Wolfsburg (2-1), évacuant ainsi sa défaite initiale contre le PSV. Nullement complexé par sa présence à Old Trafford ou son manque d’expérience, le 4e de Bundesliga a en effet pris tout le monde de vitesse. Dès la 4e minute Caligiuri a trompé De Gea au terme d’une action bien menée.

Les Flops :

Seydou Doumbia a raté l’occasion d’inscrire un triplé face au PSV Eindhoven. L’international ivoirien n’a pas profité du deuxième penalty concédé au CSKA Moscou à la 44e minute. Doumbia cherchait la lucarne droite des buts de Zoet, mais n’a pas cadré son ballon. Mené 3-0, le PSV Eindhoven a inscrit deux buts après la 60e minute.

L’Atlético Madrida créé la sensation en se faisant battre à domicile par le Benfica Lisbonne (2-1). « Nous aurions pu plier le match dans les 30 premières minutes et nous n’y sommes pas parvenus », a raconté Angel Correa, le milieu offensif de l’Atletico Madrid. Lisbonne fait carton plein avec deux succès en deux rencontres et s’installent confortablement en tête de son groupe.

Résultats :

Astana 2-2 Galatasaray
Juventus 2-0 Sevilla
Shakhtar Donetsk 0-3 Paris
Atlético 1-2 Benfica
CSKA Moscou 3-2 PSV
Man. United 2-1 Wolfsburg
Malmö 0-2 Real Madrid
Mönchengladbach1-2 Manchester City

Par RFI