Google veut développer l’Internet haut débit en République du Congo

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Google veut développer l’Internet haut débit en République du Congo
Google veut développer l’Internet haut débit en République du Congo

Une délégation de Google Afrique Centrale séjourne à Brazzaville, en vue d’explorer les opportunités de développement de l’Internet très haut débit en République du Congo.

Composée de Tidjane Deme, Seydina Diop et Mandi Nanga, respectivement directeur du Bureau Google francophone ; responsable des politiques publiques et relations gouvernementales en Afrique francophone ; et chargé du programme business et développement, la délégation du géant moteur de recherche est venue à Brazzaville s’imprégner du cadre juridique ainsi que du contexte technique, économique et social pour un éventuel investissement à long terme. Ce 29 janvier, elle a eu une séance avec le directeur général et quelques cadres de l’Agence de Régulation des postes et des communications électroniques (ARPCE).

Au cours de cette séance de travail, la délégation de Google a été édifiée sur le cadre règlementaire du secteur du numérique et sur l’environnement sectoriel mis en place par l’ARPCE. Selon Tidjane Deme, cette séance de travail visait à établir le premier contact avec les institutions chargées de gérer ce secteur et à maîtriser les composantes du marché local et sous-régional, en pleine croissance.

«Nous sommes aujourd’hui en République du Congo en mission exploratoire. Nous sommes venus échanger avec les acteurs de ce pays, à commencer par le régulateur, sur les opportunités de développement de l’Internet très haut débit. Nous savons tous que le développement de l’Internet très haut débit représente un potentiel de développement non seulement du secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC), mais aussi de l’économie en général. Nous avons eu des échanges fructueux autour du travail qu’effectue l’ARPCE, de la stratégie portée par les autorités congolaises pour développer le haut débit, ainsi que les opportunités de collaboration avec ce pays», a fait savoir Tidjane Deme.

Il a salué l’ouverture d’esprit et le dynamisme du directeur général de l’ARPCE et son personnel : «Nous avons découvert ici, au Congo, un régulateur très ouvert et très volontaire dans sa dynamique de développement de l’Internet. C’est un régulateur qui a une attitude extrêmement entrepreneuriale à l’instar d’un acteur du privé. Ce qui nous donne d’ailleurs beaucoup d’espoirs sur les perspectives d’avenir du secteur du numérique au Congo. Nous pensons que cette attitude est la bonne démarche pour l’émergence des jeunes entreprises congolaises, qui sont innovantes et qui permettent de soutenir l’ambition affichée par le Congo d’être un leader africain des nouvelles technologies ».

Pendant son séjour, la délégation de Google visitera quelques structures installées dans les locaux de l’ARPCE. Parmi lesquelles, le Datacenter qui abrite le Point d’échange Internet dénommé CGX ; la plateforme de gestion des domaines Internet ; le Centre de supervision du trafic national et international (NOC). Son programme prévoit aussi des rencontres avec des responsables de l’Université Marien Ngouabi et la visite du Programme universitaire d’innovation en technologie et services (PUITS), une plateforme mise en place par l’ARPCE.

Pour le directeur général de l’ARPCE, Yves Castanou, la venue de Google au Congo représente un couronnement, mieux une reconnaissance du travail accompli par le régulateur dans le but de promouvoir l’économie numérique. En effet, beaucoup d’efforts ont été consentis ces dernières années au Congo, concernant la formation, les accès, les contenus locaux, la régulation et la règlementation.

«Certes beaucoup de choses ont été faites, mais beaucoup restent encore à faire. Le fait pour nous d’accueillir Google constitue déjà un signe d’espoir. Cela nous permettra de créer un écosystème numérique dont le Congo a besoin. Nous souhaitons que la société Google s’installe au Congo, comme elle l’a fait en Afrique du Sud, afin de créer une sorte d’émulation et que beaucoup d’entreprises soient créées au Congo dans le secteur du numérique», a dit Yves Castanou.

© Congo-site

CAN 2015 – Congo-RDC : le maire de Brazzaville appelle le public au fair-play

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Hugues Ngouélondélé ,  le maire de Brazzaville faisant sa déclaration|Adiac
Hugues Ngouélondélé , le maire de Brazzaville faisant sa déclaration|Adiac

Hugues Ngouélondélé a demandé aux supporters de faire preuve sportivité quelle que soit l’issue de la rencontre du samedi 31 janvier entre Diables rouges et Léopards.

« Ce match qui opposera les Diables rouges aux Léopards de la RDC ne doit pas être un prétexte pour troubler la quiétude et le vivre ensemble des citoyens de toutes nationalités établies à Brazzaville, terre d’accueil et d’hospitalité légendaire», a déclaré Hugues Ngouélondélé, dans son adresse aux maires d’arrondissements, aux chefs du quartier, aux responsables de la police en l’occurrence le directeur départemental, Jacques Antoine Bouiti et au public sportif brazzavillois au sens large du terme.

Par ailleurs, le maire de la ville capitale a fermement condamné les actes de vandalisme et d’incivisme observés après chaque prestation des Diables rouges ces derniers temps. Il a saisi l’occasion pour demander aux parents de tenir leurs enfants loin de fauteurs de troubles. Le sport a-t-il rappelé est un vecteur de paix et de rapprochement des hommes.   

© Adiac-Congo

Congo : des hommes d’affaires italiens vont investir dans les Zones économiques spéciales

Les opérateurs économiques italiens visitant l'usine de fabrication de panneaux solaires (photo adiac)
Les opérateurs économiques italiens visitant l’usine de fabrication de panneaux solaires (photo adiac)

Près de 70 investisseurs italiens ont séjourné à Brazzaville pour s’informer sur le grand projet économique congolais à savoir les Zones économiques spéciales. Durant leur séjour, ces hommes d’affaires italiens ont eu des entretiens avec plusieurs autorités congolaises. Ils ont visité tour à tour, les zones économiques spéciales d’Oyo-Ollombo et de Pointe-Noire, mardi dernier.

En effet, À Oyo, dans le département de la Cuvette, les Italiens conduits par le vice-ministre du Développement économique, Carlo Calenda ont eu droit à une présentation technique du projet.

A l’occasion, le ministre des Zones économiques spéciales, Alain Akouala Atipault a expliqué aux investisseurs les enjeux économiques du projet dans le cadre de la diversification de l’économie, ainsi que les dispositions administratives prises par le gouvernement pour faciliter l’installation des entrepreneurs.

Les hommes d’affaires italiens ont également visité le ranch d’Opokagna, situé à quelques kilomètres d’Oyo centre. Ils ont salué l’impressionnant cheptel bovin, appartenant au président congolais. Ils se sont rendus à l’usine de fabrication des panneaux solaires, qui est totalement achevée et opérationnelle dans les prochains mois.

L’usine fonctionnera en quatre chaînes dont chacune a une capacité de production de 120 panneaux solaires en 8 heures du temps, soit une capacité de 480 panneaux solaires dans la  même fourchette d’heures. La capacité de production annuelle de cette unité est estimée à 50 MW.

Les investisseurs italiens ont visité l’hôpital général spécialisé d’Oyo, construit dans la même zone. La zone économique spéciale d’Oyo-Ollombo devra être construite sur une superficie de 760.318 hectares consacrée à l’économie verte. Plusieurs activités y seront développées notamment la production des cultures alimentaires et de rente; l’élevage du bétail, la transformation des produits agricoles, la pisciculture, les services commerciaux et le tourisme.

La délégation s’est ensuite rendue à Pointe-Noire dont la Zone économique sera spécialisée dans l’industrie pétrolière avec les produits raffinés, les métaux de l’ingénierie, l’industrie alimentaires et des boissons, les produits minéraux non métalliques, les bois et ses produits dérivés ainsi que la réparation et l’installation des machines et des équipements.

Lundi dernier, les opérateurs économiques italiens ont exprimé leur intérêt pour la ville en construction à Kintélé. Une cité moderne y sera construite.

© OEIL D’AFRIQUE

Doch traue nicht flugs und allerdings, denn die english essay schreiben lassen wolken haben nicht alle wasser und es gibt mancherlei weise.

La CAF inflige une amende de 10.000 dollars à la Fédération équato-guinéenne

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Guinée Equatoriale
La CAF inflige une amende de 10.000 dollars à la Fédération équato-guinéenne

La Confédération Africaine de football CAF a infligé une amende de 10.000 dollars à la Fédération équato-guinéenne de football (FEGUIFUT) suite aux injures d’un de ses membres proférées à l’endroit de l’arbitre du match d’ouverture de la CAN entre la Guinée équatoriale et le Congo Brazzaville (1-1).

‘’La CAF nous a donné une sanction de 10.000 dollars, parce que je les ai insultés et l’arbitre pour ne n’avoir pas validé le but d’Emilio Nsue », a confirmé mercredi à APA David Monsuy Junior, chef de presse de la FEGUIFUTEn plus de l’amende, l’accréditation de David Monsuy comme membre du comité local d’organisation de la CAN lui a été retirée. Le concerné a dit avoir agi sous l’emprise de la colère.

Pour sa part, la Fédération équato-guinéenne de football (FEGUIFUT) a crié au complot arbitral lors du match d’ouverture de la CAN disputé le 17 janvier et au cours duquel elle a estimé qu’un but avait été refusé à sa sélection.

La FEGUIFUT a même envoyé une lettre de protestation à la Confédération africaine (CAF) pour se plaindre contre l’arbitre gambien Bakary Papa Gassama, coupable à ses yeux d’avoir refusé pour hors-jeu un but à l’attaquant et capitaine du Nzalang Nacional, Emilio Nsue.

APA

Congo : Christian Grégoire Epouma confirmé à la tête de l’APEEC

Christian Grégoire Epouma

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Christian Grégoire Epouma
Christian Grégoire Epouma, nouveau président l’Association des parents d’élèves et étudiants du Congo (APEEC)

Le premier vice-président national de l’Association des parents d’élèves et étudiants du Congo (APEEC) qui assurait jusque-là l’intérim depuis la disparition, le 4 février 2013, du président national, Martin Itoua, a été confirmé le 27 janvier au cours de l’assemblée générale extraordinaire qui s’est tenue à l’hôtel de ville de Brazzaville.

L’APEEC a désormais un nouveau président national en la personne de Christian Grégoire Epouma. Le nouveau promu est élu à la tête d’un bureau national de neuf membres. Déjà à l’ouverture des assises, le désormais président de l’APEEC avait salué la mémoire de son prédécesseur, Martin Itoua, qui a, selon lui, su créer un climat de cohésion, de dynamisme galvanisé par l’engagement. Il rappelait que cette structure créée le 26 octobre 1991 est une réalité vivante dans toutes les contrées du Congo. « L’APEEC redémarre. C’est un pari. Voici les soldats de l’école congolaise », disait-il pour présenter les différentes délégations de l’intérieur du pays venues participer aux assises de deux jours.

L’assemblée générale extraordinaire de l’APEEC dont les travaux s’achèvent ce 28 janvier se tient sur le thème « Parents d’élèves et étudiants du Congo, dans la continuité, poursuivons l’œuvre constitutive de l’APEEC, partenaire incontournable des pouvoirs publics en vue du redressement et de la refondation du système éducatif congolais ». Ce thème épouse, a expliqué Christian Grégoire Epouma, l’actualité parce qu’il est inspiré de la cruelle réalité du terrain vécue par les acteurs incontournables de l’éducation pour tous que sont les parents. Rappelons que Christian Grégoire Epouma est cofondateur de l’APEEC et de la Fédération africaine des associations des parents d’élèves et d’étudiants dont il est le secrétaire général.

© Adiac-Congo

CAN-2015 Claude Le Roy : « Je connais la défense de la RDC par cœur »

Le sélectionneur du Congo-Brazzaville, Claude Le Roy
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Le sélectionneur du Congo-Brazzaville, Claude Le Roy
Le sélectionneur du Congo-Brazzaville, Claude Le Roy

Le sélectionneur du Congo-Brazzaville, Claude Le Roy, affirme connaître la défense de la RDC que son équipe va croiser samedi 31 janvier prochain en quarts de finale de la Can 2015. Le technicien français a dirigé la sélection de football de la RDC deux fois (2004-2006 et 2011-2013).

« La défense congolaise, je connais par cœur parce que c’est celle que j’avais quand j’étais en RDC jusqu’au moment où Chancel Mbemba a remplacé Joël Kimwaki », a déclaré Claude Le Roy mercredi 28 janvier au cours d’une conférence de presse.

« Je connais bien le potentiel de cette équipe Kidiaba, Issama Mpeko, Kimwaki, Mongongu, Kasusula, Mulumbu- même s’il est blessé-, Makiadi, Mbemba, Bolasie, bref beaucoup d’entr’eux ont démarré avec moi. Certains en 2006, d’autres en 2012 ou 2013 », a ajouté le technicien français.

Mais le sélectionneur du Congo a reconnu tout de même que le match face à la RDC sera compliqué.

« On sait que contre nous, ça va être compliqué. Le Congo-Brazza c’est 4 millions d’habitants contre 70 millions [population approximative de la RDC]avec les joueurs qui œuvrent dans tous les grands championnats », a-t-il indiqué.

Le sélectionneur du Congo-Brazzaville a cependant fait savoir que son équipe était préparée pour jouer ce quart de finale, insistant sur l’envie de vaincre de ses joueurs.

« Mes joueurs sont des novices. Ils ont une envie de vaincre, après avoir battu le tenant du titre [le Nigeria], en éliminatoire, battu le Gabon puis s’imposer face au Burkina Faso vice-champion d’Afrique. On termine avec 7 points, et le bonheur veut qu’on rencontre la RDC en quarts de finale », a souligné Claude Le Roy.

Florent Ibenge, « un entraîneur que je respecte »

Claude Le Roy s’est également exprimé sur son homologue Florent Ibenge, sélectionneur de la RDC.

« Un entraîneur que je respecte », a lancé le technicien français.

« Il [Florent Ibenge] a toujours reçu des messages de ma part depuis que j’ai quitté la RDC [en juin 2013]. Que ça soit à V.club ou en équipe nationale, parce que j’aime bien la façon dont il travaille. Il est intelligent, cohérent », a-t-il affirmé.

En outre, il a estimé qu’il n’y avait pas beaucoup de différence entre l’équipe dirigée par Florent Ibenge et celle qu’il a entraînée.

« Je ne pense pas qu’il y a beaucoup de différence entre l’équipe des Léopards que j’ai entrainée et celle d’aujourd’hui, à part l’absence de Mputu, un joueur au talent exceptionnel », a souligné Claude Le Roy.

La RDC et le Congo-Brazzaville se croiseront samedi 31 janvier en quarts de finale de la Can 2015. La RDC a terminé deuxième du groupe B avec 3 points, tandis que le Congo-Brazzaville, a fini premier du groupe A avec 7 points.

Par Radio Okapi