« La révolution numérique condition nécessaire à la croissance africaine » selon , Alassane Ouattara

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Alassane Ouattara, ce lundi 20 juillet 2015, par l’aéroport international Maya Maya.
Alassane Ouattara, ce lundi 20 juillet 2015, par l’aéroport international Maya Maya.

“La Révolution numérique: Accélérateur de la croissance Africaine”. Constitue  le noyau central, autour duquel chefs d’entreprises, personnalités de la police et autres sachants de l’Afrique plancheront ce mardi 20 juillet 2015, à l’occasion du 4ème forum Forbes Afrique.

Un chef d’Etat Africain, Alassane Ouattara, président de la République ivoirienne, des nombreux orateurs, chefs d’entreprise et bien d’autres personnalités, présents déjà dans la capitale mettront leur intelligence au service de l’Afrique du 21ème siècle, afin de penser son développement grâce au numérique. Ce thème de discussion s’adapte aux enjeux de l’heure et aux défis que l’Afrique se doit de relever.

Puisque la révolution numérique est en marche dans ce continent, encore appelé continent de l’avenir et des solutions aux problèmes de l’humanité. Avec plus de 700 millions d’abonnés utilisant le mobile, plus que les Etats-Unis et l’Europe- un taux de connexion qui explose et des revenus issus d’Internet qui représentent déjà 4% du PIB du continent africain, plus de trois fois la part qu’ils représentent dans les économies développées, le réseau tisse rapidement sa toile. Des communications qui seront présentées au cours de ce forum feront un décryptage des progrès importants en matière d’Internet, comme potentiel déjà existant en Afrique et qui constituent un formidable moteur de croissance inclusive pour le continent.

Le programme, jusque là disponible décline le programme du forum en trois panels. Le 1er panel aura pour centre d’intérêt le « décollage digital du continent : le défi des infrastructures ». Le 2ème s’articulera sur « le numérique, vecteur de croissance inclusive pour l’Afrique. » Enfin le dernier est une exploration du E-commerce en Afrique, avec pour interrogation, comment dépasser les contraintes ?

Comme il ya 3 ans, la crème intellectuelle qui se réunit à Brazzaville cette année pourra t-elle faire œuvre utile ; en pensant le développement du continent africain au travers du numérique.

Le Chef de l’Etat ivoirien, qui vient prendre part à ces assises, a foulé le sol congolais, au crépuscule de ce lundi 20 juillet 2015, par l’aéroport international Maya Maya.

Lancé en juillet 2012, le Forum Forbes Afrique est devenu une tradition pour la République du Congo. En ce sens que la 2ème édition a eu lieu le 23 juillet 2013, autour du thème : « Emergence des classes moyennes africaines financement des infrastructures, entrepreneuriat et nouveaux modes de consommation. » Et celle de l’année écoulée, tenue le 25 juillet 2014, a réfléchi sur les « défis de la bancarisation. »

Agapyth Bède
© ICIBRAZZA

Les étudiants expulsés de la RDC ont déjà perdu deux années scolaires à cause de «Mbata ya Bakolo»

étudiants congolais en RDC

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étudiants congolais en RDC
Image d’archive| Les étudiants expulsés de la RDC ont déjà perdu deux années scolaires à cause de «Mbata ya Bakolo»

Les années scolaires 2013-2014 et 2014-2015 sont déjà perdues pour les ¾ des 1450 étudiants du Congo-Brazzaville, expulsés précipitamment de la RDC en avril 2014, en représailles de l’opération « Mbata ya Bakolo ». Que faire ?

Pour éviter une troisième année blanche à leurs enfants (2015-2016), les parents de ces étudiant, réunis au sein d’un collectif, interpellent la conscience des autorités de Brazzaville, afin qu’une solution alternative soit trouvée, à savoir :

1– Autoriser officiellement leur réinscription en RDC et payer la dette correspondant à leurs frais d’écolage dans les 33 instituts et universités qu’ils fréquentaient ;
2– Soit négocier leur inscription dans les écoles du Congo-Brazzaville, pour ceux dont les filières sont ouvertes sur place ;
3– Ou encore obtenir leurs inscriptions dans d’autres pays africains et européens.
Outre le chef de l’Etat, Denis Sassou-N’Guesso, que les parents des étudiants et les étudiants eux-mêmes n’ont pas encore rencontré, les autorités congolaises qui sont au courant de ce dossier sont légion. Aucune solution n’a été trouvée jusqu’à ce jour !

Il s’agit notamment du Conseiller technique du chef de l’Etat, président de la Cellule de crise sur les conséquences de l’opération « Mbata ya Bakolo » , Jean-Marie Kamba ; du Ministre de l’Enseignement supérieur, Georges Moyen ; de son homologue de l’Enseignement technique, professionnel, de la formation qualifiante et de l’emploi, Zoniaba ; de la Directrice de cabinet la ministre des Affaires sociales Emilienne Raoul ; du président de l’Association des parents d’élèves et étudiants congolais (APEEC), Christian Grégoire Epouma ; du premier vice-président de l’Assemblée nationale, Réné Dambert Ndouane ; du directeur de la documentation, chargé de mission du chef de l’Etat, le colonel Félix Ondaye ; du conseiller à l’éducation et à la formation qualifiante du président de la République, Louis Bakabadio ; du secrétaire général du Parti congolais du travail, Pierre Ngolo ; du ministre de la jeunesse et de l’éducation civique Anatole Collinet Makosso ; du ministre de l’Intérieur et de décentralisation, Raymond Zéphirin Mboulou ; du Recteur de l’Université Marien Ngouabi, Armand Moyikoua ; du directeur général de la police, Jean-François Ndengué ; du porte-parole de la police, le colonel Moukala Tchoumou ; du directeur général des renseignements généraux, le colonel Thomas Bakala Mayinda. Sans publier le ministre de la Santé et de la Population, François Ibovi, à qui le collectif des parents des étudiants expulsés, avaient suggéré d’intégrer quelques enfants dans les quotas des 600 jeunes congolais, formant la 2eme vague envoyée à Cuba, pour aller apprendre la Médecine. Peine perdu.

Les étudiants expulsés de la RDC et leurs parents n’ont pas manqué de solliciter une audience auprès du Maire de Brazzaville et vice-président de la COSPECO, Hugues Ngouelondelé. Celui-ci a orienté le dossier au premier secrétaire du Conseil municipal et départemental de Brazzaville, secrétaire général adjoint de la commission spécial de coopération (COSPECO) entre Brazzaville et Kinshasa, Emma Clesh Atipo Ngapi… Bref ! Le dossier n’a avancé d’aucun millimètre.
Mais, « il n’est jamais trop tard pour espérer et pour apprendre »

Toutefois, de l’avis du président du comité des Étudiants congolais expulsés du Congo-Kinshasa, Alban Kala ; ainsi que du Collectif de leurs parents, présidé par Philibert Obambet avec comme 1er vice-président Victor Nkounkou ; 2eme vice-président Joseph Balonga ; rapporteur Jean-Marie Kouakoua et secrétaire général Jean-Joseph Tchi-loemba), « il n’est jamais trop tard pour espérer et pour apprendre ».Autrement dit, « mieux vaut tard que jamais ». Les conséquences éduquent mieux que les conseils. Aux autorités congolaises de tirer les leçons de « Mbata ya Bakolo » pour la postérité. Car, l’on n’oubliera pas que les étudiants expulsés dans la précipitation étaient rentrés dans leur pays sans bagages. Ils sont sinistrés et méritent d’être pris en charge comme les sinistrés du 4 mars 2012.

Philémon MOUSSOKI

Journal Le Pélican

Le président du Real Madrid Florentino Perez «n’aime pas les joueurs noirs»

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Le président du Real Madrid Florentino Perez
Le président du Real Madrid Florentino Perez

Dans un long entretien à AS, l’agent d’Iker Casillas Santos Marquez, charge le président du Real Madrid Florentino Perez. Après avoir pointé son incompétence, il indique que l’homme fort du Real «n’aime pas les joueurs noirs», comme en témoignerait son attitude passée avec Claude Makelele et Samuel Eto’o.

Dans un long entretien accordé à AS, l’agent d’Iker Casillas, Santos Marquez, fait part de toute son amertume, suite au départ du gardien emblématique madrilène, au FC Porto. L’agent FIFA charge lourdement le président du Real Madrid Florentino Perez. Il évoque notamment les différences de traitement réservées aux joueurs du Real Madrid par le dirigeant. «Il pense que Bale est le meilleur du monde. Il ne sait pas comment prendre soin du Ballon d’Or qu’il a dans l’équipe (Cristiano Ronaldo)», indique-t-il.
 
«Eto’o a quitté le club pour la couleur de sa peau»
 
Santos Marquez ne cache pas ses divergences de points de vue avec l’homme fort du club merengue. A la question, «Pourquoi vos relations avec Florentino Perez se sont détériorées?», Marquez explique que les deux hommes se sont écharpés à l’époque où il était  l’agent du Français Claude Makélélé. «Nos liens se sont rompus pour Makelele, pour un manque de respect. Florentino n’aime pas les joueurs noirs; il n’est pas raciste, mais il ne les aime pas. Je me suis aussi disputé avec lui au sujet d’Eto’o. Samuel était un Galactique, au même titre que Figo. Mais il a quitté le club pour la couleur de sa peau», lâche l’agent. Le Real Madrid n’a pas réagi à ces propos.
 
 
(lequipe)